Appel à Candidature: Contrat doctoral en Sciences de Gestion et du Management – Université de Limoges

Sujet : La transformation numérique des PME comme catalyseur du développement économique territorial

Mots clefs

PME, transition numérique, création de valeur, écosystèmes digitaux

Contexte

L’accélération du rythme des innovations digitales, les éléments de contrainte imposés par la crise sanitaire de la Covid-19, impliquent, de fait et de façon contrainte, un changement de paradigme de développement des PME, nécessitant de repenser la gestion du changement et des leviers pour y parvenir (Higón, 2012). En effet, pour réussir un processus de transformation numérique et demeurer compétitive dans des environnements socio-économiques instables, ces entreprises doivent mobiliser des ressources spécifiques tout en renouvelant leurs pratiques numériques, mais elles doivent également opérer un changement de paradigme organisationnel qui ne se résume pas seulement à l’usage d’outils numériques (Scozzi et al., 2005 ; Carrier, 2005). Pour se développer, les PME doivent mettre en oeuvre un changement organisationnel, serviciel ainsi qu’un cycle d’innovation continu, pour améliorer leur productivité, la qualité de leur offre et préempter de nouveaux territoires. A ce titre, de récents travaux ont pointé l’importance, pour les PME, de saisir l’opportunité offerte par le numérique à travers l’usage des technologies numériques les plus récentes dont le fonctionnement en réseau, l’usage des données et sa médiation algorithmique, la dématérialisation, non seulement des produits et services au travers d’un site marchand, mais aussi des processus de production et de livraison. La digitalisation et la servicisation sont autant de leviers de création de valeur (Deltour et Lethiais, 2014 ; Bouwman et al., 2019). Or, si 80% des entreprises territoriales considèrent que le numérique est un outil de développement, il est à noter que 50% d’entre-elles n’ont pas un site web correspondant aux standards ergonomiques actuels ; 55% ne proposent pas d’e-commerce et ce nonobstant le fait que leur activité le permettrait ; deux entreprises sur trois ne disposent pas d’un logiciel de gestion et de pilotage de l’activité ; seulement un tiers des entreprises ont implémenté une solution de gestion de la relation client dédiée ; la production manque de digitalisation sur les aspects planification, gestion des ressources, suivi en production. Enfin, les données dont disposent les entreprises représentent des gisements de valeur et d’innovativité sous-exploités (source CCI Nouvelle Aquitaine). C’est pourquoi, ce projet

consiste à analyser spécifiquement les enjeux et impacts de la transition numérique des PME. Cela implique de replacer le numérique dans une perspective stratégique globale pour ne plus le penser essentiellement comme un outil opérationnel, mais bien comme levier du changement organisationnel et corrélativement du développement territorial. Ainsi, les cadres théoriques recouvrant, la création de valeur, la gestion du changement et les logiques écosystémiques seront mobilisés par le doctorant par répondre à une problématique s’articulant autour des facteurs clefs de succès de la transition numérique des PME.

Références

Bouwman, H., Nikou, S., & de Reuver, M. (2019). “Digitalization, business models, and SMEs: How do business model innovation practices improve performance of digitalizing SMEs? ” Telecommunications Policy, 43(9), 101828

Carrier, C., & Julien, P. A. (2005). “Innovation et PME. : Bilan et perspectives”, Cap Rouge, presse inter universitaires

Deltour, F., Lethiais V., (2014). “L’innovation en PME et son accompagnement pas les TIC : quels effets sur la performance ? “Systèmes d’Information et Management, 19(2), 45- 73.

Higon, D. (2012). “The impact of ICT on innovation activities: Evidence for UK SMEs ”

International Small Business Journal, 30(6), 684-699

Scozzi, B., Garavelli, C., et Crowston, K. (2005). “Methods for modelling and supporting innovation processes in SMEs”. European Journal of Innovation Management, 8(1), 120-137

Directeurs de thèse :

Mme Martine Hlady-Rispal, Professeur des Universités, IAE Limoges – Université de Limoges. CREOP EA 4332. martine.hlady-rispal@unilim.fr

  1. François Acquatella, Maître de Conférences, IAE Limoges – Université de Limoges. CREOP EA 4332. francois.acquatella@unilim.fr

Partenaires : Limoges Métropole-Région Nouvelle Aquitaine

Informations pratiques :

. La/e doctorant/e sera inscrit à l’école doctorale de l’Université de Limoges. Au sein du laboratoire CREOP EA 4332. Le contrat doctoral aura une durée limitée à 3 ans avec un début prévu en septembre 2020.

