Webinaire du Groupe Thématique Genre et Entrepreneuriat de l’AEI
L’écoféminisme, quelle promesse pour les études de genre en entrepreneuriat ?
Xerfi Canal a reçu Bérangère Deschamps, professeure des universités à l’Université Grenoble-Alpes, Directrice du CERAG, pour parler de cessions, reprises et transferts d’entreprises.
Webinaire du Groupe Thématique Genre et Entrepreneuriat de l’AEI
L’écoféminisme, quelle promesse pour les études de genre en entrepreneuriat ?
Vendredi 22 octobre, 14h00 – 15h00 France
L’écoféminisme est considéré comme suspect par la théorie féministe parce qu’il est accusé de vouloir réintroduire une identité entre les femmes et la nature. Au contraire, l’écoféminisme rappelle combien la domination patriarcale, fondement du capitalisme, vise l’exploitation tout aussi bien de la nature que des femmes. Il est intéressant d’observer que l’écoféminisme est absent des débats sur le genre en entrepreneuriat, même si certains travaux examinent les pratiques RSE des entrepreneures ou leur rapport à la durabilité. Or, des personnalités comme Vandana Shiva ou Françoise d’Eaubonne ont été pleinement engagées dans une aventure entrepreneuriale politique en explorant les promesses de l’écoféminisme. Dans ce webinaire, Renaud Redien-Collot dressera d’abord un état des lieux critique des recherches sur le genre et l’entrepreneuriat afin de mieux positionner l’écoféminisme dans le champ. Il montrera ensuite que le concept d’écoféminisme permettrait de mieux comprendre l’articulation entre émancipation, changement, révolution et mutation à travers l’entrepreneuriat.
Renaud Redien-Collot est directeur de Laboratoire de Recherche à l’ISC Paris. Après une carrière internationale dans le domaine de l’investissement (Rothschild, New York) puis au sein de l’ONG Eleanor Roosevelt Foundation, il a soutenu sa thèse de doctorat à Columbia University (New York). En tant qu’enseignant-chercheur, il a occupé différents postes de responsabilité de 2004 à 2016 pour rejoindre en tant qu’analyste senior l’Institut Friedland (Paris), Think Tank de la CCIP. De 2010 à 2017, il a présidé le comité scientifique du fonds d’investissement Women Equity dédié aux PME entrepreneuriales de fortes croissance dirigées par des femmes. Depuis 2016, il est également expert auprès de la Commission Européenne dans les domaines de l’égalité et de l’inclusion. Renaud Redien-Collot a soutenu son Habilitation à diriger des recherches doctorales en sciences de gestion en 2017 au sein du laboratoire REGARDS (CNRS EA 6292) au sein de l’Université Reims-Champagne Ardenne (URCA).
Nous vous informons que le 10 juin prochain se tiendra la Journée de recherche de l’Observatoire de la pérennité des entreprises familiales, de l’IAE- Université de Nantes organisée par Paulette ROBIC et Dragos ZELINSCHI et Marine GOUEDARD.
L’objectif de cette journée est de présenter et mettre en discussion les récentes recherches menées sur la pérennité des entreprises familiales autour de trois sessions : 1. L’innovation, 2. Le Genre, 3. L’histoire
autour desquelles Céline Bessière (IRISSO, Université Paris Dauphine – PSL) : Co-autrice avec Sibylle Gollac de l’ouvrage Le genre du capital,, paru à La Découverte en 2020, nous dira “Pourquoi il faut étudier le genre du capital”
La participation est gratuite, mais l’inscription par e-mail est exigée, le nombre de places étant limité pour des raisons logistiques.
Inscription et renseignements : paulette.robic@univ-nantes.fr , dragos.zelinschi@univ-nantes.fr
Notre prochain séminaire du Groupe thématique Entrepreneuriat culturel et créatif de l’AEI approche.
Pour rappel, il aura lieu en visioconférence le mardi 11 mai de 16h à 18h (heure française).
Philippe Henry animera un débat autour de l’ouvrage collectif co-dirigé par Isabelle Horvath et Gaelle Dechamp : « L’entrepreneuriat dans les secteurs de l’art et de la culture. Comment concilier ambition créatrice et logique économique ? ».
POur en savoir plus, vous pouvez découvrir l’ouvrage sur le site de l’éditeur EMS :https://www.editions-ems.fr/livres-2/collections/gestion-en-liberte/ouvrage/613-l-entrepreneuriat-dans-les-secteurs-de-l-art-et-de-la-culture.html
Cette discussion sera suivie d’un échange sur le projet de collaboration entre des agences culturelles et notre Groupe Thématique AEI Entrepreneuriat Créatif et Culturel, suite aux présentations et discussions de notre précédente rencontre.
Ci-dessous les liens pour y participer.
Au plaisir de vous revoir prochainement
Bien à vous
Sandrine Emin et Nathalie Schieb-Bienfait
–
Participer à la réunion Zoom
https://univ-nantes-fr.zoom.us/j/99165935248?pwd=Z3FmM0Y5dXBLbkdHYjUwQmZWTmdZUT09
Sur le thème Du jamais su, l’Université de Sherbrooke en partenariat avec l’Université Bishops invitent la communauté universitaire et le grand public à prendre part au plus important rassemblement multidisciplinaire du savoir et de la recherche de la Francophonie.
À l’occasion de ce 88e Congrès annuel de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS), l’Institut de recherche sur les PME (InRPME) organise un colloque sur les Écosystèmes entrepreneuriaux le mardi 4 mai et le mercredi 5 mai 2021.
Qu’est-ce qu’un écosystème entrepreneurial ? Quels sont les apports et les rôles des villes/municipalités et de leurs représentants dans les écosystèmes entrepreneuriaux ? Quels sont les apports et les rôles des arts et de la culture? Quels sont les apports et les rôles distincts des maisons d’enseignements régionales (commissions scolaires, collèges, universités)? Voilà quelques-unes des questions auxquelles chercheurs, praticiens, décideurs et acteurs de terrain répondront en partageant leurs savoirs, leurs réflexions et leurs expériences.
Initié en conférence d’ouverture par M. Michel Angers, maire de la Ville de Shawinigan, notre colloque propose des communications scientifiques de chercheurs de différentes disciplines, et des conférences jumelées praticien-chercheur impliquant la Communauté Entrepreneuriale de Shawinigan, le Musée POP de Trois-Rivières, le Digihub de Shawinigan, et le Centre d’étude en responsabilité sociale et écocitoyenneté.
Les écosystèmes entrepreneuriaux de la Mauricie, de l’Estrie et de l’Abitibi-Temiscamingue seront bien représentés, avec le dynamisme que peuvent avoir des villes moyennes. Montréal ainsi que d’autres expériences du monde donneront un éclairage complémentaire.
Des tables rondes ainsi que l’activité finale Des égosystèmes aux écosystèmes viseront à susciter réflexion et discussion.
Pour en savoir davantage nous vous invitions à consulter le lien suivant :
Et pour vous y inscrire :
Manifestations et séminaires
Webinaire GT ERIA/ AEI Entrepreneuriat Rural et Innovations Agricoles
23 avril 2021 (14h-16h) : Contact F. Cheriet : foued.cheriet@supagro.fr
(Web)Séminaire transversal Système Alimentaires en Méditerranée (SAM-MOISA), Institut Agro de Montpellier, 21 mai 2021
Crise sanitaire et adaptations des systèmes alimentaires
https://umr-moisa.cirad.fr/actualites/7eme-edition-du-seminaire-sam
Colloque Sfer Agriculture et numérique
26 et 27 mai 2021 Contact : isabelle.piot-lepetit@inrae.fr
https://www.sfer.asso.fr/event/view/42
14èmes journées de recherche en sciences sociales INRAE, SFER, CIRAD – JRSS Edition 2020, 7 et 8 avril 2021
Programme et inscription : https://www.sfer.asso.fr/event/view/41
Journée Georges Doriot, 27 et 28 mai 2021 : Atelier 4 : Entrepreneuriat rural, innovation agricole et transition agro-écologique
https://www.em-normandie.com/fr/les-8emes-journees-georges-doriot
Le 57ème colloque de l’ASRDLF (Association de Sciences Régionales de Langue Française), initialement programmé du 30 juin au 2 juillet 2020, aura lieu les 1, 2 et 3 septembre 2021 à Avignon (France) en présentiel : Territoires et Numérique
https://asrdlf2021.org/appel-communications
Appel à contributions /revues
Revue de l’Entrepreneuriat : 2 appels à numéros spéciaux
Innovation in family firms: responses to recent developments
Guest Editors: Maksim Belitski, University of Reading (UK), Nada Khachlouf, ICD Business School Paris, Caroline Mothe, IAE Savoie Mont-Blanc (France) Alfredo De Massis, Free University of Bolzano-Bozen (Italy), @Petra M. Moog, Siegen University (Germany)
Entrepreneurial Ecosystem and Territories (Evolution, Resilience and Sustainability)
Guest editors: Christina Theodoraki, TBS Business School (France), David Audretsch, Indiana University (USA), Didier Chabaud, IAE Paris-Sorbonne (France)
Revue Innovations: Numéro thématique : Opportunités et risques émergents des innovations au service de l’agriculture
Editeur(s) invité(s) : Sylvie Lupton, Hanitra Randrianasolo-Rakotobe et Marc Barbier
01/12/2021 : date limite de soumission des articles complets (sur la plateforme de la revue Innovations : https://inno.manuscriptmanager.net
Recommandations aux auteurs : http://innovations.cairn.info/instructions-aux-auteurs/
01/09/2022: acceptation finale
Contacts et informations : sylvie.lupton@unilasalle.fr
Revue Mondes en Développement : Appel à contributions Dossier thématique DD&T – Les territoires au temps de la pandémie : Les territoires au temps de la pandémie : entre urgence sanitaire et impacts sociétaux – Date limite le 28 mars 2021
Adresse pour l’envoi des résumés et des contributions: corte.coronavirus@gmail.com
Appel à contributions de la revue systèmes alimentaires/food systems : au fil de l’eau
Parutions
Dossier spécial de la revue de l’Entrpreneuriat : Entrepreneuriat Agricole
L’ouvrage collectif est issu d’un projet fiancé par le métaporogramme GloFoodS . éditions Quae. : https://www.quae.com/produit/1664/9782759232437/coexistence-et-confrontation-des-modeles-agricoles-et-alimentaires
Dossier spécial de la revue Innovations : Systèmes Alimentaires : nouvelles perspectives
https://www.cairn.info/revue-innovations-2021-1.htm
Revue Economie Rurale : N° 375- 2021 :
Découvrez la vidéo de présentation du groupe thématique Entrepreneuriat & International.
Coordinateurs :
Véronique Favre-Bonté, PR, IAE Savoie Mont Blanc
Alexis Catanzaro, MCF HDR, IAE Saint Etienne
Laurice Alexandre, MCF HDR, Univ. Paris Descartes
Contact :
Véronique Favre-Bonté, PR IAE Savoie Mont Blanc, veronique.favre-bonte@univ-smb.fr
Objectif :
Ce groupe a vu le jour en 2019. Une première réunion a eu lieu, à Paris, en octobre 2019. L’objectif est de regrouper des chercheurs qui s’intéressent au processus d’internationalisation (rapide ou graduel) des jeunes entreprises ou PME.
Nous vous informons de notre réunion de lancement du groupe de travail sur l’entrepreneuriat culturel et créatif de l’AEI, qui se déroulera à distance mardi 19 janvier 2021 à 17h30.
Pour toute information complémentaire sur le groupe thématique et/ou pour pouvoir vous connecter, nous vous invitons à contacter Sandrine Emin (sandrine.emin@univ-angers.fr) ou Nathalie Schieb-Bienfait (nathalie.schieb-bienfait@univ-nantes.fr).
Après plusieurs années d’activité informelle, le Groupe de travail en Entrepreneuriat culturel et créatif de l’AEI souhaite se structurer davantage. A cette fin, une réunion de lancement est organisée et vise à rassembler les chercheurs intéressés à la thématique et souhaitant s’investir dans le groupe de travail. Elle a pour objectif principal de faire connaissance et concevoir le fonctionnement et l’agenda commun du groupe thématique : découvrir de nouveaux chercheur-es, leurs travaux, les projets de recherche, les prochains séminaires et publications ….
A ce stade, le GT est animé par 2 chercheures venant de deux universités différentes (S. Emin et N. Schieb-Bienfait). Le projet est né avec l’appel à contribution lancé avec Caroline Chapain (université de Birmingham) dans la revue de l’entrepreneuriat sur le thème de l’ECC (vol. 17, n°1, 2018), à la suite duquel elles ont été invitées par le ministère de la culture à animer à Paris lors du Forum national Entreprendre dans la culture la manifestation scientifique sur le thème (depuis 2017) et ont organisé le Track AEI Entrepreneuriat Culturel et Créatif lors du 11ème congrès de l’AEI (Montpellier, 3-5 juin, 2019).
Le GT-AEI « Entrepreneuriat Culturel et Créatif » est constitué pour répondre à des besoins de recherche, d’échanges d’information, de diffusion des résultats, de participation à des évènements scientifiques et d’organisation-participation à des conférences académiques. Il est organisé de manière informelle et volontaire et s’appuie sur la participation bénévole des chercheurs intéressés. Enfin, ce GT s’engage à respecter les règles académiques et déontologiques en vigueur au sein de l’AEI.
Présentation
La constitution d’un groupe thématique AEI autour de l’entrepreneuriat Culturel et Créatif vise à :
Objectifs
Les objectifs du GEI-AEI autour de l’entrepreneuriat Culturel et Créatif sont multiples :
Enseignants, enseignants-chercheurs, professionnels de l’entrepreneuriat, étudiants, étudiants-entrepreneurs
Bpifrance Création a le plaisir de vous inviter aux 19e Journées JOPPE (Journées des Pratiques Pédagogiques en Entrepreneuriat), l’événement national des professionnels de la sensibilisation des jeunes à l’entrepreneuriat qui traitera cette année de la Confiance.
Le 25 novembre 2020 format 100% digital
Au programme
La chaire Entrepreneuriat Territoire et Innovation de l’IAE de Paris est heureuse de partager l’invitation et le programme de la conférence « REPENSER LA VILLE ET LE TERRITOIRE », qui se tiendra online le Mardi 26 MAI 2020 à partir de 16H30.
16H30 : ALLOCUTION D’OUVERTURE
animé par Didier CHABAUD, Professeur IAE PARIS, Directeur Général Chaire ETI
16H30 : PAROLES D’ELUS PARTENAIRES
animé par Carlos MORENO, Professeur Associé IAE PARIS, Directeur Scientifique Chaire ETI
– 16H30 : Anne HIDALGO, Maire Ville de PARIS
– 16H45 : Jean ROTTNER, Président de la Région GRAND EST
– 17H00 : François REBSAMEN, Président Métropole et Maire de DIJON
– 17H15 : Johanna ROLLAND, Présidente Métropole et Maire de NANTES
17H30 : PANEL 1 _ REPENSER LA VILLE ET LE TERRITOIRE
animé par Catherine GALL, Experte en Innovation
– Francky TRICHET, Maire-Adjoint Ville de NANTES
– Vincent ROUAIX, Président Directeur Général GFI
– Olivier LANDEL, Délégué Général France URBAINE
– Saskia SASSEN, Sociologue, Professor COLUMBIA University
18H10 : MESSAGE VIDEO
animé par Jean-Luc PERRON, Vice-Président YUNUS CENTER PARIS, Vice-Président de CONVERGENCES
– Muhammad YUNUS, Prix NOBEL de la Paix en 2006
18H15 : PANEL 2 _ PENSER LA VILLE HUMAINE
animé par Jean-Christophe TORTORA, Président de LA TRIBUNE
– Carmen MUNOZ, Directrice Générale CITELUM
– Olivier WIGNIOLLE, Directeur Général ICADE
– Denis HAMEAU, Vice-Président Région BOURGOGNE FRANCHE COMTÉ, Délégué DIJON Métropole
– Elisa YAVCHITZ, Directrice Générale Les Canaux, Maison des Economies Solidaires et Innovantes
– Jean-Louis QUESTAT, Directeur Régional SNEF ILE-DE-FRANCE
19H00 : TÉMOINS INTERNATIONAUX
animé par Lucas SAGEOT-CHOMEL, Secrétaire Exécutif Chaire ETI
– Isabella ANNESI, Directrice de Recherche INSERM
– Elkin VELASQUEZ, Représentant LATAM UNITED NATIONS HABITAT
– Éric CAMPOS, Délégué Général Fondation GRAMEEN, CREDIT AGRICOLE
19H25 : MOTS DE CLOTURE
animé par Florent PRATLONG, MCF PARIS 1, Directeur Adjoint Chaire ETI
– Guy LACROIX, Président Fond de Dotation IAE PARIS
– Éric LAMARQUE, Directeur IAE PARIS
LES INFOS :
📅 Le Mardi 26 MAI à partir de 16H30
🎟 Entrée gratuite et sur inscription ici : https://www.eventbrite.fr/e/billets-repenser-la-ville-et-le-territoire-104437635780
📍 on line sur ZOOM et sur FACEBOOK LIFE https://fr-fr.facebook.com/chaireETI/
Le numéro Spécial Entreprendre & Innover – Entreprises familiales et successions : défis et solutions est sorti.
Ci-dessous, le menu:
Retrouvez la revue l’ensemble des numéros :
https://www-cairn-info.audenciagroup.idm.oclc.org/revue-entreprendre-et-innover.htm
Pages 5 à 7
Dossier
Pages 8 à 15
Pages 16 à 26
Pages 27 à 38
Pages 39 à 47
Pages 48 à 58
Pages 59 à 63
Pages 64 à 66
Pages 67 à 73
Pages 74 à 77
Pages 78 à 80
Parution du “Portrait de l’artiste en entrepreneur : entre passion et précarité” par Sandrine Emin (Université d’Angers, GRANEM) et Nathalie Schieb-Bienfait (Université de Nantes, LEMNA et Labex Entreprendre) dans l’ouvrage Les faces cachées de l’entrepreneuriat, codirigé par Olivier Torrès et Eric Fimbel, avec le soutien de la Fondation d’Entreprises MMA des entrepreneurs du futur, aux éditions EMS
Le groupe se nomme BeT et a adopté un tout nouveau logo.
Dans le cadre du groupe, Bérangère Deschamps vous annonce la parution prochaine de l’ouvrage de cas sur Transmission-reprise d’entreprise (édition EMS) coordonné par Audrey Missonnier et Catherine Thévenard-Puthod sera mis en vente le 9 avril.
Le lien de l’ouvrage sur le site EMS se trouve ici
Pour retrouver tous les groupes thématiques:
Below the new timeline for the PDW
All the informations about the call for paper and the Special Issue
https://entrepreneuriat.com/from-family-entrepreneurship-to-family-entrepreneuring-montreal-4-5-may-2020/
1ère Conférence Mutations Urbaines et territoriales (MUTe)
Appel à contributions
Deadline des soumissions : 15 Mars 2020
Paris, les 26 & 27 Mai 2020
https://mute.sciencesconf.org/
Villes et territoires connaissent des mutations sans précédent, et cristallisent les enjeux de notre monde. L’urbanisation constitue l’un des marqueurs puissants du développement économique (Bairoch, 1985, Braudel, 1979), mais nous vivons désormais un tournant territorial et urbain (spatial and territorial turn), qui nécessite une nouvelle donne (new deal).
Villes globales (Sassen, 1991), avantages régionaux (Saxenian, 1996) et classes créatives (Florida, 1995, 2005) peuvent constituer des vecteurs de progrès, alors même que l’arrivée de la ville intelligente (Smart city) peut ouvrir de nouvelles opportunités.
Mais si les promesses sont grandes, les interrogations sont majeures : villes et territoires sont-ils (seront-ils) à la hauteur des enjeux de la création de valeur économique, sociale et environnementale de notre monde ?
Les interrogations se multiplient :
La conférence Mutations urbaines et territoriales de la chaire eTi veut constituer en Sorbonne un lieu de dialogue et d’échange entre les chercheurs, les acteurs des collectivités, les praticiens et citoyens pour traiter des enjeux de la mutation urbaine et territoriale.
Parce que ces acteurs ne peuvent rester muets sur ces enjeux de la création de valeur économique sociale et environnementale !
La Conférence MUTe est soucieuse de mettre en valeur notamment :
A cette fin des contributions sont attendues en provenance des chercheurs, mais aussi des praticiens et acteurs des villes et territoires. Ceux-ci donneront lieu à des sessions plénières, des tables-rondes, ainsi qu’à des sessions parallèles et ateliers de travail et d’expérimentation.
Format des contributions
Contributions académiques :
Nous invitons les communautés des sciences de gestion et des sciences sociales à présenter autour de cette question :
Sont acceptées les soumissions de :
Contributions des praticiens, acteurs des villes et territoires :
Nous invitons les acteurs des villes et des territoires à faire état de leurs expérimentations, pratiques de passage à l’échelle, et à témoigner des démarches et réalisations entreprises pour développer leur territoire. Sont particulièrement visés les expériences qui permettent de mieux comprendre à la fois les dynamiques vertueuses, mais aussi les difficultés à recréer du sens et de la valeur sur les territoires.
