Professeure ou professeur en financement et gestion agricole

Professeure ou professeur en financement et gestion agricole

Information générale
Milieu de vie privilégié au cœur de la ville de Québec, l’Université Laval est une grande université reconnue pour sa culture de l’excellence en enseignement et en recherche.

Description du poste
Le Département d’économie agroalimentaire et des sciences de la consommation de la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation sollicite des candidatures pour un poste régulier à temps complet de professeur, spécialisé en financement et gestion des entreprises agricoles.

L’expertise recherchée est dans le financement des entreprises agricoles, dans un contexte de gestion financière. Le manque de trésorerie, la faible rentabilité et le prix élevé des actifs en agriculture sont reconnus comme des contraintes financières supplémentaires pour les entreprises de ce secteur.

La personne titulaire de ce poste devra :
– Assumer un enseignement aux trois cycles dans le domaine de la finance et de la gestion agricole;
– Assurer la direction d’étudiants gradués;
– Réaliser des activités de recherche reconnues dans le domaine visé par le poste;
– Contribuer dans son domaine au rayonnement de l’Université dans la collectivité;
– Développer des liens avec les milieux pratiques et académiques;
– Participer aux instances pédagogiques et administratives du Département.

Critères de sélection
– Détenir un doctorat (ou être en voie de l’obtenir) en agroéconomie, finance, gestion financière ou toutes autres formation pertinente;
– Une bonne connaissance du secteur agroalimentaire canadien est un atout;
– Avoir amorcé une recherche pertinente dans le domaine visé par le poste;
– Avoir commencé à développer un dossier de publications;
– Justifier d’un excellent potentiel sur le plan pédagogique;
– Démontrer des aptitudes au travail en équipe;
– Démontrer des aptitudes au travail multidisciplinaire;
– Démontrer son ouverture à différentes approches méthodologiques;
– Posséder des aptitudes à communiquer et à enseigner en français, maîtriser la langue anglaise est un atout.

Conditions d’engagement et de traitement
– Selon la convention collective en vigueur

Calendrier de recrutement
– Période d’affichage du 15 février 2021 au 5 avril 2021
– Date limite de dépôt des candidatures le 5 avril 2021
– Date d’entrée en fonction à partir du 1er septembre 2021

Toute personne intéressée doit faire parvenir au plus tard le 5 avril 2021
– Un curriculum vitæ;
– Une lettre de présentation faisant connaître son expérience professionnelle et pédagogique, les grandes lignes de ses recherches récentes et en cours, ainsi que ses capacités d’intégration au département d’économie agroalimentaire et des sciences de la consommation;
– Deux articles scientifiques ou autres textes pertinents publiés récemment (livres, rapports, etc.);
– Deux lettres de recommandation.
Ces pièces doivent être envoyées par courriel à :
Maurice Doyon
Directeur
Département d’économie agroalimentaire et des sciences de la consommation
Pavillon Paul-Comtois
Université Laval
Québec (Québec) G1V 0A6
Courriel : maurice.doyon@eac.ulaval.ca

Valorisant l’équité, la diversité et l’excellence, l’Université Laval s’engage fermement à offrir à l’ensemble de son personnel un milieu de travail et de vie empreint d’une culture inclusive. Pour l’Université Laval, la diversité est source de richesse et nous encourageons les personnes qualifiées de toute origine, tout sexe, orientation sexuelle, identité ou expression de genre ainsi que les personnes handicapées à présenter leur candidature.

L’Université Laval souscrit également à un programme d’accès à l’égalité en emploi pour les femmes, les membres d’une minorité visible ou ethnique, les autochtones et les personnes handicapées. Veuillez noter que des mesures d’adaptation des outils de sélection peuvent être offertes aux personnes handicapées en fonction de leurs besoins, et ce, en toute confidentialité. Conformément aux exigences de l’immigration canadienne, la priorité sera accordée aux personnes qualifiées ayant le statut de citoyen canadien ou de résident permanent.