La thèse prendra place dans un projet de recherche associant des acteurs socio-économiques et des chercheurs du laboratoire.

Moyens à disposition

La/e doctorant/e disposera d’un bureau, de ressources informatiques fournis par le CREOP et l’IAE Limoges.

La présence sur le territoire de la Nouvelle Aquitaine est requise.

Enseignements : La/e doctorant/e sous contrat pourra se voir proposer des interventions et des enseignements dans les différents diplômes de l’Université de Limoges, notamment l’IAE Limoges à partir de sa deuxième année de thèse.

La rémunération mensuelle du (e) la doctorant/e à l’Université de Limoges sera de 24000€/annuel

Modalités de candidature

Le dépôt des candidatures devra être effectué avant le 01 juin 2021.

Les dossiers de candidature doivent impérativement comprendre :

  • Une proposition d’orientation de recherche en rapport au sujet de thèse (1 page hors références, interligne 1,15).
  • Un CV
  • Un exemplaire d’un travail de recherche mené.
  • La/e candidat/e doit être titulaire d’un master 2 ou être inscrit/e en master 2. Le diplôme et/ou le relevé de notes est demandé.

Les candidatures seront à transmettre à francois.acquatella@unilim.fr et martine.hlady-rispal@unilim.fr

L’objet du mail doit être : Appel à candidature pour doctorat

Articuler stratégies organisationnelles et territoriales. Analyses managériales

La Revue d’Économie Régionale et Urbaine publie un numéro spécial très attendu intitulé “Articuler stratégies organisationnelles et territoriales. Analyses managériales” (RERU, 2020/2). Les éditeurs invités sont Jean Bonnet (Université de Caen Normandie), Marcus Dejardin (Université de Namur et Université catholique de Louvain), Nabil Khelil (Université de Caen Normandie).

Même si elle demeure encore relativement discrète, une dynamique de recherche sur les stratégies organisationnelles et territoriales se met en place. Elle conduit à des perspectives de pensée multiples et à l’éclosion d’approches théoriques et méthodologiques novatrices susceptibles de contribuer à l’enrichissement des connaissances.

Publication Remarquable – How do SMEs use support services during their internationalisation process: A comparative study of French traditional SMEs and INVs in Asia

How do SMEs use support services during their internationalisation process: A comparative study of French traditional SMEs and INVs in Asia

Nathalie Belhoste, Rachel Bocquet, Véronique Favre-Bonté and Frédéric Bally

International Small Business Journal: Researching Entrepreneurship, 2019, Vol. 37(8) 804–830

 

L’article porte sur la comparaison entre les PME ayant adopté un mode dit « traditionnel » d’internationalisation et celles dites « précoces » dans le cas spécifique de l’entrée sur un marché asiatique. Il met au centre de l’analyse les organismes d’aide et d’accompagnement, considérés ici comme une ressource clé pour les entreprises en phase d’internationalisation. Comment les PME s’appuient sur ces organismes, quand et comment font-elles pour s’en saisir ? Si les précédentes recherches portent essentiellement sur les organismes publics d’aide à l’internationalisation ou encore sur le rôle informel joué par les réseaux dans lesquels sont insérées les PME, elles considèrent rarement le rôle joué par les organismes privés œuvrant dans ce domaine. Or, le recours aux unes ou aux autres n’ont pas les mêmes ressorts et n’interviennent pas au même moment dans le processus d’internationalisation. Ainsi, l’article contribue de manière significative à alimenter le débat sur le rôle des structures d’aide à l’internationalisation et propose à cet égard un tableau intéressant récapitulant les recherches portant sur les services d’aide à l’internationalisation qu’ils soient publics ou privés (p.809).

Le design de recherche choisi (méthode des cas) est particulièrement approprié et constitue un réel apport pour comprendre le processus d’internationalisation qui par nature évolue dans le temps. Il mobilise une étude qualitative portant sur 32 cas de PME de la région Auvergne-Rhône –Alpes entrées sur le marché asiatique.