Sont acceptées les soumissions de :
Pour plus d’informations : https://mute.sciencesconf.org/
et pour toute question concernant l’événement : mute@sciencesconf.org
Les travaux conduits dans le cadre de la conférence MUTe seront valorisés dans le cadre :
Les travaux donneront lieu également à une valorisation au sein de matériaux permettant le dialogue public (Cahiers de la Chaire eTi, articles au sein de supports de presse, captation web), afin de donner une exposition maximale aux débats et travaux réalisés.
sous la direction du Professeur Muhammad Yunus
International :
France :
Paula Berdugo (IAE Paris Sorbonne), Didier Chabaud (IAE Paris Sorbonne Business School), Raphaël Haget (IAE Paris Sorbonne), Carlos Moreno (IAE Paris-Sorbonne), Florent Pratlong (U. Paris I Panthéon-Sorbonne), Lucas Sageot-Chomel (IAE Paris Sorbonne), Jean-François Sattin (U. Paris I Panthéon-Sorbonne)mations : SciencesConf : MUTE 2020
Site internet : https://mute.sciencesconf.org/
Contact : mute@sciencesconf.org
Les participants doivent être préalablement inscrits et la présence d’au moins un des auteurs est requise par communication. L’inscription inclut l’accès aux différentes sessions du Congrès + la documentation de la Conférence MUTe ainsi que la restauration + les pauses-café + le repas de gala.
Inscription avant : le 15 Mai 2020
Frais d’inscription :
Informations : SciencesConf : MUTE 2020
Site internet : https://mute.sciencesconf.org/
Contact : mute@sciencesconf.org
Le GT a été lancé, le 24 octobre 2019 à l’IAE de Paris, lors de la réunion constitutive qui a réuni 15 chercheurs.
Colloques et publications à venir
– Revue entreprendre et innover, un numéro thématique entrepreneuriat et territoire va être annoncé en 2020 et publié en
2021.
– Chaire ETI – Conférence Mutations urbaines et territoriales les 26 et 27 mai 2020 à la Sorbonne, sous le parrainage de
Muhammad Yunus. La deuxième journée sera consacrée à la présentation de papiers, il y aura prochainement un appel à
communication.
– Colloque AIRMAP 2020 : « L’Entrepreneuriat: Quels défis pour le Management Public? , », 28-29 mai 2020, Montpellier. Les
intentions de communications doivent être envoyées avant le 31 janvier 2020 , sous forme d’un résumé de 4 500 caractères
au maximum. Appel à communication : http://www.airmap.fr/wp-content/uploads/2019/11/20200528_AIRMAP_fr.pdf
– CIFPME 2020 , du 20 au 23 octobre 2020. Le congrès propose un sous thème sur l’écosystème entrepreneurial. Soumission des
résumés étendus jusqu’au 15 février 2020.
– Conférence AIMS 2020 à Toulouse les 2, 3, 4 et 5 juin. « La stratégie inclusive : pluralité, diversité, durabilité ». Soumission des
communications jusqu’au 27 janvier 2020. Appel à communication sur ce lien : https://www.strategie-aims.com/events/conferences/31-xxixeme-conference-de-l-aims/paper_call
L’équipe thématique CREATE “Ecosystème entrepreneurial”, fondée et pilotée par Marie-Christine Chalus-Sauvannet, Professeur à l’iaelyon School of Management, a le plaisir de vous informer de l’organisation d’une journée portant sur “le financement des trajectoires entrepreneuriales”.
Cette journée, qui se déroulera le 20 février 2020, a pour objectif de croiser les regards de Chercheurs et de Praticiens sur cette thématique à forts enjeux. Vous trouverez ci-dessous le lien vers le programme final. Au plaisir de vous y retrouver!
https://iae.univ-lyon3.fr/financement-des-trajectoires-entrepreneuriales-regards-croises-1
Registration for ISBE 2019 is now open !
Track : Business Support, Strategies and Practice
Chairs: Professor Sylvie Sammut, University of Montpellier and Dr Nathalie Schieb-Bienfait, University of Nantes
The conference takes place from the 14th to the 15th of November, in New-Castle (UK)
About 400 Papers will be presented in the following parallel sessions:
• Business Creation, Early Stage Development and Business Closure
• Business Support, Strategies and Practice
• Creative Industries Entrepreneurship
• Enterprise Education
• Entrepreneurial Finance
• Entrepreneurial Governance
• Entrepreneurial Practitioner Learning
• Entrepreneurship in Minority Groups
• Family and Community Business
• Freelancing, Solo Self-Employment and Gig Economy Working
• Gender and Enterprise
• International Entrepreneurship
• Networks, Innovation and Policy
• Rural Enterprise
• SME Growth and Performance: quantitative perspectives
• Social, Environmental and Ethical Enterprise
AOM 2019 Presenter Symposium – Identity in and around Entrepreneurial Families
Tuesday, August 13th from 8:00 – 9:30am in the Grand Ballroom Salon I at the Boston Marriott Copley Place.
Eliana Crosina – Babson College
William Gartner – Babson College
From a Family to a Family Business? On the Role of Identity Anchors in the Construction of a Family Business
Eliana Crosina* – Babson College
How Psychological Needs Motivate Family Firm Identifications and Identifiers: A Framework and Future Research Agenda
Kimberly Elsbach* – University of California, Davis
Torsten Pieper – University of North Carolina, Charlotte
The Hitching Post: How Can Amish Entrepreneurs Achieve Optimal Distinctiveness in a Modern, Technology-Driven Society?
Blake Mathias* – Indiana University
Trent Williams – Indiana University
Entrepreneurial legacy: Images of Facilitating or Inhibiting Successor Entrepreneurial Identity
Miruna Radu-Lefebvre* – Audencia University
Vincent Lefebvre – Audencia University
Jean Clarke – EMLYON Business School
William Gartner – Babson College
A Novel (’s) Perspective on Identity in the Entrepreneurial Family
Mattias Nordqvist* – Jönköping University
(*) Indicates Presenter.
Psychologists and sociologists have long recognized the power of identity in shaping individuals’ thoughts and actions (e.g., Tajfel & Turner 1979; Stryker & Serpe, 1982). More recently, management and entrepreneurship researchers have also invoked identity to explain individuals’ cognitions and behaviors in the work place (see Ashforth, Harrison & Corley, 2008 for review). For example, management scholars suggest that identity can influence organizational members’ motivation and task performance (e.g., van Knippenberg, 2000), their turnover intentions (e.g., Mael & Ashforth, 1995; van Dick et al., 2004), commitment (Haslam et al., 2006), as well as their sharing of information (e.g., Tyler, 1999; Grice et al., 2006). Entrepreneurship researchers recognize the power of identity in the entrepreneurial process (e.g., Hoang & Gimeno, 2010; Fauchart & Gruber, 2011; Navis & Glynn, 2011; Powell & Baker, 2014). To illustrate, Fauchart and Gruber (2011) found that founders1’ social identities shape their markets in which entrepreneurs operate, as well as the resources they leverage to bring their ideas to fruition. Similarly, Cardon and colleagues (2009) argued that founders’ self-defining roles influence how they create their businesses; and Powell and Baker (2014) cast identity as central even to how entrepreneurs respond to adversity.
Issues of identity are especially relevant in the context of family businesses – organizations “held by a dominant coalition controlled by members of the same family or a small number of families in a manner that is potentially sustainable across generations of the family or families” (Chua, Chrisman, & Sharma, 1999). Notably, unlike other types of entrepreneurial ventures, family-run enterprises generally revolve around multiple, intersecting, personal and work-related identities held by members both individually and, more collectively, at the level of the family and of the business (Shepherd & Haynie, 2009).
On the one hand, entrepreneurship and family business researchers indicate that such identities are very important as they anchor the business, but that they also constitute a central source of conflict among family members (Shepherd & Haynie, 2009). On the other hand, identity scholars (e.g., Pratt & Foreman, 2000) suggest that individuals can find productive ways to manage multiple salient conflicting identities. However, the dearth of empirical research in this specific domain – that is, identity in/around family businesses, makes it unclear how and why family members might differentially manage their multiple identities, and with what possible implications for their well-being, and their family firms.
Unique in family businesses or in entrepreneurial families – terms we use here to denote both mature multi-generational family enterprises, as well as nascent family-run organizations based on kinship and/or on socially constructed family-like relationships – is the chronological ordering and interdependence of multiple salient identities. Indeed, in most cases, one’s membership in, and role as a family member precedes one’s membership in and role as a member of the business. Further, expectations around family role/membership often influence those of role/membership in the business (e.g., Rothbard, 2001; Rothbard & Edwards, 2003; Shepherd & Haynie, 2009). Taken together, these characteristics of entrepreneurial families make them an ideal site to explore issues of identity, including its construction and upkeep, as well as multiple identity management strategies (e.g., Pratt & Foreman, 2000).
Indeed, scholars have pleaded for additional research in this area. Specifically, they have invited methodological plurality, including the deployment of qualitative and interdisciplinary research (e.g., De Massis & Kotlar, 2014; Chrisman et al., 2008), and more specifically “different extensions or applications of grounded theory and intensive qualitative research such as ethnography.” (Velasco, Garcia, & Parra, 2013: 46)
Each one of the five papers in this symposium allows us to explore different facets of identity in/around entrepreneurial families, to consider new influences, mechanisms, and understandings of identity alongside family, and ultimately to raise new questions for future research. In particular, the first and last presentations by Crosina and Nordqvist examine the dynamic formation and maintenance of identity in the context of a newly formed, and in that of a more mature, family business. The second presentation by Elsbach and Pieper explores motives for invoking identity as basis for self-definition in family firms. More specifically, it provides a conceptual framework to understand why family members may identify with their family firm, and with what consequences. The third presentation by Mathias and Trent explores a different side of identification in entrepreneurial families, unveiling various loci of identification among Amish entrepreneurs. In doing so, Mathias and Trent expand traditional understandings of “family” beyond kinship, to encompass “family” as socially constructed. Finally, Radu-Lefebvre and colleagues address issues of succession and identity in multi-generational organizations, suggesting innovative ways to surface the paradox of preserving the past while innovating for the future.
More specifically, in the first presentation, Crosina shares preliminary findings from an ongoing, longitudinal, field study that explores the formation of a family business. Through a combination of data from MediaCo and its three co-founders, she theorizes the dynamic co-evolution of the organization’s activities and identity. Notably, she finds that MediaCo’s identity emerges in relation to: (1) the types of clients MediaCo secures; (2) the creative work that the company produces; as well as (3) the changing familial dynamics among co-founders.
In the second presentation, Elsbach and Pieper theorize a number of different psychological needs and motives (e.g., for self-esteem, continuity, distinctiveness, belonging) that motivate identification with family firms. Based on a framework of these motives, their specific influence on, as well as outcomes of family firm identification, the authors propose promising avenues for future research.
In the third presentation, Mathias and Trent present preliminary insights from their ongoing qualitative study of Amish entrepreneurs. Among others, they explore the unique social identity of such entrepreneurs, including how the Amish strive to maintain central aspects of their identity (e.g., family, community and craftsmanship) while restricting/rejecting others (e.g., technology).
In the fourth presentation, Radu-Lefebvre and colleagues leverage drawings and accompanying narratives from successors of high-profile French companies that depict the family firm – including its origins, current state, and successors’ vision for the organization’s future. In doing so, they theorize how successors differentially create prospective organizational identities as they manage the paradox of preserving the family legacy while seeking to “evolve and diverge” from the past (Hammond, Pearson & Holt, 2006: 1220).
To conclude, Nordqvist proposes a parallel between identity dynamics in the family context and the Swedish novel The Head of the Firm. Drawing from this novel, the author suggests that the identity of a family entrepreneur morphs in relation to conflicting family, business, societal norms and expectations. In doing so, Nordqvist brings to the fore the dynamic construction of identity (including triggers for identity work) in the context of a family business, and models a novel methodological approach to study identity in family firms.
1 Throughout this submission, we use “founder” interchangeably with “entrepreneur.”
Saturday, August 10th, from 8:00 – 10:00 in the Boston Mariott Copley Place, Grand Ballroom Salon ABC.
Chairs: Esra Memili, Kathleen Randerson, Natalia Vershinina
This PDW showcases a wide variety of pedagogical practices, tools and resources. During hands-on activities, experts will share innovative pedagogical practices and resources. This PDW brings together key actors in FEE who are willing to share their insights and experiences. One topic per table, experts will share their experience, insights, and answer questions from attendees. The workshop will be divided into 20-minute segments to allow attendees to participate in several tables. The line-up of topics and experts:
1 | Highlighting different cultural contexts through case studies : Latin America | Fernando Sandoval Ana Gonzales Claudio Müller |
2 | Highlighting different cultural contexts through case studies: Asia | Marleen Dieleman Andrea Santiago |
3 | Highlighting different cultural contexts through case studies: North America | Patricia Angus |
4 | Highlighting different cultural contexts through case studies: Europe | Allan Discua Cruz Mattias Nordqvist |
5 | Going from a STEP case to a teaching case | Catherine Faherty Luis Diaz |
6 | Preparing teams of students for the Global Case Competition | Promodita Sharma Rocki-Lee DeWitt Massimo Bau |
7 | Online resources
| Kim Eddleston (FamilyBusiness.org) Thomas Zellweger (the Family Business Navigator) |
8 | Cross-disciplinary approach in teaching | Erik Monsen Jerry Katz Dianne Welsh |
9 | Involving family business owners and managers | Sherri Noxel Carol Wittmeyer |
10 | Innovative approaches in teaching family entrepreneurship at graduate levels | Reinhard Prugl |
11 | Bringing the self into family entrepreneurship learning | Isabell Botero |
12 | Family Entrepreneurship Executive Education:
| Vincent Lefebvre Jim Cater |
13 | Pedagogical practices targeting non-family members working for a family business or advisors to family businesses | Alfredo De Massis Kathleen Randerson Lloyd Steier |
14 | Editor’s table: no preparation required. | Torsten Pieper (Journal of Family Business Strategy) Tyge Payne (Family Business Review) Jim Cater (Journal of Family Business Management) (TBC) Entrepreneurship & Regional Development |
https://www.acfas.ca/evenements/congres/programme-preliminaire/400/459
Appel à communications Acfas – no. 459
Présentation
Ce colloque d’une durée de deux journées organisé par l’Institut de recherche sur les PME (INRPME; www.inrpme.ca) vise à rassembler chercheurs, acteurs de terrain et utilisateurs des connaissances liées au sujet des écosystèmes entrepreneuriaux innovants pour partager leurs savoirs, leurs réflexions et leurs expériences.
Sujet du colloque
La combinaison des effets de la mondialisation, de la tertiarisation de l’économie, de l’accélération et de la complexification de l’innovation, de l’apparition de nouvelles technologies et du développement de nouveaux modèles de production replace le fait territorial au coeur du champ d’analyse portant sur le développement socio-économique et sur l’un de ses moteurs, l’entrepreneuriat. Qu’il s’agisse des modèles de la nouvelle économie géographique, des études sur les concepts de systèmes productifs locaux, de milieux novateurs, de clusters industriels et pôles de compétitivité ou de spécialisation intelligente, ces développements favorisent l’émergence d’une diversité d’initiatives territoriales ayant pour objectif de stimuler ou de soutenir l’entrepreneuriat (Stam et Spigel, 2016-1).
Le concept d’écosystème entrepreneurial offre un cadre d’analyse holistique qui contribue à structurer cette réflexion en intégrant les choix, les agissements et l’influence de plusieurs acteurs liés au phénomène entrepreneurial sur un territoire (Borissenko et Boshma, 2017-2). L’écosystème entrepreneurial est notamment constitué des entrepreneurs émergents et des entrepreneurs seniors, des institutions d’enseignement et de recherche, des instances gouvernementales locales, des mentors, des investisseurs et institutions de financement, des fournisseurs de services professionnels, des consommateurs d’un territoire donné (Stam and Spigel, 2016; Stam et Van de Ven, 2018-3; Scaringella et Radziwon, 2018-4). La présence d’un écosystème entrepreneurial renvoie aussi à la question de la culture entrepreneuriale locale qui peut la renforcer ou contribuer à l’initier (Davidsson, 1995-5).
Depuis une dizaine d’années, on voit apparaître de multiples initiatives qui émergent à la fois des institutions publiques et des acteurs visant à favoriser le développement entrepreneurial dans un espace territorialement délimité. On pense notamment aux FabLabs et Livinglabs, aux Hubs innovants, aux espaces de Coworking qui, au-delà de leur diversité, s’appuient tous sur la même idée voulant que les interactions entre les acteurs encastrés sur un territoire, dans un espace physique ou virtuel, vont contribuer à cultiver l’entrepreneuriat (Germain, 20166). Ainsi, ces initiatives contribuent au renforcement ou à l’amorce d’écosystèmes régionaux. Depuis quelques années, nous assistons à une multiplication d’initiatives de cette nature. Par exemple, entre 2014 et 2015, le nombre de Fablabs a presque doublé dans le monde, passant de 266 à près de 500 (Rampa, 2015-7; Ferchaud et Dumont, 2017-8; Fonrouge, 2018-9). Au Québec, nous observons également cette effervescence. Un manifeste signé par 19 signataires pour la « Création de Réseaux régionaux de Hubs innovants pour promouvoir et soutenir l’entrepreneuriat au sein de chacune des régions du Québec – 10» en témoigne. Ces initiatives s’ajoutent aux activités déjà en place sur un territoire, tels les incubateurs, les clusters et les grappes industrielles. Ainsi se côtoient dans un même écosystème des initiatives de type déterministe, mises en place par les instances publiques (top-down), et volontaire (bottom-up), émanant des initiatives d’acteurs de terrain, dans un espace circonscrit, mais virtuellement non limité.
Bien que les particularités des diverses initiatives puissent être distinguées, ce qu’il conviendra de faire en début de colloque, elles contribuent à une même mission, soit celle de favoriser la construction d’une économie collaborative et interconnectée entre de multiples acteurs, centrée sur le développement territorial de l’entrepreneuriat. Cela dit, cette profusion d’initiatives favorise-t-elle véritablement l’entrepreneuriat territorialisé?
Sème-t-elle davantage de confusion et de tensions chez les acteurs ?
Ces initiatives sont-elles agencées de manière cohérente pour maximiser les retombées?
Pour mieux appréhender ce phénomène de multiplication des initiatives qui participent au dynamisme des écosystèmes entrepreneuriaux, gouvernance, pertinence, soutien et retombées liées à ces nouveaux projets constituent les sujets principaux de ce colloque.
Références
1 Stam, E. et Spigel, B. (2016). « Entrepreneurial Ecosystem ». Discussion Paper Series 16-13. Utrecht School of Economics Tjalling C. Koopmans Research Institute.
2 Borissenko, J. et Boshma, R. (2017). « A critical review of entrepreneurial ecosystems research: Towards a future research agenda ». Papers in Innovation Studies Paper no. 2017/03. Centre for Innovation, Research and Competence in the Learning Economy.
3 Stam, A. et Van de Ven, A. (2018) « Entrepreneurial Ecosystem: A Systems Perspective ». Working Paper Series 18-06. Utrecht University School of Economics Research Institute.
4 Scaringella, L. et Radziwon, A. (2018). « Innovation, entrepreneurial, knowledge, and business ecosystems: old wine in new bottles?” Technological Forescating et Social Change, (136) 59-87.
5 Davidsson, Per. 1995. “Culture, Structure and Regional Levels of Entrepreneurship.” Entrepreneurship & Regional Development, 7(1), 41-62.
6 Germain, O., 2017. « Les théories en entrepreneuriat : pour que les fruits passent la promesse des fleurs », pp.17-58, dans St-Pierre, J. et F. Labelle. (2017). Les PME d’hier à demain : Bilan et perspectives. Presses de l’Université du Québec, Collection Entrepreneuriat & PME, 685 p.
7 Rampa, R. (2015) « FabLabs: Les dynamiques de connaissances globales et locales des nouveaux tiers lieux du faire. Mémoire de maîtrise, HEC Montréal, 136 p. (http://biblos.hec.ca/biblio/memoires/2015NO20.PDF).
8 Ferchaud, F. et Dumont, M. (2017) « Les espaces de fabrication et d’expérimentation numérique sont-ils des tiers-lieux? Une analyse du cas des Fablabs à Rennes et Toulouse ». Territoire en mouvement, Revue de géographie et aménagement [En ligne], 34 |. URL : http://tem.revues.org/4203 ; DOI : 10.4000/tem.4203.
9 Fonrouge, C. (2018). Les fablabs et l’émergence de figures alternatives de l’entrepreneur. Projectics / Proyectica / Projectique, (1), 41-55.
10 5e Forum des Idées pour le Québec, De l’ambition pour nos régions, Saint-Hyacinthe, 8-9-10 septembre 2017.
Propositions de communication :
Dans ce contexte, le portrait d’ensemble des écosystèmes régionaux innovants devient difficile étant donné la prolifération et la diversité des initiatives, qu’elles soient volontaires ou « forcées ».
