Un regard à la fois ambitieux et pratique sur la création d’entreprise et l’innovation. C’est l’objectif affiché par une nouvelle revue lancée par le groupe Express Roularta en partenariat avec l’Académie de l’Entrepreneuriat.
Les périodes de crise sont propices aux idées neuves et aux projets audacieux, y compris dans la presse. Le Groupe Express Roularta vient ainsi de lancer, en partenariat avec l’Académie de l’entrepreneuriat, une nouvelle revue trimestrielle consacrée à la création d’entreprise et à l’innovation. Réseaux d’accompagnement ou de financement, collectivités, chercheurs, enseignants, consultants et plus largement tous ceux qui s’intéressent au développement de l’entrepreneuriat, y trouveront matière à réflexion.
Animé par Alain Fayolle (EM-Lyon) et Bernard Surlemont (université de Liège), L’Expansion Entrepreneuriat est une publication internationale et francophone, son comité de rédaction accueillant des experts canadiens, suisses ou belges de la question.
« Nous abordons toutes les problématiques de création, reprise, transmission, entrepreneuriat organisationnel, institutionnel, social, de l’innovation et de la croissance des entreprises, avec un fort souci d’échanger les expériences et les meilleures pratiques, expliquent les promoteurs du projet. La revue est ouverte à toutes les disciplines et à tous les points de vue », souligne-t-on au siège du groupe de presse. Chaque numéro s’ordonnera autour d’une thématique, faisant alterner articles de vulgarisation, études, internationales, cas pratiques, témoignages et interviews.
Le premier numéro s’applique ainsi à démonter tous les clichés de la création d’entreprise.
Au sommaire :
* Le mythe de l’entrepreneur rationnel
* Le high-tech, grande illusion du décideur
* Le créateur d’entreprise est un “bricoleur”
* Université entrepreneuriale n’est pas un oxymoron
* L’«equity gap» financier ?
* Apprendre à entreprendre : les clichés sont vivaces
* Cultiver les projets de la seconde chance
* Aimé Jacquet : associer les talents pour les additionner
* Pour sortir de la naïveté sur la création d’entreprise