La recherche présente plusieurs résultats. Premièrement, le recours aux organismes d’aide. Avant 2001, les PME n’avaient que peu de choix car le nombre d’organismes d’accompagnement était relativement faible. Depuis 2001, leur nombre s’est considérablement accru au point que l’offre apparait désormais pléthorique voir confuse aux yeux des entrepreneurs. Aujourd’hui, les entrepreneurs recourent en moyenne à plus de 6 structures d’aide, en se centrant essentiellement sur un petit groupe d’entre elles qu’elles soient publiques (CCI, Coface…) ou privées (banques, conseillers juridiques). Ces dernières années, les comportements des PME tendent à se rapprocher. Si les PME « précoces » recouraient peu aux organismes d’aide, elles tendent aujourd’hui à le faire de la même façon que les PME « traditionnelles ».

Deuxièmement, le moment de mobilisation des organismes d’aide. Les PME « traditionnelles » utilisent beaucoup les aident publiques, notamment au démarrage de leur internationalisation. Ensuite, elles se tournent davantage vers les organisations privées qui leur paraissent plus réactives et mieux à même de répondre à la spécificité de leurs besoins. A l’inverse, les PME « précoces » s’appuient davantage sur les organismes d’aide lors de l’intensification de leur internationalisation, et avec l’aide des organismes publics car ils sont le plus souvent gratuits ou peu couteux. Notons également que les entreprises « traditionnelles » perçoivent davantage de barrières avant d’entrer sur un marché asiatique, alors que les entreprises « précoces » affrontent les problèmes une fois sur place (barrières légales notamment). Les organismes d’aide jouent donc un rôle différent pour les unes et pour les autres.

Troisièmement, le lien entre organismes d’aide et réseaux. Les réseaux informels dans lesquels sont insérées les PME jouent le plus souvent un rôle de conseil préalable à la décision d’entrer sur un marché étranger, notamment avant de s’adjoindre les conseils des organismes d’aides. C’est en particulier le cas pour les PME « traditionnelles » lorsqu’elles ont l’intention d’entrer sur un marché Asiatique. Pour les PME « précoces », les réseaux se construisent au cours de leur processus d’internationalisation et viennent en complément des services rendus par les organismes d’aide.

Outre les compléments importants apportés à la littérature sur l’internationalisation des PME, notamment sur le processus et le rôle de l’accompagnement, l’article propose également des résultats pratiques, utiles pour les entrepreneurs. Ainsi, il illustre l’entrée sur les marchés asiatiques, considérés comme très attractifs mais aussi source d’opacité et de déconvenue. Ainsi le tableau 4 reprend un certain nombre de verbatim illustrant des situations concrètes vécues par les entrepreneurs en fonction du profil de leur entreprise (traditionnelle ou précoce) et du stade de leur internationalisation. Si ces témoignages sont indispensables à la validation scientifique, ils peuvent aussi servir d’exemple aux entrepreneurs ou être mobilisés dans le cadre d’un cours de management international.

 

Entretien avec Véronique Favre-Bonté, Professeure des Universités, IAE Savoie Mont Blanc

Dans quel cadre a été réalisée la recherche ?

La recherche s’inscrit au départ dans un projet Interreg. Mon laboratoire, l’IREGE (Institut de Recherche en Gestion et Economie), a une longue tradition de travail avec l’éco-système local et le montage de projets de recherche financés type ANR, Interreg ou même de gré à gré avec les entreprises locales. Cette recherche a été menée en partenariat avec Grenoble Ecole de Management (GEM), Haute école d’ingénierie et de Gestion de Vaud, Haute école de Gestion – Genève et le Cabinet Export’ease, avec un focus sur l’Asie, et a obtenu un financement pour l’ensemble des partenaires de plusieurs centaines de milliers d’euros. Nous travaillons également, régulièrement, avec Auvergne Rhône Alpes Entreprises et son réseau d’entreprises. En contrepartie, nous organisons des workshops de vulgarisation pour restituer nos résultats de recherche auprès d’un public de PME.

Comment s’est déroulé le process de publication ?