C’est pour réfléchir à ce phénomène que nous lançons un appel à communications aux chercheurs, étudiants et acteurs de terrain sur les deux thèmes suivants* :
* Il est à noter que ces deux thèmes feront également l’objet de discussion lors de deux tables rondes qui se tiendront pendant le colloque
Contenu de l’intention de communication
L’intention de communication comprend une page titre et une page pour le résumé.
Format des présentations lors du colloque :
Communication orale (de préférence avec support visuel) d’une durée de 15-20 minutes (selon le nombre de participants) + 5 minutes de questions et discussion
Calendrier
Les propositions de communication doivent être envoyées à l’adresse courriel suivante, en indiquant dans l’objet « ACFAS 2019 – INRPME » : Lucette.Marcotte.Beebe@uqtr.ca
Critères d’évaluation :
Le comité organisateur du colloque agit également à titre de comité scientifique et a le mandat d’évaluer les propositions de communication reçues en fonction des critères suivants :
De plus en plus mondialisé, financiarisé et interconnecté, le monde d’aujourd’hui dans lequel évoluent nos organisations et nos territoires nous invite à acter le changement et à réinventer de nouvelles pratiques pour répondre à des problématiques de plus en plus complexes. Émergent alors de nombreux discours sur le rôle de la créativité (Parmentier et al., 2017 ; Liu et al., 2017). Or, la créativité a été longtemps associée à la sphère des artistes, ou des grands penseurs selon une approche du monde qui est stratifié ; dit autrement, hormis les acteurs directement impliqués par le sujet, les autres n’avaient pas voix au chapitre (Lubart, 2003). Aujourd’hui, à l’ère de la diffusion rapide des connaissances par le numérique, de la montée en compétence dans le domaine de la créativité (cf. les outils d’intelligence collective, les Tiers Lieux, les FabLab (Suire, 2013)) des individus, qu’ils soient salariés, entrepreneur, citoyen ou étudiant, la créativité n’est plus considérée comme étant un sujet réservé à une minorité de personnes. Elle concerne l’ensemble des acteurs de l’économie et de la société.
C’est ainsi que l’on retrouve la créativité au carrefour des mutations économiques, technologiques, culturelles et sociales, comme une réponse à la nécessité d’apporter une saveur de nouveauté (Tremblay, 2008), d’identifier de nouvelles sources de diversité, de singularité et de plus-value, et de renouveler les organisations, mais aussi les territoires, notamment ceux traversés par des crises.
Considérant que l’environnement joue un rôle majeur sur l’émergence des idées, leur collecte, leur sélection et leur implémentation (Ford, 1996), la créativité nourrit les réflexions sur la ville et le territoire, à travers, notamment les classes créatives (Florida, 2005), les clusters créatifs (Hitters et Richards (2002) et les villes ou quartiers créatifs (Landry, 2000 ; Cohendet et Zapata, 2009 ; Saives et al. 2016). Toutefois, sous ces approches, la créativité se trouve confinée à un capitalisme créatif essentiellement dans une dimension économique productive, ce qui a tendance à évacuer d’autres dimensions possibles de la créativité quand il s’agit de s’intéresser au territoire et à la ville.
La ville se voit de plus en plus investie d’un rôle d’incubateur de la créativité, et devient en somme un laboratoire à ciel ouvert (voir les cas de Barcelone et Montréal dans le cadre des Écoles d’été de la créativité, par exemple (Cohendet et al., 2009)). En retour, la créativité incubée favorise le renouvellement de la ville en respectant son histoire, son l’ancrage culturel et artistique, et son patrimoine, et peut-être, son appartenance au réseau « villes créatives » au sens de l’UNESCO.
Ce congrès pluridisciplinaire a ainsi pour objectif de croiser les regards de chercheurs (économie, gestion, histoire, sociologie, géographie, étude urbaine…) et de praticiens (entreprises publiques et privées, institutions étatiques, organisations non gouvernementales, etc.) sur le thème de la créativité et la ville. Nous retenons, de manière non exhaustive, les domaines du tourisme, de la culture, de l’environnement et du développement durable, du changement climatique, de l’entrepreneuriat culturel et créatif, de l’entrepreneuriat social. Trois axes permettront d’aborder ces regards complémentaires
Call for Papers – 4th Annual Entrepreneurship as Practice Conference and PhD Symposium – 3-5 April 2019 – Audencia Business School, Nantes, France
Call for Papers – 4th Annual Entrepreneurship as Practice
Conference and PhD Symposium – 3-5 April 2019
Audencia Business School, Nantes, France
About the Conference
The 4th version of this conference aims to advance understanding of entrepreneurship-as-practice, foster network ties, facilitate collaborative writing relationships, and build a strong community of practice scholars. To do so, we have developed a Research Conference and PhD Symposium that educates interested scholars as well as develops empirical and conceptual papers regarding the ‘practice turn’ taking place in entrepreneurship studies.
Building on the first (February 2016 at VU Amsterdam), second (February 2017 at University College Dublin Quinn School of Business) and third (April 2018 at Linnaeus University) Entrepreneurship as Practice conferences, this conference and PhD symposium bring together the growing community of researchers who embrace the “practice turn”. Initiated by such calls as Steyaert (2007) and Johannisson (2011), the entrepreneurship-as-practice movement is now gaining traction, witnessed by such contributions as De Clercq & Voronov (2009), Tatli et al. (2014), Goss et al. (2011), Keating et al. (2013), Chalmers and Shaw (2017), Dimov (2018) and Matthews et al. (2018).
Practice theorists of entrepreneurship studies share a number of common assumptions. First, instead of thoughts and ideas hidden inside individual entrepreneurial minds, the central focus of inquiry are the spontaneously expressed, living, responsive, relational practices occurring out in the world between us for all to see. Second, practices are seen as the relevant unit of analysis for the exploration of entrepreneurial phenomena. Although there is no one definition of practice possible, they are fundamentally collaborative and relational activities, not solely reducible to the agents who carry them out. As they are defined by Schatzki, practices are organized by the enactment of sequential bodily activities, mediated by ‘things’ and their use, and drawing upon practical knowledge. Practices bring together actors, activities and contexts, thus interrelating social structures and human agency (Dodd et al., 2016; Hill, 2018; Tatli et al., 2014). Consequently, EaP research aims to observe, theorize and unfold the practices―as ways of doing and saying things―carried out by practitioners (entrepreneurs and their partners).
Drawing on these shared assumptions, recent scholarship has advanced entrepreneurship research in several ways. First, entrepreneurship as practice continues to move away from understanding ‘who’ an entrepreneur is towards the importance of collaborative activity, performance, and work in the creation and perpetuation of entrepreneuring (Gartner et al., 2016; Keating et al., 2013; Matthews et al., 2018). Second, theories of practice help us understand the critical role of the body, practical know-how and material objects in organizing entrepreneurship. Third, theories of practice help us perceive and better understand the reproduction and transformation of practices and practical knowledge related to entrepreneurial phenomena across time and space.
However, emphasizing the intricate socially-situated nature of practices comes with considerable ontological, theoretical and methodological implications. These will be addressed during the Conference and PhD Symposium.
For background and information on EaP literature, prior conferences and other pertinent materials, please go to:
Structure of the Conference and PhD Symposium
The Conference will be held over three full days: Registration & welcoming will take place on April 2nd late afternoon. April 3rd will focus on theoretical issues, April 4th on methodological issues and April 5th on a paper development workshop. The conference will include keynote lectures and workshops, a panel session on publishing entrepreneurship as practice research and a working paper development session.
Participating scholars are welcome to choose one or more days of the conference when registering.
PhD candidates who want ECTS credits for their participation are required to attend all three days of the conference, as well as generate additional work beyond what is required by other participants in the conference.
We welcome papers addressing theories of practice and creative organizing from a variety of disciplinary and methodological perspectives. Entrepreneurship, management, strategy, social sciences, humanities studies are all welcomed.
Potential although not exclusive topics that may be addressed include:
All scholars who are interested in the paper development workshop and PhD candidates wishing to attend the conference should submit an abstract (of less than 1,000 words) by 3 December 2018 to eap4@audencia.com.
Abstracts should not exceed two single-spaced pages, and may not exceed the maximum limit of 1,000 words. They should present the purpose of the research, the relevance of the problem, the literature review, the methods and the main findings. 3 to 5 keywords and an indicative Topic of the Conference should be included. Authors will be notified of acceptance or otherwise by December 15, 2018. Full working papers are due for February 15, 2019.
Full working papers should have the following structure: introduction, literature review or conceptual framework, methodology, results, discussion and conclusion. The text should be 10-15 pages, characters Times New Roman 12, single spacing. Abstracts and papers should be written and presented in English.
All working papers will be assigned to discussion groups. Each group member will be responsible for providing feedback on the papers received during the working paper session on April 5.
Abstract Submission Deadline PhD Symposium and Research Conference | December 3rd, 2018 |
Notification of Acceptance PhD Symposium and Research Conference | December 15th, 2018 |
Full Paper Submission Deadline | February 15th, 2019 |
Registration Deadline | March 1st, 2019 |
Conference Date | April 3-5th, 2019 |
Conference Fees:
Fees for PhD Symposium and Research Conference attendees are to be determined and posted by October 1, 2018.
Organizing Committee (extract)
Claire Champenois (Audencia Business School), Miruna Radu-Lefebvre (Audencia Business School)
William B. Gartner (Babson College and Linnaeus University), Bruce Teague (Eastern University Washington), Neil Thompson (VU University Amsterdam), Ola Byrne (UCD Dublin)
Audencia Business School & Nantes
EAP4 will be held at Audencia Business School, Nantes, France on April 2-5 2019. Founded in 1900, Audencia Business School is one of France’s elite Grande Ecole higher education institutions – ranked 6th in the nation (SIGEM). World renowned for education and research in business and management, it ranks among the top 100 worldwide (The Economist). Among the 90 tenured faculty members, seven focus on Entrepreneurship.
Nantes is a modern innovative and green city with old-world flair city. It is two hours from Paris (by train), one hour from London (by plane), and 45 minutes from the Atlantic Coast (by car or train).
For Further Information and Questions Please contact eap4@audencia.com
References
Chalmers, D. M., & Shaw, E. (2017). The endogenous construction of entrepreneurial contexts: A practice-based !perspective. International Small Business Journal, September(1967), 19–39.
De Clercq, D., & Voronov, M. (2009). Toward a Practice Perspective of Entrepreneurship: Entrepreneurial Legitimacy as Habitus. International Small Business Journal, 27(4), 395–419.
Dimov, D. (2018). Opportunities, language and time. Academy of Management Perspectives, in press.
Dodd, S. D., Pret, T., & Shaw, E. (2016). Advancing understanding of entrepreneurial embeddedness : forms of capital , social contexts and time. In F. Welter & W. B. Gartner (Eds.), A research agenda for entrepreneurship and context (pp. 120–133). Cheltenham, UK: Edward Elgar Pub.
Gartner, W. B., Stam, E., Thompson, N. A., & Verduyn, K. (2016). Entrepreneurship as practice: grounding contemporary practice theory into entrepreneurship studies. Entrepreneurship & Regional Development, 28(9–10), 813–816.
Goss, D., Jones, R., Latham, J., & Betta, M. (2011). Power as practice: A Micro-sociological Analysis of the Dynamics of Emancipatory Entrepreneurship. Organization Studies, 32(2), 211–229.
Hill, I. (2018). How did you get up and running? Taking a Bourdieuan perspective towards a framework for negotiating strategic fit. Entrepreneurship and Regional Development, 1–35.
Johannisson, B. (2011). Towards a practice theory of entrepreneuring. Small Business Economics, 36(2), 135–150.
Keating, A., Geiger, S., & Mcloughlin, D. (2013). Riding the Practice Waves: Social Resourcing Practices During New Venture Development. Entrepreneurship: Theory and Practice, 38(5), 1–29.
Matthews, R. S., Chalmers, D. M., & Fraser, S. S. (2018). The intersection of entrepreneurship and selling: An interdisciplinary review, framework, and future research agenda. Journal of Business Venturing, (June 2016), 1–0.
Steyaert, C. (2007). ‘Entrepreneuring’ as a conceptual attractor? A review of process theories in 20 years of entrepreneurship studies. Entrepreneurship & Regional Development, 19(6), 453–477.
Tatli, A., Vassilopoulou, J., Özbilgin, M., Forson, C., & Slutskaya, N. (2014). A Bourdieuan relational perspective for entrepreneurship research. Journal of Small Business Management, 52(4), 615–632.
« Entrepreneurship Education, rethinking connections: Opportunities and Challenges »
Roanne,
March the 7 and 8 2019
& Call For Paper Entreprendre & Innover
Entrepreneurship Education rethinking connexions Roanne 2019
(Valerio, Parton and Robb, 2014. Yet, it still faces problems of disciplinary legitimacy (Katz, 2008) ,of teacher’s legitimacy (Foliard, Le Pontois and Fayolle, 2018) or of difficulties in finding its place within the University (Gibb, 2011).
– Even more problematic, the gap between schools or universities and practitioners, entrepreneurs, remains largely open with real difficulties to include EE in an entrepreneurial ecosystem that does not expect advances and development of new behaviors, nor of tools and knowledge. The stakes are high and the connections must be increased and improved to enrich the lessons taken from practice. Research must also be used as an improvement lever through stronger theoretical and methodological bases (Fayolle, Verzat and Wapshott, 2016) to develop critical analysis.
While each of these actors is confronted with its own problems, interconnections can be the basis of contemporary, authentic, and effective teaching programs. However, these interconnections are rare and the literature weakly addresses the links between the members of this triad. Research can play a role in bringing these actors together by showing good practices and by providing analysis and reflexivity. EE remains a hot topic for 2018, particularly for its practical scope and managerial implications (Kuckertz and Prochotta, 2018). The development of initiatives from the private sector and associations to support future entrepreneurs is symptomatic of the situation and it questions the functioning of our organizations. Recent initiatives, such as Ecole 42 and Matrice, support student autonomy by offering non-course and teacher-free programs based on peer learning and coaching.
Our environment is changing very quickly and many initiatives are being launched. Connections between policy makers, EE and practitioners need to be consolidated. The purpose of this call for papers is to prolong the debates around the following main themes:
Practices of entrepreneurship education (EE):
Assessment and impact measurement of EE:
Critical questions about EE:
The role of researchers and of research in EE:
This call for papers is an opportunity to connect researchers, practitioners, entrepreneurs, policy makers and entrepreneurship educators, in order to establish a broad overview of innovative pedagogical practices and their impact. It allows a review of recent research for educators, as well as review (s) and interview (s) through an open forum directed to educators, students, entrepreneurs and researchers.
The scientific committee will examine the epistemological, theoretical, empirical and methodological approaches with interest to continue thinking about entrepreneurship education in today’s fast and complex world. Alongside academic papers, more professional-type communications (practices, testimonials, stories, etc.) as well as case studies are also eligible and will be examined with the utmost attention.
SCIENTIFIC COMMITTEE – EDITORIAL COMMITTEE Entreprendre & Innover
Alain FAYOLLE, emlyon business school, France
Bernard SURLEMONT, HEC-Ecole de Gestion de l’Université de Liège, Belgique
Caroline VERZAT, ESCP Europe, France
Dominique-Anne MICHEL, Secrétaire générale de la rédaction
Elisabeth GELAS, emlyon business school, secrétaire de rédaction
Franck BARÈS, HEC Montréal, Canada
Fabienne BORNARD, INSEEC Lyon, France
Nathalie CARRÉ, CCI France – CCI Entreprendre en France
Didier CHABAUD, IAE Paris Sorbonne
Jacques-Henri COSTE, université de la Sorbonne, France
Dominique FRUGIER, président d’Alicelab’, secrétaire général de l’Académie de l’Entrepreneuriat et de l’Innovation
Chrystelle GAUJARD, Groupe Yncréa, Lille, France
Amélie JACQUEMIN, Louvain School of Management, UCL, Belgique
Wadid LAMINE, Toulouse Buisness School, France
Benoît RAUCENT, Université Catholique de Louvain la Neuve, Belgique
Olivier TOUTAIN, ESC Dijon Bourgogne
Olivier WITMEUR, Solvay Brussels School of Economics and Management, Belgique
CREE and ENGAGE
Dag Håkon Haneberg NTNU
Fabienne BORNARD INSEEC U
Gunn-Berit Sæter NTNU
Imran QURESHI emlyon business school
Janice BYRNE IESEG School of Management
Joseph TIXIER emlyon business school
Julie FABBRI emlyon business school
Karolina LESNIAK NTNU
Lise Aaboen NTNU
Martine HLADY RISPAL University of Limoges
Michela LOI University of Cagliari
Miruna RADU LEFEBVRE Audencia Business School
Mohsen TAVAKOLI, EM-Lyon Business
School & Université Grenoble Alpes (CERAG).
Muhammad Imran emlyon business school
Noreen O’SHEA ESCP Europe
Olivier TOUTAIN Burgundy School of Business
Øystein Widding NTNU
Roger SØRHEIM NTNU
Sandrine LE PONTOIS IUT de Roanne
Saulo DUBARD BARBOSA, EM-Lyon Business School
Stéphane FOLIARD IUT de Roanne
Torgeir Aadland NTNU
GUEST SPEAKERS:
Dr Andrea-Rosalinde HOFER Policy Analyst – Entrepreneurship Policy and Analysis – OECD
Peter BAUR – DG Education and Culture – European Commission
COMMUNICATION GUIDELINES
Extended abstracts will be between 1,000 and 3,000 words in French or English. They will specify the problem and the interest of the research, the theoretical framework(s), the methodology, the envisaged results, the potential contribution. They are to be sent exclusively in PDF and anonymous format to: stephane.foliard@univ-st-etienne.fr
SAVE THE DATE
Sending extended summaries October the 31 2018
Response of the Scientific Committee December the 15 2018
Sending complete communications February the 10 2019
Deadline for registration
Special issue publication
March the 1st 2019
Summer 2019
OPPORTUNITY OF PUBLICATION
The best original texts responding to the main theme allowing a dialogue between practitioners and researchers (be careful to respect the instructions to the authors of this review that will be transmitted to the participants) and retained by the Scientific Committee will be proposed to the journal Entreprendre & Innover (classified category 4 FNEGE) for a special issue devoted to EE (Editors: Caroline VERZAT, ESCP Europe Business School Paris, Saulo DUBARD BARBOSA, EM-Lyon Business School, Stéphane FOLIARD, Jean Monnet University, St-Etienne , Mohsen TAVAKOLI, EM-Lyon Business School & University Grenoble Alpes (CERAG)). They will be peer reviewed according to the rules of double blind procedures.
VALORISATION OPPORTUNITY
In order to promote and spread the work as widely as possible, we are organizing a TEDx University on Friday, on March 8th 2019 in the afternoon. Speakers will present and disseminate their ideas. The principle of TEDx is to popularize to spread the worth ideas widely. The subject will have to be simplified and the presentations should last for 18 minutes maximum. The number of speakers will be between 6 and 10.
PRACTICAL INFORMATIONS
Registration fee: 160 Euros (including material, coffee breaks, meals), 80 Euros for PhD students.
City informations of Roanne:
http://leroannais.com/
CONTACTS
stephane.foliard@univ-st-etienne.fr 0033 6 08 73 51 16
and sandrine.lepontois@univ-st-etienne.fr
QUOTED REFERENCES
Béchard, J. P., & Grégoire, D. (2005). Entrepreneurship education research revisited: The case of higher education. Academy of Management Learning & Education, 4(1), 22-43.
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Call for Papers – 4th Annual Entrepreneurship as Practice
Conference and PhD Symposium – 3-5 April 2019
Audencia Business School, Nantes, France
About the Conference
The 4th version of this conference aims to advance understanding of entrepreneurship-as-practice, foster network ties, facilitate collaborative writing relationships, and build a strong community of practice scholars. To do so, we have developed a Research Conference and PhD Symposium that educates interested scholars as well as develops empirical and conceptual papers regarding the ‘practice turn’ taking place in entrepreneurship studies.
Building on the first (February 2016 at VU Amsterdam), second (February 2017 at University College Dublin Quinn School of Business) and third (April 2018 at Linnaeus University) Entrepreneurship as Practice conferences, this conference and PhD symposium bring together the growing community of researchers who embrace the “practice turn”. Initiated by such calls as Steyaert (2007) and Johannisson (2011), the entrepreneurship-as-practice movement is now gaining traction, witnessed by such contributions as De Clercq & Voronov (2009), Tatli et al. (2014), Goss et al. (2011), Keating et al. (2013), Chalmers and Shaw (2017), Dimov (2018) and Matthews et al. (2018).
Practice theorists of entrepreneurship studies share a number of common assumptions. First, instead of thoughts and ideas hidden inside individual entrepreneurial minds, the central focus of inquiry are the spontaneously expressed, living, responsive, relational practices occurring out in the world between us for all to see. Second, practices are seen as the relevant unit of analysis for the exploration of entrepreneurial phenomena. Although there is no one definition of practice possible, they are fundamentally collaborative and relational activities, not solely reducible to the agents who carry them out. As they are defined by Schatzki, practices are organized by the enactment of sequential bodily activities, mediated by ‘things’ and their use, and drawing upon practical knowledge. Practices bring together actors, activities and contexts, thus interrelating social structures and human agency (Dodd et al., 2016; Hill, 2018; Tatli et al., 2014). Consequently, EaP research aims to observe, theorize and unfold the practices―as ways of doing and saying things―carried out by practitioners (entrepreneurs and their partners).