19èmes Journées des Pratiques Pédagogiques en Entrepreneuriat – 25 novembre 2020

L’événement en quelques mots

 

Enseignants, enseignants-chercheurs, professionnels de l’entrepreneuriat, étudiants, étudiants-entrepreneurs

Bpifrance Création a le plaisir de vous inviter aux 19e Journées JOPPE  (Journées des Pratiques Pédagogiques en Entrepreneuriat), l’événement national  des professionnels de la sensibilisation des jeunes à l’entrepreneuriat  qui traitera cette année de la Confiance

Le 25 novembre 2020 format 100% digital

Au programme 

  •  Conférences
  • Webinars
  • Retours d’expériences 
  • Et de nombreuses nouveautés

RDV sur la page officielle des JOPPE

Eduquer à l’esprit d’entreprendre, former à l’entreprenariat ? Enjeux, questions, transformations Colloque International 13-14-15 mai 2020 / Entrepreneurship Education 2020 – Lille, France

Avec le soutien officiel de l’Académie de l’Entrepreneuriat et de l’Innovation

Appel à communication: Colloque mai 2020 Eduquer à l’esprit d’entreprendre

Le développement de l’entrepreneuriat par l’éducation, la formation répond aujourd’hui à des questions sociales, éthiques, économiques, politiques et éducatives. Les champs de l’éducation et de la formation se trouvent directement interpellés par la place grandissante qu’occupe l’entrepreneuriat dans la société contemporaine. L’évolution des politiques et des pratiques éducatives qui sont associées à l’entrepreneuriat est encore sous-étudiée, méconnue ou mal compris, particulièrement dans les travaux scientifiques de langue française portant sur les questions éducatives. Il est donc temps de réunir des chercheurs de différents pays pour les faire dialoguer et contribuer à la construction d’un champ de recherche spécifique en la matière.

Rendre intelligible d’un point de vue scientifique l’évolution des pratiques d’éducation et de formation visant le développement de l’entrepreneuriat et de l’esprit d’entreprendre nécessite de disposer d’éclairages multiples, l’objet étant à la croisée de points de vue disciplinaires pluriels (économie, gestion, sciences de l’éducation et de la formation, sciences politiques, psychologie, sociologie, histoire, philosophie, etc.). De même, cette mise en intelligibilité mérite par ailleurs de se nourrir et s’enrichir de la rencontre et du dialogue entre les chercheurs et les acteurs professionnels de l’entrepreneuriat.

Les pratiques éducatives entendent développer l’entrepreneuriat en visant un certain nombre d’objectifs à au moins deux niveaux :

  • des objectifs larges visant l’esprit d’entreprendre, d’initiative, de créativité, d’autonomie, d’esprit critique, capacités relevant d’un socle commun de compétences jugées nécessaires pour tous les citoyens et qui seraient à développer tout au long de la vie par les systèmes éducatifs et de formation.
  • des objectifs propres au développement de la création d’entreprise, de la culture d’entreprise, des savoirs requis pour investir les activités entrepreneuriales, créer et faire vivre une entreprise.

 

Eduquer à l’esprit d’entreprendre, former à l’entreprenariat ? Enjeux, questions, transformations

Colloque

International

13-14-15 mai 2020 / Entrepreneurship Education 2020 – Lille, France

Dans un monde caractérisé par des transformations permanentes et accélérées, le rapport entre l’éducation et l’esprit d’entreprendre apparaît comme une question de première importance. C’est la raison pour laquelle, les attentes et les enjeux sociaux sont forts. L’entrepreneuriat est une question de plus en plus médiatisée et inscrite dans des urgences sociales et les agendas des politiques régionales, nationales, internationales et supranationales, et traduite dans les socles communs de compétences-clefs.

Il est indéniable que les pouvoirs politiques s’entendent au plan local, national et international sur le fait que le développement d’une culture susceptible de favoriser les initiatives entrepreneuriales dans la population est principalement l’affaire des systèmes éducatifs. On peut parler d’un quasi consensus. Le postulat que le développement des pratiques, politiques et dispositifs est une question d’éducation est toutefois interrogeable du point de vue scientifique. L’état d’esprit et les compétences susceptibles de rendre possible l’initiative entrepreneuriale ne s’apprennent peut-être pas complètement ou uniquement dans le système formel de formation. Ils relèvent d’un processus de socialisation, d’un processus éducatif plus complexe qu’il s’agit de mieux comprendre. Par ailleurs les moyens ne suivent pas forcément les incitations politiques. Enfin les effets de ces efforts éducatifs ne sont pas nécessairement toujours connus. Le regard scientifique peut dès lors et se doit d’apporter un éclairage critique et en surplomb sur des politiques et activités qui recèlent un potentiel de transformation sociale qu’on peut supposer fort.