L’article a été présenté à EURAM Conference où nous avons reçu des commentaires utiles des évaluateurs. Nous avions initialement ciblé la revue Journal of International Business Studies (R2 CNRS), mais l’article a été rejeté (desk reject) entre autres sur des points méthodologiques liés à la mobilisation d’une méthode qualitative mais aussi à cause d’une contribution théorique pas assez mise en avant. Ensuite, l’article a passé 3 tours avant d’être accepté dans International Small Business Journal (R2 CNRS). Avant d’envoyer à cette nouvelle revue, nous avions pris le temps de réécrire et de renforcer l’article. A la suite du premier tour, nous avons clarifié le cadre théorique en le reliant aux conversations scientifiques actuelles, clarifié nos analyses et les résultats. Entre le 2ème et le 3ème tour, il fallait toujours convaincre les évaluateurs en améliorant la discussion, en ancrant mieux notre contribution et en précisant les implications managériales. C’est très compliqué de convaincre de la validité de la recherche lorsque l’on adopte un design de recherche basé sur des méthodes qualitatives. La subjectivité des résultats nous est souvent opposée. Le protocole doit souvent être retravaillé en cherchant des articles supplémentaires pour attester de la rigueur des résultats trouvés. Une bonne dizaine de pages est souvent nécessaire pour convaincre.

Où en sont tes recherches aujourd’hui ?

Nous sommes quelques un dans le laboratoire à travailler sur la question de l’international et des PME ; aujourd’hui l’internationalisation des jeunes entreprises constitue le cœur de mes recherches. Une thèse est d’ailleurs en cours pour mieux comprendre les antécédents du processus d’internationalisation des Entreprises à Internationalisation Rapide et Précoce (EIRP), en s’intéressant plus particulièrement au rôle de la diversité dans ce processus d’internationalisation rapide. Une autre thèse devrait débuter autour de la thématique des EIRP à la rentrée prochaine.

 

Propos recueillis par Valérie François le 10 mars 2020

 

 

 

 

 

 

 

Poste d’ingénieur d’étude et contrat doctoral

Research assistant position

Employer: University of Montpellier (https://www.umontpellier.fr/)

Research lab: LabEx Entreprendre (https://labex-entreprendre.edu.umontpellier.fr)

Job location: Rue Vendémiaire – 34000 Montpellier (France)

Application deadline: December 6, 2019

Contract period: From January 6, 2020 to September 30, 2020 (with the possibility of extension for a further three years – PhD position)

Theme: SMEs’ digital transformation and sustainability.

Applications must be sent by e-mail to jean-marie.courrent@umontpellier.fr, philippe.cohard@umontpellier.fr and morgane.jacquet@umontpellier.fr, before December 6, 2019.

The file shall contain the following: (i) a cover letter; (ii) a CV; (iii) a master level transcript; (iv) the master thesis; (V) a ten-page note presenting the research project on “SMEs’ digital transformation and sustainability”.

For more information about this vacancy, please contact both Prof. Jean-Marie Courrent (jean-marie.courrent@umontpelier.fr) and Philippe Cohard (philippe.cohard@umontpellier.fr).

APPEL À CANDIDATURES CHAIRE DE RECHERCHE DU CANADA DE NIVEAU 2 DÉDIÉE À L’ÉTUDE DE L’ENTREPRENEURIAT ET/OU DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES ET ORGANISATIONS (PME ET PMO)