Drawing on these shared assumptions, recent scholarship has advanced entrepreneurship research in several ways. First, entrepreneurship as practice continues to move away from understanding ‘who’ an entrepreneur is towards the importance of collaborative activity, performance, and work in the creation and perpetuation of entrepreneuring (Gartner et al., 2016; Keating et al., 2013; Matthews et al., 2018). Second, theories of practice help us understand the critical role of the body, practical know-how and material objects in organizing entrepreneurship. Third, theories of practice help us perceive and better understand the reproduction and transformation of practices and practical knowledge related to entrepreneurial phenomena across time and space.
However, emphasizing the intricate socially-situated nature of practices comes with considerable ontological, theoretical and methodological implications. These will be addressed during the Conference and PhD Symposium.
For background and information on EaP literature, prior conferences and other pertinent materials, please go to:
https://www.entrepreneurshipaspractice.com/
Structure of the Conference and PhD Symposium
The Conference will be held over three full days: Registration & welcoming will take place on April 2nd late afternoon. April 3rd will focus on theoretical issues, April 4th on methodological issues and April 5th on a paper development workshop. The conference will include keynote lectures and workshops, a panel session on publishing entrepreneurship as practice research and a working paper development session.
Participating scholars are welcome to choose one or more days of the conference when registering.
PhD candidates who want ECTS credits for their participation are required to attend all three days of the conference, as well as generate additional work beyond what is required by other participants in the conference.
We welcome papers addressing theories of practice and creative organizing from a variety of disciplinary and methodological perspectives. Entrepreneurship, management, strategy, social sciences, humanities studies are all welcomed.
Potential although not exclusive topics that may be addressed include:
All scholars who are interested in the paper development workshop and PhD candidates wishing to attend the conference should submit an abstract (of less than 1,000 words) by 3 December 2018 to eap4@audencia.com.
Abstracts should not exceed two single-spaced pages, and may not exceed the maximum limit of 1,000 words. They should present the purpose of the research, the relevance of the problem, the literature review, the methods and the main findings. 3 to 5 keywords and an indicative Topic of the Conference should be included. Authors will be notified of acceptance or otherwise by December 15, 2018. Full working papers are due for February 15, 2019.
Full working papers should have the following structure: introduction, literature review or conceptual framework, methodology, results, discussion and conclusion. The text should be 10-15 pages, characters Times New Roman 12, single spacing. Abstracts and papers should be written and presented in English.
All working papers will be assigned to discussion groups. Each group member will be responsible for providing feedback on the papers received during the working paper session on April 5.
Abstract Submission Deadline PhD Symposium and Research Conference | December 3rd, 2018 |
Notification of Acceptance PhD Symposium and Research Conference | December 15th, 2018 |
Full Paper Submission Deadline | February 15th, 2019 |
Registration Deadline | March 1st, 2019 |
Conference Date | April 3-5th, 2019 |
Conference Fees:
Fees for PhD Symposium and Research Conference attendees are to be determined and posted by October 1, 2018.
Organizing Committee (extract)
Claire Champenois (Audencia Business School), Miruna Radu-Lefebvre (Audencia Business School)
William B. Gartner (Babson College and Linnaeus University), Bruce Teague (Eastern University Washington), Neil Thompson (VU University Amsterdam), Ola Byrne (UCD Dublin)
Audencia Business School & Nantes
EAP4 will be held at Audencia Business School, Nantes, France on April 2-5 2019. Founded in 1900, Audencia Business School is one of France’s elite Grande Ecole higher education institutions – ranked 6th in the nation (SIGEM). World renowned for education and research in business and management, it ranks among the top 100 worldwide (The Economist). Among the 90 tenured faculty members, seven focus on Entrepreneurship.
Nantes is a modern innovative and green city with old-world flair city. It is two hours from Paris (by train), one hour from London (by plane), and 45 minutes from the Atlantic Coast (by car or train).
For Further Information and Questions Please contact eap4@audencia.com
References
Chalmers, D. M., & Shaw, E. (2017). The endogenous construction of entrepreneurial contexts: A practice-based !perspective. International Small Business Journal, September(1967), 19–39.
De Clercq, D., & Voronov, M. (2009). Toward a Practice Perspective of Entrepreneurship: Entrepreneurial Legitimacy as Habitus. International Small Business Journal, 27(4), 395–419.
Dimov, D. (2018). Opportunities, language and time. Academy of Management Perspectives, in press.
Dodd, S. D., Pret, T., & Shaw, E. (2016). Advancing understanding of entrepreneurial embeddedness : forms of capital , social contexts and time. In F. Welter & W. B. Gartner (Eds.), A research agenda for entrepreneurship and context (pp. 120–133). Cheltenham, UK: Edward Elgar Pub.
Gartner, W. B., Stam, E., Thompson, N. A., & Verduyn, K. (2016). Entrepreneurship as practice: grounding contemporary practice theory into entrepreneurship studies. Entrepreneurship & Regional Development, 28(9–10), 813–816.
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Johannisson, B. (2011). Towards a practice theory of entrepreneuring. Small Business Economics, 36(2), 135–150.
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Matthews, R. S., Chalmers, D. M., & Fraser, S. S. (2018). The intersection of entrepreneurship and selling: An interdisciplinary review, framework, and future research agenda. Journal of Business Venturing, (June 2016), 1–0.
Steyaert, C. (2007). ‘Entrepreneuring’ as a conceptual attractor? A review of process theories in 20 years of entrepreneurship studies. Entrepreneurship & Regional Development, 19(6), 453–477.
Tatli, A., Vassilopoulou, J., Özbilgin, M., Forson, C., & Slutskaya, N. (2014). A Bourdieuan relational perspective for entrepreneurship research. Journal of Small Business Management, 52(4), 615–632.
« Entrepreneurship Education, rethinking connections: Opportunities and Challenges »
Roanne,
March the 7 and 8 2019
& Call For Paper Entreprendre & Innover
Entrepreneurship Education rethinking connexions Roanne 2019
(Valerio, Parton and Robb, 2014. Yet, it still faces problems of disciplinary legitimacy (Katz, 2008) ,of teacher’s legitimacy (Foliard, Le Pontois and Fayolle, 2018) or of difficulties in finding its place within the University (Gibb, 2011).
– Even more problematic, the gap between schools or universities and practitioners, entrepreneurs, remains largely open with real difficulties to include EE in an entrepreneurial ecosystem that does not expect advances and development of new behaviors, nor of tools and knowledge. The stakes are high and the connections must be increased and improved to enrich the lessons taken from practice. Research must also be used as an improvement lever through stronger theoretical and methodological bases (Fayolle, Verzat and Wapshott, 2016) to develop critical analysis.
While each of these actors is confronted with its own problems, interconnections can be the basis of contemporary, authentic, and effective teaching programs. However, these interconnections are rare and the literature weakly addresses the links between the members of this triad. Research can play a role in bringing these actors together by showing good practices and by providing analysis and reflexivity. EE remains a hot topic for 2018, particularly for its practical scope and managerial implications (Kuckertz and Prochotta, 2018). The development of initiatives from the private sector and associations to support future entrepreneurs is symptomatic of the situation and it questions the functioning of our organizations. Recent initiatives, such as Ecole 42 and Matrice, support student autonomy by offering non-course and teacher-free programs based on peer learning and coaching.
Our environment is changing very quickly and many initiatives are being launched. Connections between policy makers, EE and practitioners need to be consolidated. The purpose of this call for papers is to prolong the debates around the following main themes:
Practices of entrepreneurship education (EE):
Assessment and impact measurement of EE:
Critical questions about EE:
The role of researchers and of research in EE:
This call for papers is an opportunity to connect researchers, practitioners, entrepreneurs, policy makers and entrepreneurship educators, in order to establish a broad overview of innovative pedagogical practices and their impact. It allows a review of recent research for educators, as well as review (s) and interview (s) through an open forum directed to educators, students, entrepreneurs and researchers.
The scientific committee will examine the epistemological, theoretical, empirical and methodological approaches with interest to continue thinking about entrepreneurship education in today’s fast and complex world. Alongside academic papers, more professional-type communications (practices, testimonials, stories, etc.) as well as case studies are also eligible and will be examined with the utmost attention.
SCIENTIFIC COMMITTEE – EDITORIAL COMMITTEE Entreprendre & Innover
Alain FAYOLLE, emlyon business school, France
Bernard SURLEMONT, HEC-Ecole de Gestion de l’Université de Liège, Belgique
Caroline VERZAT, ESCP Europe, France
Dominique-Anne MICHEL, Secrétaire générale de la rédaction
Elisabeth GELAS, emlyon business school, secrétaire de rédaction
Franck BARÈS, HEC Montréal, Canada
Fabienne BORNARD, INSEEC Lyon, France
Nathalie CARRÉ, CCI France – CCI Entreprendre en France
Didier CHABAUD, IAE Paris Sorbonne
Jacques-Henri COSTE, université de la Sorbonne, France
Dominique FRUGIER, président d’Alicelab’, secrétaire général de l’Académie de l’Entrepreneuriat et de l’Innovation
Chrystelle GAUJARD, Groupe Yncréa, Lille, France
Amélie JACQUEMIN, Louvain School of Management, UCL, Belgique
Wadid LAMINE, Toulouse Buisness School, France
Benoît RAUCENT, Université Catholique de Louvain la Neuve, Belgique
Olivier TOUTAIN, ESC Dijon Bourgogne
Olivier WITMEUR, Solvay Brussels School of Economics and Management, Belgique
CREE and ENGAGE
Dag Håkon Haneberg NTNU
Fabienne BORNARD INSEEC U
Gunn-Berit Sæter NTNU
Imran QURESHI emlyon business school
Janice BYRNE IESEG School of Management
Joseph TIXIER emlyon business school
Julie FABBRI emlyon business school
Karolina LESNIAK NTNU
Lise Aaboen NTNU
Martine HLADY RISPAL University of Limoges
Michela LOI University of Cagliari
Miruna RADU LEFEBVRE Audencia Business School
Mohsen TAVAKOLI, EM-Lyon Business
School & Université Grenoble Alpes (CERAG).
Muhammad Imran emlyon business school
Noreen O’SHEA ESCP Europe
Olivier TOUTAIN Burgundy School of Business
Øystein Widding NTNU
Roger SØRHEIM NTNU
Sandrine LE PONTOIS IUT de Roanne
Saulo DUBARD BARBOSA, EM-Lyon Business School
Stéphane FOLIARD IUT de Roanne
Torgeir Aadland NTNU
GUEST SPEAKERS:
Dr Andrea-Rosalinde HOFER Policy Analyst – Entrepreneurship Policy and Analysis – OECD
Peter BAUR – DG Education and Culture – European Commission
COMMUNICATION GUIDELINES
Extended abstracts will be between 1,000 and 3,000 words in French or English. They will specify the problem and the interest of the research, the theoretical framework(s), the methodology, the envisaged results, the potential contribution. They are to be sent exclusively in PDF and anonymous format to: stephane.foliard@univ-st-etienne.fr
SAVE THE DATE
Sending extended summaries October the 31 2018
Response of the Scientific Committee December the 15 2018
Sending complete communications February the 10 2019
Deadline for registration
Special issue publication
March the 1st 2019
Summer 2019
OPPORTUNITY OF PUBLICATION
The best original texts responding to the main theme allowing a dialogue between practitioners and researchers (be careful to respect the instructions to the authors of this review that will be transmitted to the participants) and retained by the Scientific Committee will be proposed to the journal Entreprendre & Innover (classified category 4 FNEGE) for a special issue devoted to EE (Editors: Caroline VERZAT, ESCP Europe Business School Paris, Saulo DUBARD BARBOSA, EM-Lyon Business School, Stéphane FOLIARD, Jean Monnet University, St-Etienne , Mohsen TAVAKOLI, EM-Lyon Business School & University Grenoble Alpes (CERAG)). They will be peer reviewed according to the rules of double blind procedures.
VALORISATION OPPORTUNITY
In order to promote and spread the work as widely as possible, we are organizing a TEDx University on Friday, on March 8th 2019 in the afternoon. Speakers will present and disseminate their ideas. The principle of TEDx is to popularize to spread the worth ideas widely. The subject will have to be simplified and the presentations should last for 18 minutes maximum. The number of speakers will be between 6 and 10.
PRACTICAL INFORMATIONS
Registration fee: 160 Euros (including material, coffee breaks, meals), 80 Euros for PhD students.
City informations of Roanne:
http://leroannais.com/
CONTACTS
stephane.foliard@univ-st-etienne.fr 0033 6 08 73 51 16
and sandrine.lepontois@univ-st-etienne.fr
QUOTED REFERENCES
Béchard, J. P., & Grégoire, D. (2005). Entrepreneurship education research revisited: The case of higher education. Academy of Management Learning & Education, 4(1), 22-43.
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Fayolle A., Verzat C. et Wapshott R. (2016). “In quest of legitimacy: The theoretical and methodological foundations of entrepreneurship education research”. International Small Business Journal, 34(7), 895-904.
Fayolle A. (2013). Personal views on the future of entrepreneurship education. Entrepreneurship & Regional Development, 25(7-8), 692-701.
Foliard, S., Le Pontois, S., Fayolle, A. (2018). “The Legitimacy of Teachers in Entrepreneurship Education: What we Can Learn From a Literature Review” in “Creating Entrepreneurial Space: Talking through Multi voices, reflections on emerging debates” edited by David Higgins, Paul Jones and Pauric McGowan. To be published
Günzel-Jensen, F., & Robinson, S. (2017). Effectuation in the undergraduate classroom: Three barriers to entrepreneurial learning. Education+ Training, 59(7/8), 780-796.
Katz J. A. (2008). “Fully mature but not fully legitimate: A different perspective on the state of entrepreneurship education”. Journal of Small Business Management, 46(4), 550-566.
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Valerio, A., Parton, B., & Robb, A. (2014). Entrepreneurship education and training programs around the world: dimensions for success. World Bank Publications.
Verzat, C., Trindade-Chadeau, A. & Toutain, O. (2017). Introduction: Promesses et réalités de l’entrepreneuriat des jeunes. Agora débats/jeunesses, 75,(1), 57-72. doi:10.3917/agora.075.0057.
Enhancing entrepreneurship education research and practice: Challenging taken-for granted assumptions and dominant perspectives
Journal of Management Inquiry Developmental Conference and Dialogue Call For Papers.
Convenors and Guest editors
Alain Fayolle – fayolle@em-lyon.com – EMLYON Business School
Michela Loi – michela.loi@unica.it – Department of Economic and Business Sciences – University of Cagliari
Dialogue JMI pmdeh AF 09072018
Convenor and JMI supervising Editor
Pablo Martin de Holan – pmdeh@mbsc.edu.sa – MBS College of Business & Entrepreneurship, Saudi Arabia
2
Financial Times: Do you have any advice to young would-be Entrepreneurs who want to emulate your success?
Gerald Cavendish Grosvenor (Duke of Grosvenor, Chairman of Great Portland Estates, Owner of Grosvenor group): Make sure they have an ancestor who was a very close friend of William the Conqueror.
Background and objectives of the Dialogue
Entrepreneurship has been taught for over 50 years in business schools, engineering schools and universities worldwide (Katz, 2003; Solomon 2007; Vesper & Gartner, 1997), and is becoming a core pillar of several Business Schools around the world. Over the years, the teaching of entrepreneurship has developed into a branch of research, namely, entrepreneurship education (EE), the interest of which is to understand what, how and to whom entrepreneurship should be taught (e.g. Fiet, 2001; Honig, 2004; Neck & Green, 2011) and what results should be expected from these kinds of programmes (Peterman & Kennedy, 2003; Pittaway & Cope, 2007). Several contributions have focused on the nature of EE as a research field, questioning its maturity and legitimacy (Katz, 2003; Kuratko, 2005) or its standards (Katz, Hanke, Maidment, Weaver, & Alpi, 2016).
EE research is currently facing a particular challenge; not only it lacks academic legitimacy but it is also striving to achieve relevance in practice (Fayolle, Verzat, & Wapshott, 2016). Consequently, and as Fayolle (2013) states, EE needs more robust theoretical and philosophical foundations that draw on both entrepreneurship and education fields to support the development of effective courses and programmes, and to distinguish between those that are, and those that are not.
For instance, the literature in EE often describes the structure and content of entrepreneurship courses and programmes but fails to appropriately question their philosophical and methodological foundations, which might be important if we were to better understand the essence of entrepreneurship (Johannisson, 2016). Another important concern is the vagueness of EE goals (Hoppe, 2016), and, in some cases, its disconnect with larger social forces, such as inequality. Some studies, for example, affirm that EE is becoming increasingly complex as its contexts of application (with respect to the heterogeneity of both the locales where entrepreneurship is taught, but also the type of people who receive EE and the specificities of their backgrounds) are diverse and each of them might be highly peculiar (Lindh & Thorgren, 2016) with boundary conditions that may make generalizations problematic.
This concern concurs with the inherent difficulty of developing effective EE programmes along with the assessment of its results. The impact of EE is, indeed, a relevant issue for several studies in this field (Nabi, Liñán, Fayolle, Krueger, & Walmsley, 2017). Empirical observations reveal contrasting findings in that respect (Walter & Block, 2016), suggesting that multiple truths might coexist regarding the effects of EE on people and territories. This could kindle scholars’ interest in different questions that shift the emphasis from ‘whether’ to ‘when’ or ‘for whom’ EE is effective or ineffective (e.g., Lyons & Zhang, 2018) so as to help determine to what extent entrepreneurship can be taught, what dimensions of it can and should be taught, and with what methodologies. Consequently, we wish to ask a broad question: how should the field develop to tackle these drawbacks and to increase its relevance and impact from a theoretical and practical perspective?
Here, we invite scholars to highlight the taken-for-granted assumptions that beset the field of EE, and to reflect on how to break away from them and move this field forward.
The principal aim of this reflection is to offer new propositions and perspectives that challenge the previous ones, and bring more texture and nuance to the field of EE. In this vein, we would like to open a debate around the major shortcomings of EE and open the space for new questions, new solutions and new research paths to be developed. To this end, we call for papers that embrace a critical approach in discussing their perspectives. By following previous critical approaches in entrepreneurship (e.g., Fayolle, Landström, Gartner, & Berglund, 2016; Frank & Landström, 2016), we consider perspectives that offer alternative ways of knowing and understanding in the field of EE to be critical.
Without limiting the creative insights of those authors who wish to participate in this debate, we highlight three areas that bring together possible ideas to guide scholars to identify and address the assumptions that have been taken for granted in EE: Newness, Diversity and Ethics.1
New ideas have an important role in scientific progress (Kuhn, 1970); they might challenge previous positions and open paths for new questions. In this call for papers, Newness is intended as the fact of not having existed before and includes questions that reflect on what represents innovation for EE. The questions are intended to highlight issues that require a deeper consideration in this field. Examples of these questions are as follows:
We claim that Diversity, intended as a range of many people or things that are very different from each other, is a peculiarity of EE. The field stems from and merges together two different scientific domains, namely, education and entrepreneurship. EE is applied in very different contexts (universities vs professional associations); is oriented towards different targets (students, nascent entrepreneurs and entrepreneurs) and has different goals (Bae, Qian, Miao, & Fiet, 2014; Liñán, 2004). While this variety might be a source of richness for new ideas to arise, it might also prevent the process of defining EE objectives and impacts. In this call for papers, Diversity is meant to cover questions that try to address the complexity of EE, to recompose the fragmented puzzle and to make its multiple dimensions more understandable:
Ethics, intended as moral principles or rules of behaviour, becomes a central issue in EE. This is due to its centrality in policymakers’ discourse that emphasises the quality of being entrepreneurial as a resource for the social and economic progress of society. The potential impact of these policies should call scholars to reflect on the influence of their research that is thought to enlighten the political agenda. In this call for papers, Ethics embraces all those questions that reflect on the implications and consequences of EE programmes in relation to their pedagogical approaches, evaluation methods, goals and so on. Possible questions are as follows:
Authors are requested to try to connect these three areas to present an original contribution to the field of EE. Both theoretical and empirical contributions are welcomed.
Process
This call for papers is divided into two parts: an earlier one for a developmental conference, and a second one for the Dialogue itself. Initially, we are inviting scholars to submit manuscripts that are finalized or relatively advanced. Each contribution will be evaluated through a double-blind review process but using a developmental lens: the objective of this initial review is to facilitate the Academic conversation around the theme, and help authors develop their manuscripts.
Accepted contributions and their authors will be invited to be presented and discussed at a mini-conference that will be held in February/March 2019 at the EMLYON Business School (Lyon-France). This conference is developmental in nature, and seeks to ensure that a robust, high-quality academic dialogue emerges among participants around a common conversation. Authors will be invited to present their manuscript and will receive feedback for development. After the conference, the best contributions (a maximum of six) will be invited for inclusion in the Dialogue Section of the Journal of Management Inquiry.