 

Ce colloque est à l’initiative du Centre Interuniversitaire de Recherche en Education de Lille (CIREL), équipe de recherche française en Sciences de l’éducation et de la formation qui a développé des travaux sur les politiques, pratiques, acteurs et dispositifs qui visent le développement de l’esprit d’entreprendre. Le CIREL (65 chercheurs titulaires, 70 doctorants) est porteur d’une expertise dans ce domaine et conduit un ensemble de travaux portant plus largement sur la relation formation/emploi, la relation école/entreprises, l’insertion et l’orientation professionnelle.

Le colloque Eduquer à l’esprit d’entreprendre, former à l’entrepreneuriat ?

 

Enjeux, questions, transformations se donne ainsi pour ambition de susciter :

  • un dialogue interdisciplinaire entre des chercheurs qui s’intéressent à l’entrepreneuriat éducatif et,
  • un dialogue avec les champs professionnels concernés par l’éducation à l’esprit d’entreprendre (EEE), l’accompagnement et la formation destinés aux porteurs de projets entrepreneuriaux.

 

L’ambition à partir de là est double : instaurer un dialogue entre acteurs de ce champ en émergence et en évolution forte ; croiser les regards, réponses et questions que les chercheurs peuvent y apporter en vue de construire les bases d’un projet scientifique à poursuivre.

Le colloque se déroulera à Lille dans la région Hauts de France, première région française à avoir été labellisée Région Européenne Entreprenante en 2013. A proximité de Paris, Bruxelles et Londres, Lille est la ville matrice de l’Euro métropole « Lille-Kortrijk-Tournai » L’Université de Lille est une des plus grandes universités française (70 000 étudiants, 7 000 personnels, 70 laboratoires de recherche…).

 

Des conférences plénières sont déjà prévues :

  • Luke Pittaway, Professeur en Entrepreneuriat, Université d’Ohio (Etats Unis)
  • José Carlos Sánchez García, Professeur de Psychologie, Université de Salamanque (Espagne)
  • Pascale Seys, professeure au conservatoire Royal de Bruxelles, philosophe, chroniqueuse à la RTBF
  • Paul Hannon, Professeur en entrepreneuriat, Swansea University, Wales, (UK). (à confirmer)

 

Cinq axes thématiques

Pour favoriser un débat interdisciplinaire autour de la question du développement actuel de l’entrepreneuriat par l’éducation et la formation, plusieurs thématiques sont envisagées dans l’appel à contribution. Le colloque est par ailleurs ouvert à tout autre angle d’analyse dans la mesure où il s’inscrit bien dans un questionnement sur les moyens éducatifs destinés à stimuler l’esprit d’entreprendre et les initiatives entrepreneuriales. Dans ce cas, il est conseillé de formuler clairement en une ligne la thématique que vous proposez.

  1. 1. Origine et développement de l’entrepreneuriat éducatif
  • Histoire des pratiques entrepreneuriales et de l’entrepreneuriat éducatif.
  • Evolution et enjeux des politiques publiques en matière d’entrepreneuriat éducatif.
  1. Epistémologie de la recherche sur l’entrepreneuriat éducatif
  • Origine et évolutions des concepts ou représentations associés à l’entrepreneur, à l’entreprise et à l’entrepreneuriat éducatif (autonomie, créativité, initiative, agir, projet, risque, etc.).
  • Modes d’accès et analyse de l’activité ou de l’agir entrepreneuriaux ? Peut-on en saisir la spécificité ?
  • Histoire et épistémologie des recherches sur l’entrepreneuriat éducatif.
  • Méthodes mobilisées dans les recherches : bilan, perspective, prospective.
  1. Entrepreneuriat éducatif et monde du travail

Transformations actuelles des formes d’activité et d’emploi dans notre société.