Thématique
L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) sollicite des candidatures pour une Chaire de recherche du Canada de niveau 2 dédiée à l’étude de l’entrepreneuriat et/ou des PME et des PMO. La personne recherchée devra compléter et renforcer l’équipe de l’Institut de Recherche sur les PME (INRPME; www.inrpme.ca) et apporter une contribution significative au développement des axes de recherche de l’Institut. Toutes les expertises et les perspectives d’étude de l’entrepreneuriat et/ou des PME et PMO pourront être considérées. Ainsi, la personne recherchée peut être un expert ou une experte de l’entrepreneuriat et/ou des PME et PMO avec une spécialisation sur :
une thématique particulière, par exemple : la cognition entrepreneuriale; le processus de démarrage; genre, diversité et entrepreneuriat dans les marges; l’entrepreneuriat social et durable; l’accompagnement entrepreneurial; l’éducation à l’entrepreneuriat; l’entrepreneuriat familial; le repreneuriat; les petites et moyennes organisations d’économie sociale; les PME de haute technologie; le développement local ou régional et les PME-PMO; etc.
une fonction de gestion : par exemple, la finance entrepreneuriale; le marketing des PME et PMO; la comptabilité des PME-PMO; la gestion des ressources humaines en contexte de PME-PMO; la stratégie de gestion des PME-PMO, la gestion de la performance en PME-PMO, la gestion des systèmes d’information en contexte de PME-PMO, etc.
La polyvalence en matière de théorie et de méthodologie de recherche ainsi que la capacité des candidats et candidates à développer des collaborations fructueuses avec d’autres chercheur – e – s œuvrant dans les domaines de l’entrepreneuriat et/ou des PME et PMO sont des qualités qui feront l’objet d’une attention particulière lors de l’évaluation des dossiers.
Les Chaires de recherche du Canada
Les Chaires de recherche du Canada de niveau 2 sont accordées après un processus d’évaluation rigoureux à des chercheur – e – s émergent – e – s exceptionnel – le – s. Les personnes qui souhaitent obtenir une Chaire de niveau 2 doivent avoir obtenu leur doctorat depuis moins de 10 ans au moment de soumettre le dossier de candidature au Programme des Chaires de recherche du Canada (22 avril 2019). Ceux – celles qui ont obtenu leur doctorat plus de 10 ans auparavant (et dont la carrière a été́ interrompue en raison, entre autres, d’un congé de maternité d’un congé parental ou d’un congé de maladie prolongé) peuvent faire examiner leur admissibilité au moyen du processus de justification des Chaires de niveau 2 du Programme des Chaires de recherche du Canada. Prière de communiquer avec le Décanat de la recherche et de la création de l’UQTR pour obtenir plus d’information sur le processus de justification (drc@uqtr.ca).
Engagement envers l’équité, la diversité et l’inclusion
L’UQTR est déterminée à offrir un milieu équitable, diversifié et inclusif essentiel au développement de connaissances et de technologies novatrices. C’est pourquoi l’UQTR s’engage à respecter les politiques fédérales de non-discrimination et d’équité́ en matière d’emploi.
L’Université́ encourage spécialement les femmes, les membres des minorités visibles, les Autochtones et les personnes handicapées qui ont les compétences requises à présenter leur candidature. Des mesures d’adaptation peuvent également être offertes aux personnes handicapées en fonction de leurs besoins.
Le dossier de candidature
Les personnes qui souhaitent présenter leur candidature sont invitées à soumettre leur dossier avant le 14 décembre 2018, dossier comprenant : un curriculum vitæ; une brève description de la programmation de recherche qui sera développée dans le cadre de la Chaire (3 pages); quelques exemplaires de contributions significatives à leur domaine de recherche (articles avec comité de lecture, monographies, etc.); une lettre qui démontre que le programme de la Chaire s’insère bien dans les thématiques de l’INRPME et qui met en valeur les possibilités de collaborations avec les autres membres de l’Institut; les noms de trois experts prêts à écrire une lettre de recommandation en leur faveur. Les candidat – e -s peuvent également joindre à leur dossier des précisions sur les circonstances particulières qui ont pu entraîner un ralentissement ou une interruption de leurs activités de recherche. L’UQTR tiendra compte de ces circonstances particulières lors de l’examen des dossiers. L’ensemble des documents requis doit être transmis en un seul document PDF à l’aide du formulaire en ligne de déclaration volontaire accessible à cette adresse : www.uqtr.ca/CRC_Declaration_volontaire.
Processus de sélection
Chaque dossier sera d’abord évalué par un comité responsable d’identifier les candidatures qui répondent adéquatement aux critères de sélection de l’Université et du Programme des Chaires de recherche du Canada. Les candidatures retenues seront ensuite soumises à un comité qui s’assurera que les règles et les objectifs en matière d’équité, de diversité et d’inclusion de l’Université ont été pris en considération. L’octroi du poste étant conditionnel à l’approbation d’un département de l’Université, les candidat – e – s devront également se soumettre au processus d’embauche d’un département avant de présenter une demande au Programme des Chaires de recherche du Canada. Le candidat – e retenu – e sera invité – e à présenter un dossier complet au Programme des Chaires de recherche du Canada et se verra offrir, si la Chaire lui est accordée, un poste de professeur – e conduisant à la permanence.
Liens utiles
Pour plus d’information sur le Programme des Chaires de recherche du Canada, consultez le site du programme : http://www.chairs-chaires.gc.ca/home-accueil-fra.aspx.
Pour plus d’information sur le processus d’attribution des Chaires de recherche du Canada à l’UQTR ou sur les critères de sélection, consultez le site web : http://www.uqtr.ca/CRC_balises.
Pour plus d’information sur la programmation scientifique de l’Institut de Recherche sur les PME (INRPME) et ses axes de recherche, consultez le site web : www.inrpme.ca.
Pour plus d’information sur les mesures d’adaptation qui peuvent être offertes aux personnes handicapées, contactez Madame Annie Dubois du Service des ressources humaines de l’UQTR à cette adresse : Annie.Dubois@uqtr.ca.
Pour plus d’information sur les Chaires de recherche du Canada présentement disponibles à l’UQTR, consultez le www.uqtr.ca/CRC-affichages-UQTR.Thématique