The papers presented for consideration in order to be included at the EMLYON Developmental Conference should adhere to the guidelines of the Journal of Management Inquiry, requiring that manuscripts to conform to the Publication Manual of the American Psychological Association (6th edition) (Guidelines for authors can be found here: https://uk.sagepub.com/en-gb/eur/journal/journal-management-inquiry#submissionguidelines).
The papers invited for publication will follow the standard format of JMI´s “Dialogue” section. Please find here additional information about the Journal of Management Inquiry: http://journals.sagepub.com/home/jmi; and a sample of the “Dialogue” section: http://journals.sagepub.com/toc/jmia/27/1#sage_toc_section_Dialog
Submission process
For any further information, please contact the editors at the email addresses provided above.
References
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Retrouvez le programme du 3e Colloque Interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise (CIDE) 15 juin à la MRSH.
08h30 – 09h00 : Accueil des participants (1)
09h00 -10h00 : Séance plénière (2)
10h00 à 10h15 : Pause-café (1)
10h15 à 11h45 : Session unique
Session 1 – Défaillance et prévision (2)
11h45 à 14h15 : Déjeuner (4)
14h30 à 16h00 : Sessions parallèles
Session 2 : Etudes de cas d’échecs (2)
Session 3 : Le rebond après l’échec (3)
16h00 – 16h15 : Pause-café (1)
16h15 à 17h45 : Sessions parallèles
Session 4 : Post-échec (2)
Session 5 : L’échec entrepreneurial (3)
17h45 – 18h00 : Clôture du colloque et perspectives de valorisation
—————-
1 Hall de la MRSH – Plan de Rome
2 Amphithéâtre de la MRSH
3 Salle des Actes SH 027
4 Café Mancel – Château de Caen
https://businfailure.sciencesconf.org/
Le Centre de recherche en stratégie et la Chaire « Femmes et Entreprises » de Skema Business School ont organisé le 30 mars 2018 un atelier de recherche intitulé :
« Genre, Entrepreneuriat et Organisations »
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L’objectif de cet atelier, animé par Corinne Poroli, professeure à Skema, était de promouvoir les recherches et de faciliter la collaboration entre chercheur.es travaillant sur le genre et l’entrepreneuriat.
Trois intervenantes ont accepté de partager leurs travaux.
Sophie Brière, professeure agrégée de l’Université Laval, a tout d’abord exposé une communication intitulée « Parcours des femmes dans diverses professions traditionnellement masculines au Québec : que peuvent nous apprendre les organisations ? » Un des principaux résultats de la recherche est le développement d’une grille d’analyse commune qui permet simultanément de présenter les obstacles et facteurs facilitants du parcours des femmes sous plusieurs dimensions, notamment la formation initiale, les motivations, le recrutement, les deux premières années de carrière, la carrière, la diversification des choix et les postes de décision. Cette recherche a permis d’identifier également, sous la forme d’un modèle original, les pratiques organisationnelles favorisant la rétention et la progression des femmes dans les organisations de divers secteurs.
Sophie Brière est professeure agrégée au département de management de la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval. Elle détient un doctorat (Ph.D.) de l’École nationale d’administration publique (ENAP) du Québec. Elle est titulaire de la Chaire de leadership en enseignement Femmes et organisations. L’intégration des femmes dans les projets de développement, le soutien à l’entrepreneuriat féminin, l’institutionnalisation de l’égalité entre les sexes, l’impact de la présence des femmes sur les conseils d’administration et la progression des femmes dans des métiers et professions traditionnellement masculins sont quelques exemples de thèmes qui font l’objet de ses travaux de recherche et d’enseignement.
Maripier Tremblay, professeure agrégée de l’Université Laval, a ensuite poursuivi avec une communication intitulée « Soutenir les femmes entrepreneures en contexte africain : vers une nouvelle approche dynamique et collective ». À travers une étude exploratoire menée en Afrique du Sud et au Rwanda, l’adéquation entre les services de soutien offerts aux femmes entrepreneures et leur réalité spécifique a été étudiée. Sur la base d’un modèle combinant le contexte, les stratégies de soutien et la performance des entreprises créées par les femmes, la recherche a permis d’illustrer la mésadaptation des services de soutien caractérisés par une approche générique et androcentrique, une logique stéréotypée de la performance et un manque de considération pour l’influence de la situation familiale sur le cheminement entrepreneurial. Dans le but d’alimenter la réflexion et orienter les futures interventions, un modèle original reposant sur une approche dynamique et collective a été proposé.
Maripier Tremblay est professeure agrégée à la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval. Elle est également titulaire de la Chaire en entrepreneuriat et innovation. Détentrice d’un doctorat en administration des affaires (DBA) de l’Université du Québec à Trois-Rivières, ses travaux de recherche s’intéressent notamment à l’éducation entrepreneuriale, la relève entrepreneuriale, le soutien à l’entrepreneuriat, la reconnaissance d’opportunités, l’innovation et la créativité.
Juliane Santoni, professeure à Burgundy School of Business, a par la suite présenté une communication intitulée « Femmes entrepreneures et accompagnement : des processus adaptables à des besoins différenciés ». Une recherche qualitative de près de 3 ans auprès de différents acteurs de l’écosystème : porteurs et porteuses de projets, entrepreneures, accompagnants et acteurs institutionnels a été menée. En se basant sur la nature du besoin d’accompagnement (affectif, cognitif, motivationnel et décisionnel) ainsi que sur son intensité, quatre profils d’entrepreneures ont été identifiés. Les résultats mettent également au jour trois processus d’accompagnement pouvant favoriser l’entrepreneuriat des femmes.
Juliane Santoni est docteur en Sciences de Gestion, et actuellement enseignant-chercheur à Burgundy School of Business. Ses recherches portent principalement sur l’entrepreneuriat des femmes et l’accompagnement entrepreneurial. Ses travaux ont été récompensés par le Prix de la meilleure communication Jeune Chercheur de l’AGRH en 2014. Après un Master Grande Ecole, spécialisation Entrepreneuriat, elle a étudié une année à Texas A&M University, puis créé et géré le centre entrepreneurial de l’EM Strasbourg.
Les échanges avec les participants ont permis de nourrir la réflexion et d’apporter des éclairages stimulants, qui augurent de collaborations futures fructueuses. Un grand merci à toutes et à tous pour votre participation.
Contact : corinne.poroli @ skema.edu
Appel à contributions – Numéro spécial de la Revue de l’Entrepreneuriat
Regards croisés sur l’échec entrepreneurial
Téléchargez l’appel à contribution : Dossier Revue de l’Entrepreneuriat Echec entrepreneurial
Éditeurs associés :
Deadline des soumissions : 15 septembre 2018
Les coûts psychologiques, sociaux et économiques de l’échec (Byrne et Shepherd, 2015; Cope, 2011; Singh et al., 2007-2015; Ucbasaran et al., 2013), font de ce phénomène un sujet sensible à aborder (Bruno et Leidecker, 1988; Cacciotti et al., 2016) et un événement indésirable et inattendu à éviter (Aaltonen et al., 2010; Politilis et Gabrielsson, 2009). C’est dans ce cadre que s’inscrivent les premiers travaux sur la défaillance des entreprises, reconnue dans la littérature anglo-saxonne sous le terme “business failure“. Bien que ce phénomène ait été étudié par plusieurs disciplines (Walsh et Cunningham, 2016, p. 164), telles que le droit (Peng et al., 2010), la finance (Beaver, 1966), la sociologie (Freeman et al., 1983), l’économie (Dunne et al., 1989), le management (Moulton et al., 1996), la stratégie (Sheppard et Chowdhury, 2005) et les sciences des organisations (Mellahi et Wilkinson, 2004), ces travaux partagent le même objectif : mettre en évidence les causes qui sont à l’origine de l’échec de nombreuses entreprises et, éventuellement, réfléchir à des stratégies d’actions préventives, curatives ou encore palliatives.
C’est à partir de l’introduction de la notion de l’échec dans le champ de l’entrepreneuriat que le concept « échec entrepreneurial » a pris de l’ascendant. Si les premiers travaux sur l’échec entrepreneurial se focalisent sur les causes, les travaux menés au cours de la dernière décennie se concentrent plutôt sur les expériences d’échec vécues par les entrepreneurs. L’échec n’est plus perçu comme étant un sujet sensible qui demeure peu étudié en entrepreneuriat (Aaltonen et al., 2010; Politilis and Gabrielsson, 2009), mais comme une étape indispensable à la réussite d’un processus entrepreneurial, qui mérite d’être étudiée en profondeur (Jenkins et Mckelvie, 2016). C’est dans ce cadre que s’inscrivent les travaux fondateurs sur l’apprentissage de l’échec (McGrath, 1999; Minniti et Bygrave, 2001; Shepherd, 2003) qui suscitent aujourd’hui un intérêt croissant dans la littérature tant anglo-saxonne (Dias et Teixeira, 2017; Shepherd et al., 2016; Walsh et Cunningham, 2017) que francophone (Crutzen et Van Caillie, 2009 ; Cusin et Maymo, 2016 ; De Hoe et Janssen 2016 ; Khelil et al., 2012 ; Krauss, 2009 ; Philippart, 2017). L’attention ne porte plus aujourd’hui uniquement sur les causes d’échec à éviter mais plutôt sur les leçons à tirer des échecs afin de les capitaliser.
L’augmentation du nombre de publications scientifiques, l’existence de plusieurs revues prestigieuses (spécialisées ou non) publiant sur le sujet, l’apparition d’ouvrages collectifs (Shepherd, 2013; Shepherd et al., 2016) et de numéros spéciaux (Detienne et Wennberg, 2016; Levratto et Brédart, 2018), l’existence d’une logique de capitalisation des connaissances (voir les revues de littérature conduites par Jenkins et Mckelvie, 2016 ; Ucbasaran et al., 2013 et Walsh et Cunningham, 2016), nous amène à la conclusion suivante : l’échec commence à occuper une place grandissante et fondamentale dans la littérature académique sur l’entrepreneuriat. Ce phénomène est aujourd’hui considéré comme un vrai objet d’étude qui suscite l’intérêt des chercheurs (Corner et al., 2017; Eberhart et al., 2017; Jenkins et McKelvie, 2017 ; Shepherd et Patzelt, 2017; Walsh et Cunningham, 2017). 2
Quelle que soit l’approche théorique (déterministe versus volontariste) ou méthodologique (qualitative versus quantitative) mobilisée ou, encore, le niveau d’analyse étudié (entrepreneur, entreprise, environnement), les chercheurs sont toujours confrontés à la réalité complexe et protéiforme de l’échec entrepreneurial (Khelil, 2016). La diversité et l’interdépendance des éléments objectifs et subjectifs, qualitatifs et quantitatifs, économiques et psychologiques inhérents à la fois à l’entrepreneur et l’entreprise qu’il créée, rendent les approches disjonctives désuètes. Bien que les approches traditionnelles de la défaillance d’entreprises adoptant le plus souvent une perspective linéaire et binaire dominent à ce jour, il existe une tendance de plus en plus marquée aux approches intégratives. Selon ces approches, l’échec est vu comme un phénomène multidimensionnel et complexe composé de différents éléments interdépendants qui interagissent sur plusieurs niveaux.
C’est dans ce cadre que s’inscrit cet appel à contribution. Au-delà de la question des causes (pour quelles raisons certaines entrepreneurs échouent-ils et d’autres non ?) ou encore les conséquences (quelles sont les conséquences que peut avoir l’échec de l’entreprise sur l’entrepreneur ?), d’autres questions sont en jeu :
Soumission des textes
Les propositions d’articles sont à envoyer à nabil.khelil@unicaen, à xavier.bredart@umons.ac.be, et en copie à soumission@entrepreneuriat.com,
– au plus tard le 15 septembre 2018,
– en respectant les normes de la Revue de l’entrepreneuriat :
https://entrepreneuriat.com/pole-recherche/revue_entrepreneuriat/normes-de-publication/
– en mentionnant dans l’objet « soumission au numéro échec entrepreneurial ».
Les textes retenus seront publiés dans un numéro thématique de la Revue de l’Entrepreneuriat (n°1, 2020).
Echéancier
L’échéancier suivant est proposé : Envoi des propositions d’article (version complète) : | 15 septembre 2018 |
Retour des évaluations et notification des décisions aux auteurs : | 15 janvier 2019 |
Dépôt des articles révisés (2ème tour d’évaluation): | 15 avril 2019 |
Dépôt des versions finales : | 15 octobre 2019 |
Ce numéro thématique sera précédé par le 3e Colloque Interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise. Ce colloque, qui se déroulera le 15 juin à l’Université de Caen, est co-organisé par le Centre de Recherche en Economie et en Management de l’université de Caen (CREM – UMR CNRS 6211), l’unité mixte de recherche du CNRS EconomiX (Université de Nanterre) et l’institut de recherche humanOrg de l’Université de Mons. Centrée sur les approches multidimensionnelles de la défaillance des entreprises, cette troisième édition du CIDE est parrainée par l’Académie de l’Entrepreneuriat et de l’Innovation (AEI) ainsi que par l’Association Internationale de Recherche en Entrepreneuriat et PME (AIREPME). Les auteurs des meilleures communications recommandées par les évaluateurs seront invités à soumettre une version enrichie de leur texte à ce numéro thématique.
Site internet : https://businfailure.sciencesconf.org/
Télécharger l’appel à communication : 3ème Colloque Interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise
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Shepherd, D. A. (2013), Entrepreneurial Failure. The International Library of Entrepreneurship Series. Edward Elgar Pub.
Shepherd, D.A., Williams, T., Wolfe, M. et Patzelt, H. (2016). Learning from Entrepreneurial Failure. Cambridge University Press.
Shepherd, D. A., et Patzelt, H. (2017). Trailblazing in Entrepreneurship: Creating New Paths for Understanding the Field. Springer.
Sheppard, J. P., & Chowdhury, S. D. (2005). Riding the wrong wave: Organizational failure as a failed turnaround. Long Range Planning, 38(3), 239-260.
Singh, S., Corner, P., & Pavlovich, K. (2007). Coping with entrepreneurial failure. Journal of Management & Organization, 13(4), 331-344. Singh, S., Corner, P. D., & Pavlovich, K. (2015). Failed, not finished: A narrative approach to understanding venture failure stigmatization. Journal of Business Venturing, 30(1), 150-166.
Ucbasaran, D., Shepherd, D. A., Lockett, A., & Lyon, S. J. (2013). Life after business failure: The process and consequences of business failure for entrepreneurs. Journal of Management, 39(1), 163-202.
Walsh, G. S. et Cunningham, J. A. (2017). Regenerative failure and attribution: Examining the underlying processes affecting entrepreneurial learning. International Journal of Entrepreneurial Behavior et Research, 23(4), 688-707.
Walsh, G. S., & Cunningham, J. A. (2016). Business failure and entrepreneurship: emergence, evolution and future research. Foundations and Trends in Entrepreneurship, 12(3), 163-285.
CALL FOR THE 2ND STEP GLOBAL ACADEMIC CONFERENCE
We are pleased to announce the Call For Proposals for the 2nd STEP GLOBAL ACADEMIC CONFERENCE.
Three years ago, the STEP Project scholars decided to create this conference with the purpose of sharing knowledge, research ideas, insights and best practices generated through the Project, since its beginnings in 2006. The Boston STEP Conference accomplished this goal and also became an excellent opportunity to start research collaborations, get feedback and increase our networking opportunities.
As in the first Conference in Boston in 2016, this Conference welcomes proposals representing original (unpublished) research from any and all members of the STEP community. Proposals addressing any aspect of transgenerational entrepreneurship and familiness, are welcome. Works utilizing data from the STEP global survey or STEP case studies are specifically encouraged, but research utilizing data from all sources is invited. All types of scholarly work is also welcome and encouraged including, but not limited to; qualitative studies, quantitative studies, conceptual works and teaching cases.
Following the lead of the first Conference in Boston, this conference will include several opportunities to present and obtain feedback on your research. Scholars of all levels will find value in presenting research at all stages. Traditional paper sessions, poster sessions, round tables and other methods of presenting and sharing scholarly work will all be a part of the conference.
Scholars can benefit from sessions focused on publishing advice and journal choice from experienced editorial board members. Scholars looking to start new collaborative projects will benefit from facilitated brainstorming sessions focused on developing ideas for new collaborative research projects. We look forward to see you in beautiful Cartagena, to share the research efforts of our STEP community.
Important Information:
Call For Proposals is open March 4, 2018.
Date of the STEP conference: October 18th– 20th 2018
Location Venue: Cartagena, Colombia
Those invited to participate: Any scholar from a STEP Affiliated University + co-authors
We encourage you to submit a proposal and participate in the engaged community of scholars at our second STEP Global Academic Conference. Please submit proposals to Yeny Rodriguez at yerodriguez@icesi.edu.co.
Questions? Please contact: Luis Diaz Matajira at luidiaz@uniandes.edu.co or Yeny Rodriguez at yerodriguez@icesi.edu.co
Subconference in Family Business Research at the 9th International Research Meeting in Business and Management (IRMBAM-2018)
We warmly invite you to submit your paper for presentation in the Subconference on Family Business Research
organized by Andrea Calabrò (IPAG Business School) at the 9th International Research Meeting in Business and
Management that will take place on 5-7th July 2018 at IPAG Business School, Nice Campus, France. We welcome both theoretical and empirical contributions on family business research, with emphasis on management and governance; entrepreneurial behaviors and dynamics; succession; internationalization; innovation; financing choices; emotional dynamics and conflict management; as well as empirical and theoretical studies which help bringing forward the understanding of the family business phenomenon across different countries and cultures.
Within the subconference on Family Business Research there will be a Special Session on “Family Business Management, Governance and Transgenerational Entrepreneurship” with a keynote speech which will be held by Alessandro Minichilli (Bocconi University, Italy). Moreover, Shaker Zahra (University of Minnesota, USA), who will
do one of the keynotes of the overall conference, will participate in this special session.
Only papers in English are considered. They must be submitted electronically at:
https://ipag-irm.sciencesconf.org/user/submit
Please choose the Topic “Subconference in Family Business Research” when you submit your paper.
IMPORTANT DATES
FURTHER INFORMATION
For queries, please contact the organizer at a.calabro @ ipag.fr or ipag-irm @ sciencesconf.org
« Genre, Entrepreneuriat et Organisations »
Organisé dans le cadre du Centre de recherche en stratégie et de la Chaire « Femmes et Entreprises » de Skema Business School
Le vendredi 30 Mars de 9:30 à 12:30, sur le campus Paris de Skema Business School, en Salle 707 (7ème étage).
INTERVENANTES :
Sophie Brière est professeure agrégée au département de management de la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval. Elle détient un doctorat (Ph.D.) de l’École nationale d’administration publique (ENAP) du Québec. Elle est titulaire de la Chaire de leadership en enseignement Femmes et organisations. L’intégration des femmes dans les projets de développement, le soutien à l’entrepreneuriat féminin, l’institutionnalisation de l’égalité entre les sexes, l’impact de la présence des femmes sur les conseils d’administration et la progression des femmes dans des métiers et professions traditionnellement masculins sont quelques exemples de thèmes qui font l’objet de ses travaux de recherche et d’enseignement.
Juliane Santoni est docteur en Sciences de Gestion, et actuellement enseignant-chercheur à Burgundy School of Business. Ses recherches portent principalement sur l’entrepreneuriat des femmes et l’accompagnement entrepreneurial. Ses travaux ont été récompensés par le Prix de la meilleure communication Jeune Chercheur de l’AGRH en 2014. Après un Master Grande Ecole, spécialisation Entrepreneuriat, elle a étudié une année à Texas A&M University, puis créé et géré le centre entrepreneurial de l’EM Strasbourg.
Maripier Tremblay est professeure agrégée à la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval. Elle est également titulaire de la Chaire en entrepreneuriat et innovation. Détentrice d’un doctorat en administration des affaires (DBA) de l’Université du Québec à Trois-Rivières, ses travaux de recherche s’intéressent notamment à l’éducation entrepreneuriale, la relève entrepreneuriale, le soutien à l’entrepreneuriat, la reconnaissance d’opportunités, l’innovation et la créativité.
Programme :
9:30 – 10:00 | Accueil |
10:00 – 10:45 | Sophie Brière (Université Laval) « Parcours des femmes dans diverses professions traditionnellement masculines au Québec : que peuvent nous apprendre les organisations ? » |
10:45 – 11:30 | Maripier Tremblay (Université Laval) « Soutenir les femmes entrepreneures en contexte africain : vers une nouvelle approche dynamique et collective. » |
11:30 – 12:15 | Juliane Santoni (Burgundy School of Business) « Femmes entrepreneures et accompagnement : des processus adaptables à des besoins différenciés. » |
12:15 | Conclusion |
L’atelier aura lieu à SKEMA Business School, Pôle Universitaire Léonard de Vinci, Esplanade Mona Lisa, 92916 PARIS La Défense – Salle 707 (7ème étage)
RER A ou Métro Ligne 1 Arrêt : La Défense Grande Arche
L’inscription est gratuite mais obligatoire.