  • Montée en puissance du travail indépendant sous ses différentes formes. Emergence d’une société entrepreneuriale ? Incidences sur les relations travail/formation et sur le système éducatif ? L’ entreprise : un acteur éducatif ?
  • Le travail réel d’un entrepreneur : Success stories et échecs. Les formes d’entreprises créées et les valeurs portées.
  • Le rapport à l’entreprendre dans le parcours de vie : rapport entre prise de risque et développement personnel/professionnel dans le parcours de l’entrepreneur.
  • Le rapport entre activité entrepreneuriale et forme entrepreneuriale de l’activité.
  • La question du genre dans l’éducation entrepreneuriale, dans les parcours d’entrepreneurs. Les dispositifs d’éducation entrepreneuriale permettent-ils de prendre en compte la problématique liée à l’« intériorisation des rôles professionnels sexués » (Gianettoni, Simon Vermot & Gauthier, 2010).
  • Les liens entre l’entrepreneuriat éducatif et l’orientation professionnelle. Le rôle des dispositifs d’éducation entrepreneuriale dans l’orientation professionnelle des apprenants.
  1. Entrepreneuriat : questions de formation et d’éducation
  • Peut-on apprendre à entreprendre ?
  • Les formes pédagogiques associées à l’EEE (pédagogies actives, du projet, de l’expérience, nouvelles, sociales, etc.) dans les discours et/ou dans les pratiques et les transformations qu’elles suscitent dans les milieux éducatifs.
  • Sensibilisation, formation, accompagnement ? Quelles formes prend le soutien aux initiatives entrepreneuriales pour les jeunes et pour les adultes (pratiques, acteurs, compétences, enjeux, marché)
  • Les acteurs de l’EEE. Ce champ réunit souvent un ensemble d’acteurs issus d’horizons divers. Rôle des enseignants dans les actions engagées. Rôle des autres acteurs. Quelle division du travail et/ou quel travail collaboratif s’instaure entre eux ? A quels partenariats donne lieu la rencontre entre les différents acteurs ? Processus de professionnalisation des acteurs de ce champ de pratiques et les compétences requises.
  • Les dispositifs favorisant l’entrepreneuriat dans le champ éducatif produisent des effets. Comment les évalue-t-on ?
  • Quels sont les objets d’enseignement et de formation associés à l’EEE ? Sont-ils spécifiques ou non de certains cursus, dispositifs, formations? Sont-ils transversaux (place des compétences transversales, compétences-clefs en lien avec les socles communs) ?
  • L’EEE est-elle une « éducation à » inscrite dans la forme scolaire et les curricula. Comment l’EEE se trouve-t-elle intégrée dans des cursus de formation, d’éducation ou dans des dispositifs d’accompagnement ?
  • Les freins et les leviers en matière de développement de l’état d’esprit entreprenant.
  1. Au coeur de la création d’activité, la créativité au travail, l’innovation ?
  • En quoi la créativité entrepreneuriale interroge d’autres formes de créativité ?
  • Entreprendre dans un monde à venir : quels leviers pour des évolutions sociales dans et par l’entrepreneuriat, quelles innovations, quels liens avec les grands défis climatiques, environnementaux, sociaux etc. ?
  • Les dispositifs pédagogiques entrepreneuriaux permettent-ils de développer des capacités de créativité et d’innovation chez les apprenants ?
  • Quelles sont les valeurs portées par EEE ? qu’en est-il dans les dispositifs de formation ? et sur le terrain, une fois l’EEE concrétisée ?
  • Quels sont les facteurs de la création d’activité et de la créativité au travail (sentiment d’efficacité personnelle et/ou sentiment d’efficacité personnelle entrepreneuriale, estime de soi, intention entrepreneuriale, comportement entrepreneurial, etc.) ?