L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) sollicite des candidatures pour une Chaire de recherche du Canada de niveau 2 dédiée à l’étude de l’entrepreneuriat et/ou des PME et des PMO. La personne recherchée devra compléter et renforcer l’équipe de l’Institut de Recherche sur les PME (INRPME; www.inrpme.ca) et apporter une contribution significative au développement des axes de recherche de l’Institut. Toutes les expertises et les perspectives d’étude de l’entrepreneuriat et/ou des PME et PMO pourront être considérées. Ainsi, la personne recherchée peut être un expert ou une experte de l’entrepreneuriat et/ou des PME et PMO avec une spécialisation sur :
une thématique particulière, par exemple : la cognition entrepreneuriale; le processus de démarrage; genre, diversité et entrepreneuriat dans les marges; l’entrepreneuriat social et durable; l’accompagnement entrepreneurial; l’éducation à l’entrepreneuriat; l’entrepreneuriat familial; le repreneuriat; les petites et moyennes organisations d’économie sociale; les PME de haute technologie; le développement local ou régional et les PME-PMO; etc.
une fonction de gestion : par exemple, la finance entrepreneuriale; le marketing des PME et PMO; la comptabilité des PME-PMO; la gestion des ressources humaines en contexte de PME-PMO; la stratégie de gestion des PME-PMO, la gestion de la performance en PME-PMO, la gestion des systèmes d’information en contexte de PME-PMO, etc.
La polyvalence en matière de théorie et de méthodologie de recherche ainsi que la capacité des candidats et candidates à développer des collaborations fructueuses avec d’autres chercheur – e – s œuvrant dans les domaines de l’entrepreneuriat et/ou des PME et PMO sont des qualités qui feront l’objet d’une attention particulière lors de l’évaluation des dossiers.
Les Chaires de recherche du Canada
Les Chaires de recherche du Canada de niveau 2 sont accordées après un processus d’évaluation rigoureux à des chercheur – e – s émergent – e – s exceptionnel – le – s. Les personnes qui souhaitent obtenir une Chaire de niveau 2 doivent avoir obtenu leur doctorat depuis moins de 10 ans au moment de soumettre le dossier de candidature au Programme des Chaires de recherche du Canada (22 avril 2019). Ceux – celles qui ont obtenu leur doctorat plus de 10 ans auparavant (et dont la carrière a été́ interrompue en raison, entre autres, d’un congé de maternité d’un congé parental ou d’un congé de maladie prolongé) peuvent faire examiner leur admissibilité au moyen du processus de justification des Chaires de niveau 2 du Programme des Chaires de recherche du Canada. Prière de communiquer avec le Décanat de la recherche et de la création de l’UQTR pour obtenir plus d’information sur le processus de justification (drc@uqtr.ca).
Engagement envers l’équité, la diversité et l’inclusion
L’UQTR est déterminée à offrir un milieu équitable, diversifié et inclusif essentiel au développement de connaissances et de technologies novatrices. C’est pourquoi l’UQTR s’engage à respecter les politiques fédérales de non-discrimination et d’équité́ en matière d’emploi.
L’Université́ encourage spécialement les femmes, les membres des minorités visibles, les Autochtones et les personnes handicapées qui ont les compétences requises à présenter leur candidature. Des mesures d’adaptation peuvent également être offertes aux personnes handicapées en fonction de leurs besoins.
Le dossier de candidature
Les personnes qui souhaitent présenter leur candidature sont invitées à soumettre leur dossier avant le 14 décembre 2018, dossier comprenant : un curriculum vitæ; une brève description de la programmation de recherche qui sera développée dans le cadre de la Chaire (3 pages); quelques exemplaires de contributions significatives à leur domaine de recherche (articles avec comité de lecture, monographies, etc.); une lettre qui démontre que le programme de la Chaire s’insère bien dans les thématiques de l’INRPME et qui met en valeur les possibilités de collaborations avec les autres membres de l’Institut; les noms de trois experts prêts à écrire une lettre de recommandation en leur faveur. Les candidat – e -s peuvent également joindre à leur dossier des précisions sur les circonstances particulières qui ont pu entraîner un ralentissement ou une interruption de leurs activités de recherche. L’UQTR tiendra compte de ces circonstances particulières lors de l’examen des dossiers. L’ensemble des documents requis doit être transmis en un seul document PDF à l’aide du formulaire en ligne de déclaration volontaire accessible à cette adresse : www.uqtr.ca/CRC_Declaration_volontaire.
Processus de sélection
Chaque dossier sera d’abord évalué par un comité responsable d’identifier les candidatures qui répondent adéquatement aux critères de sélection de l’Université et du Programme des Chaires de recherche du Canada. Les candidatures retenues seront ensuite soumises à un comité qui s’assurera que les règles et les objectifs en matière d’équité, de diversité et d’inclusion de l’Université ont été pris en considération. L’octroi du poste étant conditionnel à l’approbation d’un département de l’Université, les candidat – e – s devront également se soumettre au processus d’embauche d’un département avant de présenter une demande au Programme des Chaires de recherche du Canada. Le candidat – e retenu – e sera invité – e à présenter un dossier complet au Programme des Chaires de recherche du Canada et se verra offrir, si la Chaire lui est accordée, un poste de professeur – e conduisant à la permanence.
Liens utiles
Pour plus d’information sur le Programme des Chaires de recherche du Canada, consultez le site du programme : http://www.chairs-chaires.gc.ca/home-accueil-fra.aspx.
Pour plus d’information sur le processus d’attribution des Chaires de recherche du Canada à l’UQTR ou sur les critères de sélection, consultez le site web : http://www.uqtr.ca/CRC_balises.
Pour plus d’information sur la programmation scientifique de l’Institut de Recherche sur les PME (INRPME) et ses axes de recherche, consultez le site web : www.inrpme.ca.
Pour plus d’information sur les mesures d’adaptation qui peuvent être offertes aux personnes handicapées, contactez Madame Annie Dubois du Service des ressources humaines de l’UQTR à cette adresse : Annie.Dubois@uqtr.ca.
Pour plus d’information sur les Chaires de recherche du Canada présentement disponibles à l’UQTR, consultez le www.uqtr.ca/CRC-affichages-UQTR.