Nombre de places limité. Inscrivez-vous vite en contactant Corinne POROLI par email :
corinne.poroli @ skema.edu
Nous nous réjouissons par avance de vous accueillir et d’échanger avec vous lors de cet atelier.
Nous restons à votre disposition pour toute question.
APPEL A COMMUNICATIONS
3e Colloque Interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise
15 JUIN 2018
3ème Colloque Interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise « La défaillance d’entreprise vers une approche multidimensionnelle »
Maison de la Recherche en Sciences Humaines
Université de Caen Normandie
Esplanade de la Paix – Campus 1 – 14000 Caen
LA DÉFAILLANCE D’ENTREPRISE :
VERS UNE APPROCHE MULTIDIMENSIONNELLE
Les coûts psychologiques, sociaux et économiques de l’échec font de ce phénomène un sujet sensible à aborder
et un événement indésirable et inattendu à éviter. C’est dans ce cadre que s’inscrivent les premiers travaux sur la défaillance des entreprises, reconnue dans la littérature anglo-saxonne sous le terme « business failure ». Bien que ce phénomène ait été étudié par plusieurs disciplines, telles que le droit, la finance, la sociologie, l’économie, le management, la stratégie, l’entrepreneuriat et les sciences des organisations, ces premiers travaux partagent le même objectif : mettre en évidence les causes qui sont à l’origine de l’échec de nombreuses entreprises et, éventuellement, réfléchir à des stratégies d’actions préventives, curatives ou encore palliatives.
Les recherches récentes se focalisent de plus en plus sur les leçons à tirer des échecs afin de les capitaliser plutôt que sur les causes d’échec à éviter. Ce phénomène n’est plus perçu comme étant un sujet sensible qui demeure peu étudié, mais comme une étape indispensable à la réussite, qui mérite d’être étudiée en profondeur.
L’augmentation du nombre de publications scientifiques, d’ouvrages collectifs et de numéros spéciaux sur le sujet
nous amène à la conclusion suivante : l’échec commence à occuper une place grandissante et fondamentale dans la littérature académique. Ce phénomène est aujourd’hui considéré comme un vrai objet d’étude qui suscite l’intérêt de nombreux chercheurs et praticiens. Quelle que soit l’approche théorique (déterministe versus
volontariste) ou méthodologique (qualitative versus quantitative) mobilisée ou, encore, le niveau d’analyse étudié
(entrepreneur, entreprise, environnement), les chercheurs sont toujours confrontés à la réalité complexe et protéiforme de l’échec de l’entrepreneur et de l’entreprise. La diversité et l’interdépendance des éléments objectifs et subjectifs, qualitatifs et quantitatifs, économiques et psychologiques inhérents à la fois à l’entrepreneur et l’entreprise qu’il créée, rendent les approches disjonctives désuètes.
Bien que les approches traditionnelles de la défaillance d’entreprises adoptant le plus souvent une perspective
unidimensionnelle, linéaire et binaire dominent à ce jour,il existe une tendance de plus en plus marquée pour les
approches intégratives. Selon ces approches, l’échec est vu comme un phénomène multi dimensionnel et complexe composé de différents éléments interdépendants qui interagissent sur plusieurs niveaux. C’est dans ce cadre que s’inscrit le 3ème Colloque Interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise.
En plus du contexte spécifique de la création d’entreprises, le phénomène de l’échec a été exploré dans
d’autres contextes organisationnels à l’image des entreprises familiales, des jeunes entreprises technologiques
innovantes, des entreprises en réseaux de franchise et des groupes. Il faut noter également que les
recherches antérieures se sont centrées sur les niveaux organisationnels et/ou individuels. Une autre piste de
recherche réside dans l’étude de l’échec collectif au sein des équipes.
Au-delà des causes (pour quelles raisons certaines entreprises échouent-elles et d’autres non ?) ou encore
des conséquences (quelles sont les conséquences que peut avoir l’échec de l’entreprise sur les entrepreneurs
?), toutes les contributions à dimension empirique ou théorique, quantitatives ou qualitatives, sur le thème
de la défaillance des entreprises (petites, moyennes ou grandes) et des entrepreneurs peuvent être proposées
telles que celles liées aux thèmes suivants (liste non-exhaustive) :
• Identification des déterminants de la faillite/des difficultés des entreprises,
• Défaillance et structure financière,
• Relation entre gestion (gouvernance, gestion des ressources humaines, …) et défaillance,
• Survie et accompagnement,
• Mécanismes et instruments de prévention des difficultés des entreprises,
• Transmission d’entreprise et défaillance,
• Coûts et conséquences de la défaillance,
• Politiques de ressources humaines et risque d’entreprise,
• Relation entre les caractéristiques du dirigeant et la défaillance des PME,
• Études de cas de faillite (points de vue économique et/ou juridique),
• Souffrance de l’entrepreneur en situation de liquidation.
CALENDRIER
15 avril 2018 : envoi des propositions de communication sous la forme d’un résumé (rédigés en français ou en anglais) d’environ 500 mots accompagné de trois à cinq mots clés et de(s) code(s) JEL à l’adresse électronique suivante : nabil.kheli l@ unicaen.fr
en copie à xavier.bredart@umons.ac.be
15 mai 2018 : décision d’acceptati on ou de refus.
01 juin 2018 : date limite des inscripti ons
INSCRIPTION
Pour vous inscrire, cliquez ICI
Les frais d’inscripti on à ce colloque s’élèvent à 80 euros
et comprennent les pauses-café ainsi que le déjeuner.
Ces frais s’appliquent à l’ensemble des parti cipants
qu’ils présentent ou non un papier.
COMITÉ DE COORDINATION :
Xavier Brédart (Université de Mons, HumanOrg)
Nabil Khelil (Université de Caen, CREM CNRS)
Nadine Levratt o (Université Nanterre, CNRS, EconomiX)
COMITÉ D’ORGANISATION :
Adel Jemaa
Aurélien Lamy
Bruno Drouot
Christophe Trowski
Haïfa Naff akhi Charfeddine
Isabelle Lebon
Meriem Ben Salah
COMITÉ SCIENTIFIQUE :
Alain Fayolle (EM Lyon Business School)
Alain Finet (Université de Mons)
Albéric Tellier (Université de Caen Normandie)
Alina Gomez Mejia (Ponti fi cia Universidad Javeriana, Cali)
Anne-Laure Le Nadant (Université de Rennes 2)
Fanny Simon-Lee (Université de Rouen)
Franck Moraux (Université de Rennes 1)
Frank Janssen (Université catholique de Louvain)
Fréderic Perdreau (université Jean Monnet – Saint Eti enne)
Gerhard Krauss (Université de Rennes 2)
Giuseppe Pagano (Université de Mons)
Jean Bonnet (Université de Caen Normandie)
Jean-Pascal Guironnet (Université de Caen Normandie)
Jean-Sébasti en Pentecôte (Université de Caen Normandie)
Juan Javier Saavedra (Universidad del Rosario)
Julien Cusin (Université de Bordeaux)
Karin Comblé (Université de Mons)
Marcus Dejardin (Université de Namur)
Mauricio Sanabria (Universidad del Rosario)
Nazik Fadil (EM Normandie)
Nicolas Le Pape (Université de Caen Normandie)
Olivier Germain (ESG UQÀM)
Pascal Aurégan (Université de Caen Normandie)
Patricia Renou Maissant (Université de Caen Normandie)
Rachida Justo (IE Business School Madrid )
Roland Condor (EM Normandie)
Ruth Esperanza Román Casti l lo (Universidad de Bogotá)
Sonia Boussaguet (NEOMA Business School, Rouen)
Matt hijs H ammer (Saxion University)
Thomas Loilier (Université de Caen Normandie)
Virginie Blum (Université Lyon 2)
Julien de Freyman (ESC Troyes)
https://businfailure.sciencesconf.org
The Rn’B Lab and the Chair Family Entrepreneurship and Society
Paper Development Workshop Series
Family Entrepreneurship
Issue N° 2: Family Entrepreneurship theory development workshop
Dates: April 12-13, 2018
Location: Nantes, France
Deadline: March 1st, 2018
The Rn’B Lab and the Chair Family Entrepreneurship and Society of Audencia are happy to announce the second edition of its new series of research workshops. Audencia Business School is among Europe’s top management schools and offers programmes that are regularly featured in the best international rankings. The school has prestigious international accreditations: EQUIS (EFMD) since 1998, AACSB since 2004 and Amba since 2010 for the full-time MBA and since 2012 for the Audencia Master in Management (Grande Ecole programme). The mission of the Chair Family Entrepreneurship and Society is to develop relevant research on family firms, as well as programmes for intra-family successors. The Chair also organizes several annual research and business meetings, conferences and networking events.
For the past decades, the fields of entrepreneurship, family, and family business research have been the object of numerous studies, regularly published and communicated at conferences and in scientific journals. While entrepreneurship, family, and family business have been studied as relatively separate domains with their own dedicated research conferences and academic journals, other scholars attempt to build research on their intersection: family entrepreneurship. Thus, the field of family entrepreneurship includes, yet goes beyond, that of family business.
This rapidly developing field is attracting much scholarly attention, as we can see by the research production to date (e.g. Bettinelli, Randerson, and Fayolle, 2014; Randerson, Bettinelli, Fayolle and Anderson, 2015; Randerson, Bettinelli, Fayolle and Dossena, 2016; Randerson, Dossena and Fayolle, 2016; Radu Lefebvre and Lefebvre, 2016; Dibrell, Bettinelli and Randerson, 2017), but also since 2012 a regular Professional Development Workshop and the annual meeting of the Entrepreneurship Division of the Academy of Management.
The second issue of the Audencia Paper Development Workshop Series is dedicated to developing theory for Family Entrepreneurship. We would like to invite scholars from the fields of Family Science, Entrepreneurship, and Family Business and others (e.g. OB, HRM, Psychology, among others) to convene to identify theories relevant to advance Family Entrepreneurship research. This workshop aims to be highly interactive: there will be of course opportunities to present works-in-progress in the traditional academic format, but also times for sharing what one’s own research or field brings to FE (pechakucha format), creating knowledge (focus groups). We hope that these two days will be a great opportunity to see old friends and meet new ones, create new synergies and co-authorships.
Confirmed attendees for the moment: Céline Barrédy, Andrea Calabro, Maria Jose Parada Balderrama, Bill Gartner, Josh Daspit, Natalia Vershinina, Eric Clinton, Claire Seaman…
To guarantee a high quality of interaction, participation to this workshop will be limited to 50 participants, on a first come, first serve basis. There are no registration fees, and meals and coffee breaks will be provided for the duration of the workshop.
Timeline
4ème Rencontre entre acteurs des réseaux d’accompagnement et chercheurs
Appel à communications ESL Montpellier 2018
www.labex-entreprendre.fr
APPEL À COMMUNICATIONS
Présentation du colloque
L’accompagnement entrepreneurial connaît depuis une dizaine d’années des transformations majeures. Portée par une forte dynamique entrepreneuriale et la diffusion d’une culture start-up, l’industrie de l’accompagnement entrepreneurial est amenée à se réinventer. La littérature académique se fait l’écho de ces transformations. Les milieux professionnels sont également conscients de ces changements. Les rencontres entre chercheurs et praticiens de l’accompagnement entrepreneurial restent pourtant assez rares. L’ambition de la 4ème Rencontre entre acteurs des réseaux d’accompagnement et chercheurs vise à favoriser les regards croisés sur les pratiques d’accompagnement entrepreneurial et au-delà à engager une réflexion prospective sur les stratégies gagnantes. Trois perspectives complémentaires pourront être abordées.
La première est de nature macro et s’intéresse aux politiques entrepreneuriales. La plupart des pays et des régions dans le monde ont engagé des politiques volontaristes visant à encourager la création et la reprise d’entreprises. Les entreprises innovantes, l’entrepreneuriat étudiant, l’entrepreneuriat social ont suscité un intérêt croissant et la création de dispositifs dédiés (SATT, PEPITE, incubateurs sociaux…). Il convient de s’interroger sur l’efficience, l’efficacité et l’effectivité de ces politiques dans un contexte de diminution des ressources publiques. Plusieurs rapports ont ouvert le débat qui mérite d’être enrichi par des travaux scientifiques permettant d’évaluer ces programmes et d’apprécier les enjeux en termes de gouvernance.
La deuxième perspective se concentre sur le niveau méso et se focalise sur la coordination. Cette question peut être traitée sous l’angle des réseaux d’accompagnement qui jouent un rôle important en favorisant le développement d’actions et de stratégies collectives. Ces réseaux nationaux et internationaux sont propices à l’échange de bonnes pratiques. Cette perspective peut également être abordée sous l’angle de l’industrie de l’accompagnement qui est soumise à la pression des nouveaux entrants et à un phénomène de convergence qui amplifie cette émergence de nouveaux acteurs. Les acteurs de la finance, du conseil, de l’expertise-comptable et du monde juridique s’engagent de plus en plus dans des actions d’accompagnement entrepreneurial. De façon concomitante, le digital conduit à redéfinir les frontières de cet écosystème de l’accompagnement entrepreneurial. Cette industrie n’est-elle pas à l’aube d’un phénomène d’ubérisation (Labex Entreprendre Publication, 2017) comme le suggèrent certains acteurs de l’accompagnement (ProCréa 2017) ?
4ème rencontre entre acteurs des réseaux d’accompagnement et chercheurs 2/5
La troisième perspective est de nature micro et concerne les acteurs à travers leurs modes d’organisation et leurs stratégies. Si la plupart des pays européens ont privilégié pendant longtemps un modèle fondé sur des financements publics, cette approche tend à être remise en question. Les acteurs historiques doivent repenser leur business model, en s’inspirant des nouveaux entrants issus de la sphère privée (Station F, The Family, Founder Institute, etc.). Qui plus est, les nouveaux modèles d’entrepreneuriat tel l’entrepreneuriat hybride ou la gig economy, tout comme la démocratisation des technologies et l’accessibilité des outils de production ou des connaissances (FabLab, Living Lab, etc.), bouleversent les besoins des entrepreneurs et les manières de les soutenir. Dans ce contexte, quels sont les nouvelles compétences et les nouveaux outils à développer pour répondre aux besoins des nouveaux entrepreneurs ? Quelles sont les stratégies à mettre en oeuvre ? Comment favoriser un écosystème entrepreneurial durable ?
Ces préoccupations intéressent tant le monde académique et celui des praticiens de l’accompagnement. Les échanges entre ces deux univers s’imposent pour co-construire une connaissance actionnable permettant de mieux comprendre et de mieux agir. L’objectif de ces rencontres est de faciliter l’interaction entre les acteurs de l’accompagnement et les chercheurs spécialistes du domaine. Pour faciliter ces échanges, la journée sera organisée sous la forme de tables rondes et d’ateliers en parallèle. Les communications présentées feront l’objet d’une évaluation en double aveugle, à partir d’un résumé étendu de trois pages.
Un dossier spécial de la Revue Française de Gestion (Rang 2 FNEGE) sera consacré à cette thématique de l’accompagnement entrepreneurial. Les meilleures contributions auront la possibilité de rentrer dans le processus d’évaluation de ce dossier spécial.
Les propositions de communication acceptées pourront être rédigées et présentées lors du colloque, en français ou en anglais.
Thématiques proposées
Envoi des communications
esl2018@umontpellier.fr
4ème rencontre entre acteurs des réseaux d’accompagnement et chercheurs 3/5
Calendrier 15 mars 2018 | Envoi des propositions (résumé étendu – 1 200 mots) |
10 avril 2018 | Notification des avis d’acceptation aux auteurs |
1er juin 2018 | Version finale (texte complet) |
10 juillet 2018 | Tenue du colloque à l’Institut Montpellier Management |
Paper Development Seminar
New developments in entrepreneurial process research
IUSEN PROYECTO COFINANCIADO POR LOS FONDOS FEDER
Referencia del Proy.: ECO2016‐75655‐P
April 2nd‐3rd, 2018
University of Seville, Spain
Entrepreneurial Process Seminar
The entrepreneurial process is a “hot” topic attracting increasing attention from researchers and PhD students around the world. More research in this topic is matched with increasing opportunities for publication in entrepreneurship journals, as well as in Special Issues in wider Business or Management journals. However, the competition for publication is fierce and crafting a perfectly rounded manuscript is essential to increase the chances of getting any paper accepted for publication in such outlets. The aim of this Seminar is to help participants develop their research results into papers that may be fit for publication in top‐tier academic journals. In order to achieve this aim, the seminar will benefit from the participation of a panel of well‐reputed entrepreneurship scholars, who will present some of their recent contributions in the analysis of the entrepreneurial process, and will also review and comment the papers/extended abstracts submitted by the participants.
This seminar is developed in collaboration with the following institutions and projects from the University of Seville:
Participants will have the opportunity to present their research to the audience. They will not only receive general feedback from other participants, but also specific comments and suggestions from the panel scholars.
We aim to develop a fruitful and intimate working atmosphere. For this reason, we will limit the number of participants to an absolute maximum of 20.
The venue:
The Seminar will take place at the Faculty of Economics and Business Sciences, University of Seville (Av. Ramon y Cajal, 1. 41018‐Sevilla, Spain).
Seville is a well‐known tourist destination full of interesting places to visit and activities to carry out. Seville has just been selected as the best city to visit in 2018 by Lonely Planet (https://www.lonelyplanet.com/spain/seville).
During Spring time, Seville is especially attractive since it is at this time of year when the famous “Easter Week Processions” and “Feria de Abril” take place. For this reason, we strongly recommend participants to stay some additional days in Seville and enjoy all it has to offer.
Registration and submission:
To register, please apply via email to entrepreneurs@us.es. Include your full name, contact information and affiliation in the email, as well as the title and short abstract of your research. The Seminar is open and research works on any of the aspects of the entrepreneurial process field will be welcome. A maximum of 20 participants will be accepted on a first‐come first‐served basis. Once you are communicated of your provisional acceptance, you can pay the registration fee. Please note that acceptance will only be confirmed after the fee has been paid (see below).
The paper/extended abstract submission deadline is January 31st, 2018.
Registration fee:
Participants will cover their own travel and accommodation expenses. In order to cover the cost of materials, meals and refreshments, the participants will be asked to pay a €50 registration fee. The fee shall be paid by bank transfer as follows:
Account holder: Universidad de Sevilla
Bank Account (IBAN): ES95 0049 2588 7024 1425 0158
BIC/SWIFT: BSCHESMM
It is essential to include the full name of the participant, together with the seminar code and topic (“292-entrepreneurial research seminar”) as a description of the transfer.
Example: Joseph Schumpeter – 292‐entrepreneurial research seminar
Once the transfer has been completed, please send a copy of the receipt/printout by email to entrepreneurs@us.es
Accommodation:
April is high season in Seville and hotel rooms book out very quickly. Therefore, an early booking is recommended. Accommodation in Seville is generally good, you can find excellent hotels through any major travel agent. The following hotels are close to the Seminar Venue and well communicated with the city centre:
NH Viapol (****): https://www.nh‐hoteles.es/hotel/nh‐sevilla‐viapol
NH Collection (****): https://www.nh‐collection.com/es/hotel/nh‐collection‐sevilla
Sevilla Center (****): https://www.hotelescenter.es/hotel‐sevilla‐center/
Melia Sevilla (****): https://www.melia.com/es/hoteles/espana/sevilla/melia‐sevilla/
Pasarela (****): http://www.hotelpasarela.com/
Hesperia Sevilla (****): https://www.nh‐hoteles.es/hotel/hesperia‐sevilla
Novotel Sevilla (****): http://www.novotel.com/es/hotel‐3210‐novotel‐sevilla‐/index.shtml
Draft programme
Monday April 2nd, 2018
11.00‐12.00 Opening Speech:
Teemu Kautonen: “The entrepreneurial intention‐action gap”
12.00‐12.30 Coffee Break
12.30‐13.30 Participants’ presentations (with feedback)
13.30‐14.30 Lunch
14.30‐15.30 Plenary session:
Matthias Fink: “Understanding Stress in Entrepreneurship”
15.30‐16.00 Coffee Break
16.00‐17.00 Participants’ presentations (with feedback)
17.00‐18.00 Plenary session:
Juan A. Moriano: “Think entrepreneur‐think male”
‐‐‐
20.30 Dinner at a local restaurant
Tuesday April 3rd, 2018
9.30‐10.30 Plenary session:
Francisco Liñán: “Culture’s mode of influence in entrepreneurship”
10.30‐11.00 Coffee Break
11.00‐12.30 Participants’ presentations (with feedback)
12.30‐13.30 Closing speech:
Ute Stephan: “Entrepreneurs’ Mental Health and Well‐being: A Review”
13.30‐14.30 Lunch
Paper Development Seminar
Keynote speakers (alphabetical order)
Matthias Fink is head of the Institute for Innovation at the Johannes Kepler University Linz, Austria and a Professor for Innovation and Entrepreneurship at the Institute for International Management Practice at Anglia Ruskin University, Cambridge, UK. Matthias previously worked as a Professor for International Small Business Management and Innovation at Leuphana Univerity Lüneburg Germany and was Head of the Research Institute for Liberal Professions at WU Vienna University of Economics and Business, Austria. Matthias holds a Ph.D. and a postdoctoral qualification (Habilitation) from WU Vienna University of Economics and Business and was a Visiting Professor at several universities. In research, Matthias’ focus is on the role of innovation in new venture creation and small business management. His current interests include entrepreneurship as a driver of innovation and change in rural contexts, entrepreneurial finance, health of entrepreneurs and ethical issues in business research. His research has been published in journals such as Journal of Business Venturing, Entrepreneurship Theory & Practice, British Journal of Management, Journal of Banking and Finance, Technological Forecasting and Social Change as well as Regional Studies. Additionally, he has published three monographs and two edited volumes.