 

Appel à contribution

Les chercheurs et doctorants souhaitant proposer une contribution à l’occasion de cet événement scientifique pourront le faire selon trois modalités (posters, communications orales, symposiums). Ce colloque est porté par l’ambition de favoriser un dialogue à caractère international. L’organisation prévoit dans ce sens la possibilité de communiquer dans trois langues de travail (français, anglais, espagnol). Les chercheurs intéressés sont invités à envoyer leur proposition selon les modalités suivantes :

  • Les posters seront exposés pendant une durée déterminée. Ils restitueront un aspect choisi de la recherche présentée. Pour le 30 octobre 2019, il est attendu le titre, les mots-clefs, et un résumé de 200 à 300 mots portant sur toute ou partie de la recherche concernée. Pour le 30 janvier 2020 le poster sera envoyé en format électronique selon un mode de présentation qui sera précisé.
  • Les communications orales. D’une durée de 20 minutes, elles feront l’objet d’une présentation lors d’ateliers structurés autour des cinq thématiques précédemment énoncées. Les soumissions peuvent être proposées par un ou plusieurs auteurs (quatre maximum). Chaque proposition comprendra un titre et un résumé de 400 à 500 mots maximum. Il est attendu que chaque résumé précise les objectifs de la recherche présentée, la méthodologie privilégiée, des résultats ainsi que des éléments d’analyse et de discussion. Les propositions sont à envoyer au plus tard le 30 octobre 2019. Si la communication est acceptée, les personnes souhaitant soumettre leur contribution en vue d’être publiée dans un numéro de revue spécial à la suite du colloque (cf. Perspectives de

publications) devront envoyer un premier texte de 5000 signes maximum pour le 30 janvier 2020.

  • Les symposiums. La proposition d’un symposium sera soumise par une personne qui assurera sa coordination et sa modération lors de la tenue du colloque. Chaque symposium durera 90 minutes et sera composé de quatre à cinq interventions. Chaque soumission comprendra un titre et un résumé (500 mots max.) de la thématique du symposium auxquels seront associés les intitulés des présentations ainsi que les noms des contributeurs. Les propositions de symposium sont à envoyer au plus tard le 30 octobre 2019.
  • Si le symposium est accepté, les participants souhaitant soumettre leur contribution en vue d’être publiée dans un numéro de revue spécial à la suite du colloque (cf. Perspectives de publications) devront envoyer un premier texte de 5000 signes maximum pour le 30 janvier 2020.

 

Par ailleurs, les communicants souhaitant publier leur communication dans les actes du colloque pourront faire parvenir leur texte en amont du colloque. Merci de nous faire parvenir votre appel à contribution en utilisant le lien suivant sur le site du colloque :

https://entrepreneurship-education2020.univ-lille.fr/

 

Comité scientifique

Corinne Baujard, Professeure en Sciences de l’éducation, Université de Lille (France). Raquel Becerril-Ortega, Maître de Conférences en Sciences de l’éducation, Université de Lille et INRIA, Santiago (Chili). Véronique Bedin, Maître de Conférences en Sciences de l’éducation, Université de Toulouse (France). Dominique Broussal, Maître de conférences HDR en Sciences de l’éducation, UMR EFTS, Université Toulouse – Jean Jaurès (France). Jean-Charles Cailliez, Professeur de Biologie cellulaire et moléculaire, Directeur d’HEMiSF4iRE, Design School et Vice-Président Innovation de l’Université Catholique de Lille (France). Francis Danvers, Professeur émérite en Sciences de l’éducation, Université de Lille (France). Marcus Dejardin, Professeur d’Economie, Directeur de la Chaire d’Excellence pour la Recherche et l’Expertise en Entrepreneuriat (CHEREE), Université de Namur et Université Catholique de Louvain (Belgique). Gérard Dokou, Maître de conférences en Sciences de gestion, Université du Littoral (France). Jérôme Eneau, Professeur en Sciences de l’Education, Université Rennes 2 (France). Alain Fayolle, Professeur en Sciences de Gestion, EM Lyon Business School (France). Cédric Frétigné, Professeur en Sciences de l’éducation, Université Paris-Est Créteil, co-président de l’AECSE (France). Jean-François Giret, Professeur en Sciences de l’éducation, Université de Bourgogne, directeur de l’IREDU et de la revue Formation/emploi (France). Maribel Guerrero, Associate professor en Entrepreneuriat, Newcastle Business School, Northumbria University (Royaume-Uni). Marie-Hélène Jacques, Maître de conférences HDR en Sciences de l’éducation, Chercheur au GRESCOESPE de Niort (France). Catherine Léger-Jarniou, Professeure des Universités émérite, Université Paris Dauphine, Présidente de l’Académie de l’Entrepreneuriat & de l’Innovation (France). Alexandre Léné, Maître de conférences en Sociologie, Université de Lille, CLERSE, IMT Lille Douai (France). Sergio Martinic, Professeur d’Anthropologie, Directeur académique, Université d’Aysen, Patagonie (Chili). Maria Pagoni, Professeure en Sciences de l’éducation, Université de Lille (France). Mathias Pepin, Professeur adjoint, Faculté des sciences d’administration Laval, Québec (Canada). Luke Pittaway, Professeur en Entrepreneuriat, Université d’Ohio (USA). Emmanuel Quenson, Professeur en Sociologie, Université Evry Val d’Essone (France). José Carlos Sanchez Garcia, Professeur de Psychologie, Université de Salamanque (Espagne). Christophe Schmitt, Professeur des Universités en Gestion, Vice-président Université de Lorraine. Titulaire de la Chaire Entreprendre. Université de Lorraine, (France). Etienne St-Jean Etienne, Professeur titulaire, Institut de recherche sur les PME, Université du Québec à Trois-Rivières, Québec (Canada). Sylvain Starck, Maître de conférences en Sciences de l’éducation, Université de Lorraine (France). Joris Thievenaz, Professeur en Sciences de l’éducation, Université Paris-Est Créteil (France). Michel Villette, Professeur de Sociologie, AGROPARISTECH, Chercheur au Centre Maurice Halbwachs ENS/EHESS/CNRS (France). Abdelkarim Zaïd, Professeur en Sciences de l’éducation, INSPE Nord-de-France, CIREL, Lille