UQTR chaire Canada de niveau 2 pour candidat(e) moins de 10 ans de son doctorat PME entrepreneuriat

Appel à candidatures pour une Chaire de Recherche du Canada de niveau 2 dédiée à l’étude de l’entrepreneuriat et/ou des petites et moyennes entreprises et organisations (PME et PMO) est maintenant en ligne :

https://oraprdnt.uqtr.uquebec.ca/pls/public/docs/GSC4276/O0000734057_CRC_PME_PMO.pdf

À ce sujet, il est important de signaler que pour nous conformer aux politiques et objectifs des Chaires de Recherche du Canada, nous devons faire des efforts importants afin d’atteindre les cibles en matière d’équité, de diversité et d’inclusion fixées par le Programme. En d’autres termes, notre recrutement doit nous permettre d’identifier en priorité des femmes, des personnes handicapées, des Autochtones et des personnes de minorités visibles.

Cela n’exclut pas les candidatures d’autres groupes, comme celles d’hommes blancs, mais le processus de recrutement doit illustrer les efforts qui auront été faits pour atteindre les cibles.
N’hésitez pas à en parler au tour de vous! Pour des question écrire à rahma.chouchane[@]uqtr.ca

Le Prix CCMP de la « Meilleure étude de cas PME 2018 », sera décerné en partenariat avec le CJD et l’AEI

Le Prix CCMP de la « Meilleure étude de cas PME 2018 », sera décerné en partenariat avec le CJD et l’AEI

Le Centre des Jeunes Dirigeants (CJD) organise en partenariat avec l’Académie de l’Entrepreneuriat et de l’Innovation (AEI) le Prix de la meilleure étude de cas consacrée à la gestion d’une PME. Le cas doit porter sur une entreprise réelle autorisant l’usage de données primaires internes, en particulier financières. Il doit prendre en compte les différentes problématiques transversales liées au fonctionnement global de l’entreprise. Une attention particulière est apportée aux thématiques relatives à l’entrepreneuriat et à l’innovation. L’AEI assure le soutien scientifique du jury qui réunit des dirigeants de PME et des personnalités académiques. Le prix est doté d’une récompense de 2000€.

Consulter l’appel à cas Prix 2018

Pour retrouver tous les cas labellisés : cliquez ici