Teemu Kautonen is Professor of Entrepreneurship and Head of the Department of Management Studies at Aalto University School of Business, Finland. Teemu’s research explores entrepreneurial intentions and actions, the role of trust in SME‐bank relationships, and entrepreneurship and ageing. His work appears in Entrepreneurship Theory and Practice, Harvard Business Review, Journal of Business Venturing, Journal of Economic Psychology and Small Business Economics, among others. In addition to serving on the Editorial Review Board of Entrepreneurship Theory and Practice, Teemu served as Consulting Editor for International Small Business Journal (2014‐2017) and continues to serve in that journal’s Editorial Review Board. In addition, he has served as a consultant for the European Commission, the International Labor Organization (ILO), the OECD, and national ministries on policy issues such as senior entrepreneurship.
Francisco Liñán is Professor of Entrepreneurship and Innovation at Anglia Ruskin University (UK) and the University of Seville, Spain. Prof. Liñán research interests include entrepreneurship, entrepreneurial intentions and entrepreneurship education, leading to several publications in academic journals such as Entrepreneurship Theory and Practice, International Small Business Journal, Journal of Small Business Management or Small Business Economics. He has participated in projects funded by the Spanish national government, EU and Paper Development Seminar Management and Editorial Board Member at the International Entrepreneurship and Management Journal, Journal of Global Entrepreneurship Research and the International Journal of Management Science and Information Technology.
Juan A. Moriano is Associate Professor with Tenure at the Department of Social and Organizational Psychology at the Spanish University for Distance Education (UNED). Juan A. Moriano holds a Ph.D. in Psychology from UNED. His doctoral thesis entitled “The Psychosocial Study of the Entrepreneur” (2005) was award and published by the Spanish Economic and Social Council (ESC). His research focuses on Work and Organizational Psychology, and more precisely on Entrepreneurship and Leadership. His work has been published in journals such as Journal of Vocational Behavior, Journal of Career Development, Journal of Managerial Psychology, Journal of Occupational and Organizational Psychology, Journal of Career Assessment, International Small Business Journal, and International Entrepreneurship and Management Journal.
Ute Stephan is Professor of Entrepreneurship at Aston University, Birmingham (UK), Director of the Aston Centre for Research into International Entrepreneurship and Business (ACRIEB), and Editor‐in‐ Chief of Applied Psychology: An International Review. Professor Ute Stephan holds a PhD in Psychology from the University of Marburg (Germany) and was previously at the University of Sheffield (UK), the London School of Economics (UK), KU Leuven (Belgium), and TU Dresden (Germany). Her research interests are (1) culture and entrepreneurship, (2) social entrepreneurship and (3) entrepreneurial motivation, health and well‐being. Ute published in leading journals such as the Journal of Management, Journal of International Business Studies (JIBS), Management Science, Journal of Business Venturing (JBV) among others. Her research has been featured in the media including the Financial Times and Bloomberg, has won multiple international awards, and has attracted over 3 Mio GBP of funding from the European Commission, the UK Government, UK Research councils, Charities, German Government Institutions, and the German Research Council. Ute is a member of the Global Entrepreneurship Monitor project and the GLOBE (Global Leadership and Organizational Behavior Effectiveness) study, and currently co‐leads the European Commission funded SEFORIS project – Social Entrepreneurship as a Force for more Innovative and Inclusive Societies (www.seforis.eu). She serves on the editorial boards of JIBS, JBV and Entrepreneurship Theory & Practice, as a member of the Academy of Management Entrepreneurship Division Research Committee and the Aston University Senate.
The organizing committee:
Dr Anne-Gaëlle Figureau, Pr Anaïs Hamelin, and Dr Marie Pfiffelmann.
will organize a workshop on behavioral and cognitive approaches in entrepreneurship on 9th and 10th of November 2017. The workshop aims to bring together all researchers working on any behavioral or cognitive aspect of entrepreneurship.
Any empirical, or theoretical or methodological research on the following topics (not exhaustive) is welcomed:
The workshop will be built around different sessions types:
Submissions can take several forms:
There is no conference fee
Proposals can be submitted to webcongress.em‐strasbourg.eu/ebca2017 before June 30th, 2017.
Authors of accepted papers will be notified on July 20th, 2017.
We look forward to welcoming you in Strasbourg.
The organizing committee :
Dr Anne-Gaëlle Figureau, Pr Anaïs Hamelin, and Dr Marie Pfiffelmann.
contact :
ebca2017 @ unistra.fr
Ouverture des inscriptions pour participer à la journée :
3ème FORUM ENTREPRENDRE DANS LA CULTURE – 22-24 Mai 2017 – PARIS
Ministère de la Culture et de la Communication
Journée de recherche 23 mai 2017
Dans le cadre du numéro spécial de la Revue de l’Entrepreneuriat
« Entrepreneuriat créatif et culturel : réalités et enjeux »
Inscription gratuite
https://aes2017.sciencesconf.org/
http://www.em-lyon.com/minisitefr/Evenementiel/ESU-2016/About-the-workshop
Cliquez ici pour consulter l’appel
http://www.colloque-pedagogie.org/workspaces/colloque_2015/presentation
Goupe ESC Troyes, June 23&24, 2014
Abstract deadline : March 30, 2014
Aix-Marseille, Friday 23 mai2014
Articles should be submitted to the organizers of the conference: amaalaoui @ esg.fr
Download the workshop_and_CFP_Aix-Marseille_2th_social_entrepreneurship
organisée par:
Didier CHABAUD, Université d’Avignon
Jean-Michel DEGEORGE, Ecole nationale supérieure des Mmnes d’Alès
Karim MESSEGHEM, Labex Entreprendre, Université Montpellier 1
Time: 14.00/17.00
Venue: Université Paris-Dauphine
avec la particpation de l’AEI (Académie de l’Entrepreneuriat et e l’Innovation) et de PEER (Pan European Entrepreneurship Research)
Moderators: Catherine Leger Jarniou
The Idea: To start and succeed to be an entrepreneur is very much about communication – communication to justify what you are trying to do when providing something new. A modern way to communicate is to be an active part of social media – media which are, by and large, unexplored in the entrepreneurial context, but media which are extremely powerful. You only have to think about Facebook, blogging and YouTube (three major social media, used by several millions of people) to realize this fact.
This workshop is intended to be interactive (a dialogue between some researchers and the audience) in order to explore the possibilities of relating entrepreneurship to social media.
Inscription obligatoire : catherine.leger-jarniou @ dauphine.fr
Workshop gratuit
TéléchargezWorkshop_AEI
Workshop and Special Issue on International Journal of Entrepreneurship and Small Business (IJESB)
Research Lab at ESG Management School, University Parthenope of Naples, Grenoble Ecole de Management, & Institute For Entrepreneurship & SME at HEG de Fribourg & Centre de Recherche en Entrepreneuriat at EM Lyon
We mostly welcome papers that could answer these two generic questions by proposing any contribution on the following topics:
– New Organization form for creating and running a business in social economy;
– Social Innovation;
– Link between innovation and tradition in the Social Economy and Social Entrepreneurship;
– Innovative Business Models in the Social Economy;
– Professionalization of the Social Economy and Social Entrepreneurship.
We also welcome other articles with topics directly linked to Social Entrepreneurship and the Social Economy:
– Nascent Entrepreneurship and motivation for creating a business within the Social Economy;
– Institutions within the Social Economy;
– Profiles of the Social Entrepreneur;
– Business Models within the Third Sector and Social Entrepreneurship;
– Education in and for Social Entrepreneurship and the Third Sector;
– Coaching and financing social Entrepreneurship;
– Business Opportunity in the Social Economy and Social Entrepreneurship.
Articles should be submitted to the organizers of the conference: amaalaoui @ esg.fr
IRG Université Paris est, Alter Gouvernance, HEC Montréal, Université du Maine
Quels dispositifs de gestion pour les entreprises sociales et solidaires? La recherche éclairée par la méthode des cas
Jeudi 12 décembre 2013
Colloque co-organisé par l’EDHEC Business School, l’Académie de l’Entrepreneuriat et de l’Innovation et Réseau Entreprendre
à Roubaix, le jeudi 11 avril 2013
Une occasion unique d’échanger sur les pratiques d’accompagnement
avec des étudiants, des enseignants – chercheurs spécialisés en entrepreneuriat
et des réseaux d’aide à la création d’entreprise
Téléchargez le Invitation_colloque
L’objectif de cette première journée de recherche « GRH et Territoire », à l’initiative du Groupe de recherche thématique de l’AGRH « GRH et Territoire », est de réunir des chercheurs dont les travaux portent sur des formes de GRH élargies au territoire. Cette journée sera également l’occasion de croiser les approches de chercheurs et de praticiens sur cette nouvelle dimension de la GRH.
Comme pour tout domaine de recherche qui tend à se structurer, plusieurs questions méritent d’être approfondies :
– Quels sont les corpus théoriques susceptibles d’être mobilisés ?
– S’agit-il de l’émergence d’une GRH Territorialisée (GRH-T), ou simplement de la mise en lien territoriale de certaines pratiques de GRH organisationnelles ?
– Quelles situations de gestion particulières sont induites par cette GRH-T ?
– Peut-on conclure à l’émergence d’un nouveau modèle de GRH ? Peut-on parler d’une nouvelle régulation ? Et quelle peut être son utilité, mais également ses risques ?
– Quels sont les principaux outils de cette GRH-T ? Par exemple, la GPEC-T ou encore le Projet Territorial emploi/compétences, les plateformes emplois/compétences, les pôles de mobilité, …
– Comment concilier les dimensions publiques et privées de la GRH-T ?
– Quels sont les principes, les enjeux, mais également les difficultés de la gouvernance territoriale ?
Voilà donc quelques éléments de questionnement qui montrent le passage d’une ère ou le « terrain de jeu » de la GRH était essentiellement intra organisationnel, propre à l’entreprise et avec ses variations (de la PE à la multinationale), ses mondes et ses modes, à une aire de jeu plus poreuse, dont les frontières sont floues : entre distances et proximités, entre coopération et compétition, entre l’économique et le social, entre l’acteur et le réseau…
Nous invitons tous ceux qui sont intéressés à nous envoyer un projet de communication.
Dates à retenir :
30 mars 2013 : date limite de soumission des propositions de communication (en texte intégral)
30 avril 2013 : envoi des évaluations aux auteurs
30 mai : retour des communications révisées
25 juin 2013 : Journée de Recherche à l’IAE de Montpellier
L’objectif de cette journée de recherche est de déboucher sur la publication d’un ouvrage collectif de recherche (AGRH).
Téléchargez JR_GRH_et_Territoire_2013
Dans le cadre de la journée des GEM Inno Awards, Grenoble Ecole de Management organise une journée de recherche sur le thème de la place du genre dans les processus d’innovation.
L’innovation est étroitement liée à la figure de l’entrepreneur (Brechet et al., in Revue de l’entrepreneuriat, 2009). Présentée comme le résultat d’un processus créatif (Amabile, 1988), qui se concrétise dans un nouveau produit, service ou procédé (OCDE, Manuel D’Oslo, 2004), l’innovation est considérée comme un moyen pour l’entrepreneur de créer un marché et de générer de la valeur économique. Cette capacité d’innovation est implicitement reconnue comme jouant un rôle prédominant dans la formation du projet entrepreneurial (Boutinet & Raveleau, 2012), dans la capacité à détecter des opportunités d’affaires mais aussi pour permettre de diriger l’entreprise au quotidien et à « bricoler » (Baker et al., 2005). Pour autant, si les recherches sur le processus d’innovation dans les start-ups, les PME tout comme dans les grands groupes, semblent particulièrement bien explorées (Le Loarne, 2006), le travail sur l’individu ou le groupe d’individus qui génèrent l’innovation, au quotidien, manque encore puisque la majorité des résultats sur le sujet est issue d’études menées sur des étudiants ou des individus qui ne sont pas encore dans l’entreprise (Perry Smith, 2007 ; 2009). Ce constat invite donc à ouvrir un débat sur les caractéristiques sociales et organisationnelles de l’innovateur au sein de l’entreprise en particulier de la petite entreprise en cours de création ou en croissance. Les premiers travaux avancés tendent à montrer que plus l’entreprise rassemble des acteurs aux origines sociales, aux métiers et aux personnalités diverses, plus elle serait à même de générer de la créativité et potentiellement des innovations (Amabile, 2003).
Ce débat prend d’autant plus son sens dans le contexte actuel qui invite les entreprises, et plus généralement le monde économique, à plus de diversité (World Economic Forum, 2012). Derrière le concept encore flou de la diversité, se cachent différentes situations : diversité de métiers mais aussi diversité en terme d’origine nationale, d’âge mais également de genre.
Le débat sur l’entrepreneuriat féminin en recherche n’est pas récent : initié dans les années 80, il est réellement posé en 2006 et connait actuellement un regain d’intérêt (De Brun et al., 2006 ; 2012). Dans ce courant, l’enjeu est de tenter d’identifier et d’expliquer le faible taux d’entrepreneuriat féminin (environ 30 % quelque soit la partie du monde et le secteur d’activité considéré) mais aussi de mettre en évidence les différences hommes / femmes pour appréhender les différentes facettes de la vie entrepreneuriale.
A l’heure où McKinsey publie une étude émettant l’hypothèse que les entreprises créées et dirigées par les femmes connaitraient une performance économique supérieure à celle des entreprises dirigées par les hommes (McLinsey, 2011), et étant donné le fort rôle de l’innovation sur la performance de l’entreprise, cet appel à communication a pour objectif de s’interroger sur l’éventuelle spécificité qui serait conférée aux femmes dans leur capacité à être créative, et dans les processus de développement de produits nouveaux et d’innovation : les figures légendaires de l’entrepreneuriat sont souvent portées par des hommes. Cela signifie-t-il que les femmes entrepreneurs innovent moins ? Au sein de l’entreprise, les femmes porteraient-elles moins de projets d’innovation que les hommes ? Si elles le font, comment procèdent-elles ? Leur démarche de créativité et de diffusion de leurs projets est-elle spécifique ?
Dans ce contexte, les communications présentant un résultat mené à partir d’une empirie sont privilégiées. Suivant les appels de Ahl (2006, 2012) mais également de Suddabie et al. (2012), nous attacherons un intérêt particulier aux approches comparatives « hommes – femmes » et aux approches qualitatives afin de mieux appréhender le processus d’innovation, sans pour autant rejeter les autres approches :
– Genre et processus créatif
– Réseau social, genre et créativité
– Les processus de gestion de l’innovation dans les entreprises gérées par des femmes et par les hommes
– Genre et intrapreneuriat
– Genre et détection d’opportunité d’affaire
– Genre et financement de projets d’innovation
– Genre et créativité dans les activités culturelles
– Genre et bricolage organisationnel
Les meilleures communications seront considérées pour publication dans une revue classée CNRS.
Les projets de communication de 500 mots maximum sont à envoyer à l’adresse suivante : severine.le-loarne @ grenoble-em.com
Date limite de remise des intentions de communication : 28 février 2013
Notification d’acceptation aux auteurs : 20 mars 2013
Date limite de remise des articles : 10 mai 2013
Téléchargez GEMIA_Workshop_Genre_et_Inno_call
La troisième rencontre entre acteurs des réseaux d’accompagnement et chercheurs proposent un regard croisé sur les pratiques d’accompagnement entrepreneurial. Cette année, l’événement bénéficie du soutien d’associations académiques, l’AEI et EDHEC Business School, et d’acteurs de l’accompagnement comme le Réseau Entreprendre.
A la fin des années 1950 ont émergé aux Etats-Unis les premières structures d’accompagnement. L’une des premières structures, le Batavia Industrial Centers a vu le jour aux Etats-Unis en 1959. Il faudra attendre les années 1980 pour que l’Europe s’engage dans des programmes ambitieux d’accompagnement. L’univers de l’accompagnement est caractérisé aujourd’hui par une grande hétérogénéité tant au niveau des acteurs que des pratiques.
Sur cette période, un champ de recherche a émergé notamment aux Etats-Unis et en Europe (Hackett et Dilts, 2004). Les préoccupations des chercheurs se sont focalisées sur les typologies de structures et les modes d’accompagnement. Si ces thèmes restent d’actualité, ils se sont enrichis de questionnements centrés par exemple sur l’évaluation, sur la gestion des compétences et sur la contingence de l’accompagnement.
Ces préoccupations rejoignent celles des praticiens de l’accompagnement. Le besoin d’échange entre ces deux univers s’impose comme une condition au développement d’une connaissance actionnable. L’objectif de ces rencontres est de faciliter l’interaction entre les acteurs de l’accompagnement et les chercheurs spécialistes du domaine.
Pour faciliter ces échanges, la journée sera organisée sous la forme de tables rondes et d’ateliers en parallèle.
La conférence sera en langue française et anglaise. Sur la base des soumissions, les tables rondes et les ateliers seront menés en Français ou en Anglais.
Calendrier
– Envoi des propositions (5.000 caractères ou 900 mots maximum): 20 janvier 2013
– Retour aux auteurs: 30 Janvier 2013
– Version finale: 30 Mars
Pour toute question ou demande d’information complémentaire, vous pouvez contacter Lorraine Uhlaner (lorraine.uhlaner @ edhec.edu).
Téléchargez AEI_Edhec_11-4-2013
Ce colloque se donne pour objet de reprendre la question du désordre comme une vertu créatrice de l’entreprise du XXIe siècle. La problématique est par nature multidimensionnelle. Elle se situe au carrefour de plusieurs disciplines, notamment les sciences économiques, les sciences de gestion, la sociologie, les sciences juridiques et les sciences politiques. De même, différents champs d’investigation pourront être explorés, et la liste proposée ici n’est nullement limitative.
Les principaux axes:
Axe 1 – La primauté de la règle
Axe 2 – L’exigence de désordre
Axe 3 – La règle et le désordre, une réconciliation envisageable ?
Comité d’organisation
Faouzi Bensebaa, Philippe Béraud, Viviane du Castel, Adrienne Jablanczy.
Les projets de communication de deux pages maximum, bibliographie comprise, devront être envoyés avant le 30 novembre 2012 au secrétariat du colloque : viviane.du-castel-suel@iseg.fr La réponse du comité scientifique parviendra aux auteurs au plus tard le 20 décembre 2012.
Le colloque se déroulera à la Maison de l’Europe, à Paris, le jeudi 11 avril 2013. Ce colloque bénéficie de la collaboration du CIAPHS, laboratoire de recherche de l’Université de Rennes2, et de l’ISMEA, Fondation François Perroux.
Dans le cadre du 1er colloque européen Innovation & Commerce organisé par l’Ecole de Management de Strasbourg et la Fédération française de la Vente Directe les 4 et 5 avril 2013 (programme bientôt en ligne), nous lançons un appel à communication sur le thème « les nouveaux entrepreneurs de la distribution ».
Nous proposons donc un workshop le 4 avril qui permettra à des chercheurs en sciences de gestion (stratégie, marketing, GRH, SI, logistique …) d’échanger sur des thématiques particulièrement actuelles dans le domaine du commerce et de l’entrepreneuriat. Afin d’enrichir les réflexions croisées, les communications proposées par les chercheurs pourront être centrées sur les différents thèmes suivants et ceci, de façon non exhaustive, sans que le champ d’exploration soit obligatoirement sur le secteur de la Vente Directe. 1/ La création de marque : des marques récentes connaissent de véritables success story en renouvelant tous les codes connus, 2/ le lien social dans la relation client : cette montée en puissance est un des grands phénomènes marquants des années à venir, 3/ l’orientation client : longtemps prônée, finalement peu ou mal mise en œuvre, elle est toujours un FCS incontournable, 4/ la création d’entreprise : toutes les nouvelles formes de création d’activité sont à étudier avec attention, 5/ le management de la diversité : indispensable de l’innovation RH et stratégique en entreprise 6/ le cross canal : maintenant incontournable quel que soit le secteur d’activité, 7/ les réseaux sociaux dans la relation commerciale : le marché est une conversation : comment l’entretenir ? 7/ la GRH “à la carte” : comment gérer les nouveaux cycles de vie professionnelle ? 8/ les intrications vie privée/vie professionnelle : un des grands cadres structurants du management et des organisations pour les années à venir.