(France).

Responsable scientifique du colloque

Pr Patricia Champy-Remoussenard, CIREL, Université de Lille, France. Professeure en Sciences de l’éducation, Chargée de Mission Entrepreneuriat de l’Université de Lille, expert rapport européen Eurydice, responsable du Master 2 AERTEF (département Sciences de l’éducation).

Comité d’organisation

Mohamed Ait M’bark, Doctorant, Université de Lille. Carole Baeza, Maître de Conférences, Université de Lille. Michael Bailleul, Maître de Conférences, INSPE Lille-Nord-de-France. Katell Bellegarde, Maître de Conférences, INSPE Lille- Nord-de-France. Sabrina Boussadi, Chef de Projet Hubhouse, Université de Lille. Rémi Casanova, Maître de Conférences, Université de Lille. Patricia Champy- Remoussenard, Professeure des Universités, Université de Lille. Julien de Miribel, Maître de Conférences, Université de Lille. Julie Deville, Maître de Conférences, Université de Lille. Innocent Kienou, doctorant, Université de Lille. Eléonore Lepers, doctorante, Université de Lille. Maria Pagoni, Professeure des Universités, Université de Lille. Xavier Sido, Maître de Conférences, Université de Lille. Sylvain Starck, Maître de Conférences, Université de Lorraine.

 

Site du colloque LILLIAD – Learning innovation center

Cité scientifique – Avenur Raymond Poincaré

59650 Villeneuve d’Ascq, France

Métro : Cité scientifique – Professeur Gabillard

https://entrepreneurship-education2020.univ-lille.fr/

Les Journées de l’OPPE 2018 « Tous apprenants ! » 6 et 7 décembre, à l’Université Paris Nanterre

La 17ème édition des Journées de l’Observatoire des Pratiques Pédagogiques en Entrepreneuriat (OPPE) aura lieu les 6 et 7 décembre 2018 à l’Université de Paris Nanterre. Ce colloque annuel proposera des conférences et des ateliers autour de la thématique « Tous apprenants ! La pédagogie entrepreneuriale : vecteur d’apprentissages innovants ». Participent à ce colloque, les professionnels de l’enseignement, de l’entrepreneuriat et de l’insertion professionnelle. À cette occasion, les participants ainsi qu’une cinquantaine de jeunes mèneront une réflexion sur le thème « Rêver l’école de demain ». Cette manifestation est organisée par l’Agence France Entrepreneur (AFE), en partenariat avec l’Université de Paris Nanterre.