1/ Les propositions de communication (résumé de 3 pages présentant la problématique, le cadre théorique, l’empirie et la bibliographie) doivent être remises au plus tard le 15 novembre 2012 à : Karine.bouvier @em-strasbourg.eu et sylvie.gauthier@ em-strasbourg.eu 2/ La notification sera faite aux auteurs au plus tard le 10 décembre 2012. 3/ Les communications définitives (format ci-dessous) sont attendues au plus tard le 15 février 2013. 4/ L’avis définitif sera envoyé aux auteurs au plus tard le 1er mars 2013. 4/ Le workshop se tiendra le 4 avril 2013 à l’EM Strasbourg Une valorisation des communications aura lieu sous forme d’un ouvrage. Le comité scientifique du workshop remettra un prix de 1.500 € pour la meilleure communication.
13 & 14 juin 2013
L’essence même des sciences de gestion réside dans leur caractère interdisciplinaire. Depuis quelque temps déjà, elles ont dépassé le triptyque d’origine, Droit-Economie-Gestion, pour s’ouvrir à d’autres influences.
Le thème du Congrès des IAE 2013 propose d’explorer le paysage des liens, forts ou faibles, qu’entretiennent les outils, les méthodes et les cadres d’analyse de la gestion avec les sciences en général.
On pense par exemple au rapport étroit qu’entretient la Finance avec la Physique, les Mathématiques et désormais la Psychologie. Cette dernière nourrit depuis longtemps les études en marketing, mais aussi les analyses des organisations, le management et les ressources humaines.
Au-delà des enrichissements conceptuels, il s’agit de se pencher également sur les dernières avancées techniques de la science qui portent l’innovation dans les méthodes de recherche employées : par exemple, l’utilisation de la résonance magnétique pour étudier les réactions cérébrales des consommateurs face à un message publicitaire ou celles des opérateurs financiers à la lecture de rapports financiers.
Ce sont les thèmes transversaux qui s’imposent à l’esprit dès qu’il s’agit d’interdisciplinarité. Gouvernance, développement durable ou plus largement management des politiques publiques, les problèmes contemporains à résoudre sont complexes et protéiformes et nécessitent donc la mise en relation, en réseau, d’acteurs dotés de compétences diverses et variées afin de les résoudre. Le management, par son orientation pragmatique, se retrouve au cœur de ces enjeux de collaboration et de traitement de problèmes complexes.
CALENDRIER
14 décembre 2012 : Date limite d’envoi des communications
11 février 2013 : Retour des évaluations et demandes de modification 18 mars 2013 : Date limite d’envoi des versions modifiées
15 avril 2013 : Envoi des décisions finales
Les communications seront à envoyer via la plateforme électronique de dépôt des communications qui sera disponible fin octobre sur le site Internet du Congrès à l’adresse suivante :
Les meilleures contributions sélectionnées par le Comité Scientifique feront l’objet d’une publication dans un dossier spécial de la revue Management & Avenir (revue listée par l’AERES).
de l’Association Internationale de Management Stratégique organisé conjointement avec l’Association de Science Régionale de Langue Française et l’Académie de l’Entrepreneuriat et de l’Innovation
Appel à communications
24 janvier 2013 (deadline pour le 1/10/2012)
Organisé par : Ana Colovic (coordinatrice), Liang Guo, Jacques Lauriol (coordinateur) Rita Klapper
Contacts : Ana Colovic (coordination) – acl@ rouenbs.fr
Marie Baussart (administration) – marie.baussart @rouenbs.fr
Sans prétendre être exclusif d’autres thèmes novateurs et importants, sont d’ores et déjà proposées les thématiques suivante:
Réseaux locaux et entrepreneuriat
Mobilisation des ressources et entrepreneuriat
Entrepreneuriat et développement territorial
territoire et entrepreneuriat international
Rôle des politiques territoriales d’accompagnement à l’entrepreneuriat
Villes, zones urbaines et entrepreneuriat
Entrepreneuriat en milieu rural
Entrepreneuriat dans les zones ou communes défavorisées
Entrepreneuriat et développement durable de terriroires
21 septembre 2012 à BEM, Executive Center – Amphi 700, entrée rue Ronsard
L’équipe organisatrice de la journée Innovation et Tradition a le plaisir de vous annoncer que celle-ci sera l’occasion de faire le lien entre le monde académique et le monde professionnel.
Contacts:
stephanie.petzold @ bem.edu
cecile.fonrouge @ univ-paris-est.fr
sophie.reboud @ escdijon.eu
L’entrepreneuriat social suscite de plus en plus l’intérêt de chercheurs, de porteurs de projets, et de politiques. Ainsi, le rapport 2009 du Global Entrepreneurship Monitor consacre une section spéciale à ce phénomène, dans le cadre d’une enquête internationale visant à mesurer l’entrepreneuriat (Bosma and Levie, 2010).
Les communications qui traitent des problématiques suivantes liées à l’entrepreneuriat social seront appréciées :
– quelles théories et modèles pour l’entrepreneuriat social ? – caractéristiques et profils des entrepreneurs sociaux
– facteurs clés de succès de l’entrepreneuriat social
– business models en entrepreneurial social
– enseignement et éducation de l’entrepreneuriat social
– structures d’accompagnement et de financement de l’entrepreneuriat social – quel futur pour l’entrepreneuriat social ? innovation et entrepreneuriat social – opportunités d’affaires et entrepreneuriat social
– intrapreneuriat social
Les propositions d’articles, en français ou en anglais, devront être envoyées aux adresses suivantes : amaalaoui @ esg.fr, Mathias.Rossi @ hefr.ch, scastellano @ esg.fr, isafraou @ esg.fr.
Publication
Une sélection des meilleures communications sera publiée dans « la Revue des Sciences de Gestion » et « Canadian Journal Of Nonprofit And Social Economy Research» (ANSERJ). Un ouvrage collectif sera également édité.
31 janvier et 1er février 2013 – Groupe ESC Chambery
Organisé par Fabienne Bornard (Groupe ESC Chambery) et Alain Fayolle (EM Lyon)
En partenariat avec Savoie Technolac et parrainé par l’Académie de l’Entrepreneuriat et de l’innovation
Calendrier indicatif:
15 JUIN 2012: Réception des résumés longs (5 pages maximum dont bibliographie)
15 NOVEMBRE 2012: Réception des papiers définitifs
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Appel pour la journée de recherche
« Entrepreneuriat : de la théorie à la pratique »
Montpellier, 28 juin 2012
L’entrepreneuriat est à la rencontre d’au moins trois univers se côtoyant sans doute encore insuffisamment : la pratique, l’enseignement et la recherche. Pour les lier, il est possible de noter que l’entrepreneuriat est une pratique qui s’enseigne et sur laquelle le chercheur apporte, de façon prudente, une connaissance ensuite déclinée dans la pédagogie pour tenter d’améliorer les pratiques.
Pour cette journée de recherche, qui fait suite à celle organisée le 1er juillet 2008 à Bordeaux (sur le thème « entrepreneuriat et stratégie »), nous proposons aux participants, quel que soit l’objet travaillé, de s’intéresser à l’intervention de la théorie dans cette démarche visant à apporter au praticien. Celui-ci est entrepreneur, ou acteur du développement socio-économique, ou décideur politique, etc. En résumé, cette journée vise à provoquer des échanges sur les applications effectives découlant des travaux de recherche réalisés dans le domaine de l’entrepreneuriat.
La perspective est donc clairement praxéologique et s’adresse aux chercheurs en Sciences de Gestion, en Droit, en Economie, en Sociologie, en Sciences de l’éducation, etc. Les propositions de communication peuvent prendre différentes formes, mais trois d’entre elles sont plus particulièrement attendues pour la journée de recherche.
La première repose sur des démarches de type recherche-action ayant conduit à la mise en place d’outils sur le terrain investi, que les acteurs de celui-ci soient des entrepreneurs, des financeurs, des acteurs du développement territorial (élu, conseiller, etc.). Cette forme de communication sera privilégiée.
La deuxième, à défaut d’une phase empirique, part d’une théorie exposée (théorie de l’agence, théorie des conventions, etc.), pour en montrer le potentiel pratique. Dans ce cas, la communication doit, d’une part, s’appuyer sur un référentiel théorique particulièrement solide (une bibliographie composée de références publiées dans des revues à comité de lecture étant un indicateur attendu) et, d’autre part, faire preuve de prudence en évitant tout biais normatif (à défaut de test empirique, au sens large du terme, cela semble raisonnable). Le propos tachera également de rester accessible pour tenter d’intéresser le lecteur non scientifique.
La troisième forme repose sur la valorisation d’une recherche publiée, c’est-à-dire la démonstration, après qu’une recherche ait été conduite, de l’utilisation effective de ses résultats (du modèle, de la thèse défendue, etc.) dans la pratique. Il s’agit alors de rendre compte d’un ou de plusieurs cas ayant mobilisé les résultats pour décider ou agir. La contribution s’inscrit ici dans ce que les sciences dures appellent le transfert de technologie, terminologie ne convenant pas forcément aux SHS préférant parler de transfert des connaissances.
Les auteurs des meilleures contributions seront approchés pour envisager une publication dans la Revue de l’Entrepreneuriat dans la rubrique « de la théorie à la pratique ».
Pour favoriser la discussion, sous réserve de l’autorisation des supports de publications concernés, un article (ou une communication) précédemment publié peut être présenté s’il entre dans le thème de l’appel.
Pr. Karim Messeghem, Pr. Thierry Verstraete
Coordinateurs de la journée scientifique
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Les travaux présentés donneront lieu à la publication de deux numéros spéciaux.
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While having a rich and diverse history based in the practice, family business scholarship has been growing remarkably during recent years. A theme that has intrigued both practitioners and researchers throughout the history of the field is to what extent and under what circumstances the family business represents a “good” or a “bad” type of business organization. Is the family business a beauty? Or is it a beast? Early influential contributions to the family business history, such as Levinson (1971), as well as seminal work in business history (Chandler, 1977), depicted the family business as a beast. This view is also common in research on ‘family capitalism’ (e-g. Morck and Yeung, 2003). However, other more recent work drawing on e.g. the ‘familiness’ (Habbershon and Williams, 1999; Sirmon and Hitt, 2003) or the stewardship (Corbetta and Salvato, 2004; Miller and LeBreton-Miller, 2005) have focused mainly on the beauty of the family business. Interestingly, there is now a tendency in the literature to seek reconciliation between these two positions, or the duality of the family business as beautiful or ugly, e.g. under the concept of socio-emotional wealth (Gomez-Mejia et al., 2007; 2011) or the combination of a stewardship and stagnation perspective (Miller, LeBreton-Miller and Lester, 2010).
We invite papers that address different aspects of the conference theme, including
– how, why and when the family business is a good, or a bad type of business organization (including their financial and non-financial performance, and/or the implications of assumptions inherent in various theoretical perspectives),
– how family businesses have been portrayed in published research and/or various media (e.g. by using a discourse lens),
– how family businesses are portrayed in the arts, such as fiction literature, movies, bibliographies, plays etc., employee perspectives on family businesses, political and sociological perspectives on family firm management.
While submission of papers related to the main theme – the family business a beauty or a beast – are particularly encouraged, the workshop continues its tradition to accept papers relevant to any area of family firm management and which add value to the development of the family business research field, including:
– literature review papers focusing on the family business field:
– state-of-the-art papers that allow discussing the knowledge already acquired and the main challenges to address in future research,
– papers that use the family firm context for contributing to the development of general management concepts and theories – comparisons between family and non-family firms, but also between different types of family firms belong to this category,
– papers that draws on sophisticated and rigorous analysis of empirical data (both qualitative and quantitative papers are welcomed).
Proposal Submission: 1 March 2012
Author Notification: 15 March 2012
Registration for authors: 15 April 2012
Final Papers: 15 May 2012
Dear Colleagues in Entrepreneurship Research,
The Third International Workshop
will be held in Namur on June 14-15, 2012.
Les enjeux liés à l’innovation sont cruciaux car elle permet aux entreprises de créer ou renforcer leurs avantages compétitifs en se différenciant de leurs concurrents et gagnant ainsi des parts de marché.
L’innovation constitue donc le cœur des stratégies concurrentielles des entreprises. Elle est la source de la pérennité de la plupart des firmes centenaires et un facteur essentiel de la croissance économique des nations. Pour sa part, l’entrepreneuriat est à l’origine de la création des organisations ou nouvelles activités. De plus, les créations ou l’élaboration de nouveaux produits ou procédés reposent sur la créativité ainsi que d’autres qualités managériales similaires. Enfin, la mise en œuvre de toute innovation nécessite des financements dont le montant et la nature varie avec le degré d’innovation et le risque perçu par les investisseurs et les banquiers.
C’est pourquoi les domaines de l’innovation, de leur financement et de l’entrepreneuriat sont si liés, voire imbriqués.
Au-delà de ces observations et résultats de recherche, un long chemin reste à parcourir afin de mieux comprendre comment les innovations émergent, permettent de créer des avantages comparatifs, influencent la structuration des marchés, doivent-elles être mise en œuvre et financées ?
C’est donc l’objet de cette journée d’étude qui portera sur l’innovation, son financement et l’entrepreneuriat et en particulier sur la mise en évidence des liens qui existent entre ces trois domaines
Regards croisés sur les pratiques d’accompagnement entrepreneurial : 2ème Rencontre entre acteurs des réseaux d’accompagnement et chercheurs
Montpellier, le 19 janvier 2012
L’Université Montpellier 1 organise avec le soutien de l’Académie de l’Entrepreneuriat et de l’Innovation et de l’AIREPME, la 2ième Rencontre entre acteurs des réseaux d’accompagnement et chercheurs, le 19 janvier 2012 à Montpellier. L’objectif de cette journée est de présenter des travaux de recherche en pointe sur l’accompagnement entrepreneurial. Elle vise également à exposer les pratiques innovantes des acteurs de l’accompagnement et à favoriser les échanges entre chercheurs et praticiens.
Un numéro spécial portant sur cette thématique sera coordonné par Camille Carrier, Didier Chabaud, Karim Messeghem, Sylvie Sammut et Roy Thurik dans la revue Management International.
Date limite d’envoi des projets de communication (résumé étendu) : le 1er octobre 2011 à karim.messeghem @ univ-montp1.fr et sylvie.sammut @ univ-montp1.fr
« Quelles pratiques innovantes pour valoriser les activités intenses en savoir‐faire? »
Organisée par :
L’Equipe de Recherche PME & Innovation de BEM – Bordeaux Management School
Le groupe thématique Créativité et Innovation de l’Institut de Recherche en Gestion IRG – Université Paris Est
Et le CEREN, Groupe ESC Dijon Bourgogne
Avec le soutien de : l’Académie de l’Entrepreneuriat et de l’Innovation
Le 21 Septembre 2012 de 9h30 à 17h30 à BEM, 680 cours de la Libération – 33405 Talence
Contact : stephanie.petzold @ bem.edu
Téléchargez l’appel à communications complet:
“Ethical Finance & Governance”
Workshop
PARIS, December 16, 2011
This workshop aims to consider the development of financial activities in an ethical perspective and problematic of corporate governance. The conference focused on opportunities within sustainable and ethical finance arenas considering, in particular, Islamic finance as a sub-sector of ethical finance. Topics for this conference include, but are not limited to: Ethic and Finance, Islamic Finance, Investment for Social Responsibility, Sustainable Banking, Microfinance, Corporate Social Responsibility, Mechanism of Corporate Governance, Fraud and Finance, etc. A proper financial system and governance framework are of fundamental importance in strengthening the performance of economies, in particular those in development and transition.
November 2, 2011: Deadline for paper submission.
November 14, 2011: Acceptance or Rejection decision on papers.
December 16, 2011: Workshop at IPAG, 184 boulevard Saint-Germain 75006 Paris.
Call_for_papers_Workshop_Ethical_Finance_16_dec_2011
Young Entrepreneurship Faculty Publishing Workshop
Coordinated by Alain FAYOLLE,
Professor at EM Lyon Business School
Paris, January 23-26 2012
An Event supported by the French National Foundation for Management Education (FNEGE)
and the French Entrepreneurship Association (AEI)
Vendredi 27 mai 2011 à la Faculté de Droit – 10 avenue Pierre Larousse à Malakoff (en face de l’INSEE – Métro 13 : Plateau de Vanves-Malakoff – Parking gratuit)
Cette journée de recherche est organisée par le CEDAG de l’Université Paris Descartes en partenariat avec l’Université Sorbonne Nouvelle dans le cadre du PRES Sorbonne Paris Cité et le parrainage de l’Académie de l’Entrepreneuriat et de l’innovation
L’éthique comme la gestion se définissent comme l’art d’orienter l’action. Comment les théoriciens ont-ils pu se fourvoyer au point d’occulter les dimensions éthiques du management ?
Le choix du terme éthique correspond à une volonté de questionner la notion de bonnes pratiques mais aussi de nous interroger sur les nouveaux modèles de gestion permettant d’intégrer les impératifs qui y sont associés. Il vise également à explorer tous les développements actuels sur la responsabilité sociale de l’entreprise ou encore le développement durable en l’abordant comme une tendance plus globale restant à clarifier.
Si tous les travaux traitant de l’éthique et du management, tels que ce thème est abordé aujourd’hui tant par les chercheurs que par les praticiens, sont essentiels, notre objectif est de contribuer à la construction de nouvelles modélisations du management sans nous cantonner à une approche s’appuyant exclusivement sur un postulat de contradictions entre préoccupations éthiques et finalités de l’organisation.
Corporate Entrepreneurship Workshop June 20 & 21st in Lyon, France
The first annual Corporate Entrepreneurship workshop, which will be hosted by Alain Fayolle and Kathleen Randerson at the EM Lyon Business School.
Corporate Entrepreneurship research: Where are we and where can we go from here?
Corporate Entrepreneurship has, since the 1980’s, been a center of interest for scholars and managers. Since D. Miller’s 1983 seminal work, great efforts have been made to differentiate CE and strategic management, to identify potential positive outcomes of CE, such as performance and growth, to elucidate the specificities of CE in family businesses. More recently, the influence of HRM, culture, or education on CE have received much attention. Even though the body of literature qualifying and quantifying CE is large, is it consistent? How can we build on this knowledge considering the important economic and societal changes that have since occurred?
This brought us to organize a workshop, in partnership with the ECSB, on the theme: “Corporate Entrepreneurship research: where are we, and where can we go from here?”
Professor Shaker A. Zahra will deliver a keynote speech.
Breakout sessions will be organized for the following themes:
• Corporate Entrepreneurship and HRM, chaired by James Hayton, Newcastle University Business School
• Corporate Entrepreneurship in family businesses chaired by Salvatore Sciascia, IULM University- Milan
• Corporate Entrepreneurship and culture chaired by Carlo Salvato, Università Bocconi
• Corporate Entrepreneurship and growth chaired by Rainer Harms, Twente University
• Corporate Entrepreneurship and strategy chaired by Shaker A. Zahra, University of Minnesota
Looking forward to welcoming you in Lyon!
Alain Fayolle and Kathleen Randerson
Veuillez svp vous inscrire sur le site web (tarif réduit pour les membres de l’AEI).
Organisé par Pascale Bueno Merino, Professeur d’entrepreneuriat international et Directrice Déléguée de la Recherche à l’EM Normandie,
et Richard Soparnot, Professeur de management stratégique et Directeur de l’Axe de Recherche Entrepreneuriat et Stratégies d’Innovation à l’ESCEM.
Les 8 et 9 décembre 2011 dans les locaux de l’ESCEM à Poitiers
April 22 – 24, 2010
The Ohio State University, Columbus, Ohio.
Hosted by:Tony R. Wells Foundation
Presented by:
SEEC Workshops are for individuals leading and participating in university social entrepreneurship activities, curriculum and academic research.
The objective of the workshops are to share best practices, exchange ideas, form collaborations and to develop better integrated strategies.
Details:
Attendance will be limited to a maximum of 100 participants.
Please register early to secure a place in the workshop.
L’Académie de l’Entrepreneuriat organise un atelier « Entreprendre dans les PVD »
le vendredi 30 mai 2008
à 14h00
à l’Université Paris 9 Dauphine (Salle A 707).
La population des PVD manifeste un authentique esprit d’entreprise se traduisant par la multiplication des entreprises respectant les formes légales et par le développement d’un secteur qualifié par les observateurs occidentaux d’ « informel ».
L’objet de cet atelier est de mettre en évidence tant les spécificités de l’entrepreneuriat dans le contexte d’un pays envoie de développement que le caractère universel de l’acte d’entreprendre.
La FNEGE, dans le cadre du Programme de formation “Atouts pour Publier”, lance le SECOND VOLET du programme, qui porte sur “Recherche qualitative et recherche de terrain”.
Il a pour objectif de présenter aux jeunes enseignants-chercheurs en gestion les derniers développements conceptuels et méthodologiques des approches qualitatives de la recherche en gestion. Il vise, d’autre part, à accompagner l’élaboration et la rédaction finale d’un article destiné à être soumis dans une revue d’audience internationale.
Vous trouverez ci-dessous une présentation générale du programme, qui se déroulera en deux temps (Noyon, Oise, les 30, 31 mars, 1er et 2 avril 2008 ; Paris, les 29 et 30 septembre 2008) ainsi que le bulletin d’inscription.