Visitez le site de l’OPPE 2018

Il n’est jamais trop tôt pour entreprendre. L’AFE est convaincue que l’enseignement de l’esprit d’entreprendre et d’initiative repose sur des ressorts pédagogiques spécifiques. L’objectif ? Préparer les jeunes à relever les défis de demain pour construire leurs projets, entreprendre leur vie.

DEUX JOURS D’ÉCHANGES POUR PROMOUVOIR L’ESPRIT D’ENTREPRENDRE ET VALORISER L’APPRENTISSAGE PAR L’ACTION.

Ce laboratoire d’innovations pédagogiques permettra aux participants de partager les meilleures pratiques, de découvrir et expérimenter de nouvelles pédagogies, des techniques de créativité ainsi que de nouveaux outils. Ils réfléchiront ensemble aux actions à développer demain.

Au programme de ces journées de l’OPPE 2018 :

  • Un Hackathon sur le thème « Rêver l’école de demain ».
  • Des tables rondes et des débats articulés autour des thématiques de mixité de projets et de diversité des publics.
  • Des ateliers et des workshops conçus de manière interactive afin que les participants puissent échanger, identifier les bonnes pratiques et partager leurs retours d’expériences.

 

POURQUOI S’INSCRIRE ?

  • Découvrir de nouvelles pratiques et actions ;
  • Construire des programmes de formation s’inspirant des bonnes pratiques présentées ;
  • Comprendre le fonctionnement du monde de l’enseignement et de l’écosystème entrepreneurial ;
  • Réseauter et tisser des partenariats ;
  • Oser agir

Yannick HOCHE, directeur général de l’AFE

« Pas facile pour un enseignant de lâcher prise et de réfléchir à sa pratique en classe ou en amphi ! Pas facile pour un jeune de se prendre en main et de sortir du confort du cours magistral ! Pas facile pour un professionnel de faire vivre une expérience plutôt que de transmettre un savoir ! Tous apprenants, c’est ce que ces rencontres incontournables vont leur permettre de vivre pour faire progresser l’apprentissage de l’esprit d’entreprendre en France.

Qu’est-ce que l’OPPE ?

L’OPPE est un programme fondé en 2001 par les pouvoirs publics pour connaître les dispositifs entrepreneuriaux mis en place dans l’appareil d’enseignement secondaire et supérieur. Aujourd’hui, il est davantage un outil de mutualisation, de promotion et d’échanges autour des pédagogies entrepreneuriales, au service, des établissements, des enseignants, des étudiants, des réseaux d’accompagnement à la création d’entreprise et des institutions.

L’OPPE est un programme fondé en 2001 par les pouvoirs publics pour connaître les dispositifs entrepreneuriaux et les diffuser dans l’enseignement secondaire et supérieur. En mutualisant outils pédagogiques et expériences, en provoquant les échanges entre les enseignants et les professionnels de l’entrepreneuriat, l’OPPE oeuvre chaque jour pour permettre à toujours plus de jeunes de révéler leur capacité à entreprendre leur vie.

À propos de l’Agence France Entrepreneur (AFE)

L’Agence France Entrepreneur a pour objet de renforcer et mieux coordonner l’action nationale et locale en faveur de l’entrepreneuriat, prioritairement en faveur des territoires fragiles. Son action vise en priorité à :

  • favoriser les créations et les reprises d’entreprises plus pérennes et créatrices d’emploi ;
  • aider au développement des très petites entreprises (TPE) et des petites et moyennes entreprises (PME) qui créent de l’emploi ;
  • innover pour créer un cadre plus favorable à l’initiative économique.

L’AFE a pour membres fondateurs, l’Etat, la Caisse des Dépôts (CDC), Régions de France, le Conseil supérieur de l’Ordre des experts-comptables (CSOEC), CCI France et l’Assemblée permanente des Chambres des métiers et de l’artisanat (APCMA). Son site internet est une mine d’informations au service de tous les entrepreneurs et de ceux qui les accompagnent.

http://www.afecreation.fr

Contact presse – Coriolink

Lisa Omara – 06.52.25.07.66

Lisa.omara@coriolink.com