Numéro spécial Revue de l’Entrepreneuriat – Regards croisés sur l’échec entrepreneurial

Appel à contributions – Numéro spécial de la Revue de l’Entrepreneuriat

Regards croisés sur l’échec entrepreneurial

Téléchargez l’appel à contribution : Dossier Revue de l’Entrepreneuriat Echec entrepreneurial

Éditeurs associés :

  • Smita Singh (Auckland University of Technology, New Zealand)
  • Nabil Khelil (Université de Caen, CREM CNRS)
  • Xavier Brédart (Université de Mons, HumanOrg)
  • Nadine Levratto (Université Nanterre, CNRS, EconomiX)

Deadline des soumissions : 15 septembre 2018

Les coûts psychologiques, sociaux et économiques de l’échec (Byrne et Shepherd, 2015; Cope, 2011; Singh et al., 2007-2015; Ucbasaran et al., 2013), font de ce phénomène un sujet sensible à aborder (Bruno et Leidecker, 1988; Cacciotti et al., 2016) et un événement indésirable et inattendu à éviter (Aaltonen et al., 2010; Politilis et Gabrielsson, 2009). C’est dans ce cadre que s’inscrivent les premiers travaux sur la défaillance des entreprises, reconnue dans la littérature anglo-saxonne sous le terme “business failure“. Bien que ce phénomène ait été étudié par plusieurs disciplines (Walsh et Cunningham, 2016, p. 164), telles que le droit (Peng et al., 2010), la finance (Beaver, 1966), la sociologie (Freeman et al., 1983), l’économie (Dunne et al., 1989), le management (Moulton et al., 1996), la stratégie (Sheppard et Chowdhury, 2005) et les sciences des organisations (Mellahi et Wilkinson, 2004), ces travaux partagent le même objectif : mettre en évidence les causes qui sont à l’origine de l’échec de nombreuses entreprises et, éventuellement, réfléchir à des stratégies d’actions préventives, curatives ou encore palliatives.

C’est à partir de l’introduction de la notion de l’échec dans le champ de l’entrepreneuriat que le concept « échec entrepreneurial » a pris de l’ascendant. Si les premiers travaux sur l’échec entrepreneurial se focalisent sur les causes, les travaux menés au cours de la dernière décennie se concentrent plutôt sur les expériences d’échec vécues par les entrepreneurs. L’échec n’est plus perçu comme étant un sujet sensible qui demeure peu étudié en entrepreneuriat (Aaltonen et al., 2010; Politilis and Gabrielsson, 2009), mais comme une étape indispensable à la réussite d’un processus entrepreneurial, qui mérite d’être étudiée en profondeur (Jenkins et Mckelvie, 2016). C’est dans ce cadre que s’inscrivent les travaux fondateurs sur l’apprentissage de l’échec (McGrath, 1999; Minniti et Bygrave, 2001; Shepherd, 2003) qui suscitent aujourd’hui un intérêt croissant dans la littérature tant anglo-saxonne (Dias et Teixeira, 2017; Shepherd et al., 2016; Walsh et Cunningham, 2017) que francophone (Crutzen et Van Caillie, 2009 ; Cusin et Maymo, 2016 ; De Hoe et Janssen 2016 ; Khelil et al., 2012 ; Krauss, 2009 ; Philippart, 2017). L’attention ne porte plus aujourd’hui uniquement sur les causes d’échec à éviter mais plutôt sur les leçons à tirer des échecs afin de les capitaliser.

L’augmentation du nombre de publications scientifiques, l’existence de plusieurs revues prestigieuses (spécialisées ou non) publiant sur le sujet, l’apparition d’ouvrages collectifs (Shepherd, 2013; Shepherd et al., 2016) et de numéros spéciaux (Detienne et Wennberg, 2016; Levratto et Brédart, 2018), l’existence d’une logique de capitalisation des connaissances (voir les revues de littérature conduites par Jenkins et Mckelvie, 2016 ; Ucbasaran et al., 2013 et Walsh et Cunningham, 2016), nous amène à la conclusion suivante : l’échec commence à occuper une place grandissante et fondamentale dans la littérature académique sur l’entrepreneuriat. Ce phénomène est aujourd’hui considéré comme un vrai objet d’étude qui suscite l’intérêt des chercheurs (Corner et al., 2017; Eberhart et al., 2017; Jenkins et McKelvie, 2017 ; Shepherd et Patzelt, 2017; Walsh et Cunningham, 2017). 2

Quelle que soit l’approche théorique (déterministe versus volontariste) ou méthodologique (qualitative versus quantitative) mobilisée ou, encore, le niveau d’analyse étudié (entrepreneur, entreprise, environnement), les chercheurs sont toujours confrontés à la réalité complexe et protéiforme de l’échec entrepreneurial (Khelil, 2016). La diversité et l’interdépendance des éléments objectifs et subjectifs, qualitatifs et quantitatifs, économiques et psychologiques inhérents à la fois à l’entrepreneur et l’entreprise qu’il créée, rendent les approches disjonctives désuètes. Bien que les approches traditionnelles de la défaillance d’entreprises adoptant le plus souvent une perspective linéaire et binaire dominent à ce jour, il existe une tendance de plus en plus marquée aux approches intégratives. Selon ces approches, l’échec est vu comme un phénomène multidimensionnel et complexe composé de différents éléments interdépendants qui interagissent sur plusieurs niveaux.

C’est dans ce cadre que s’inscrit cet appel à contribution. Au-delà de la question des causes (pour quelles raisons certaines entrepreneurs échouent-ils et d’autres non ?) ou encore les conséquences (quelles sont les conséquences que peut avoir l’échec de l’entreprise sur l’entrepreneur ?), d’autres questions sont en jeu :

  • Qu’est qu’un échec entrepreneurial ?
  • Comment les entrepreneurs interprètent-ils leur échec ?
  • Pour quelles raisons certains entrepreneurs apprennent-ils beaucoup plus de leur échec que d’autres ?
  • Pour quelles raisons certaines entrepreneurs ont beaucoup plus peur de l’échec que d’autres ?
  • Comment accompagner les entrepreneurs en situation d’échec ?

Soumission des textes

Les propositions d’articles sont à envoyer à nabil.khelil@unicaen, à xavier.bredart@umons.ac.be, et en copie à soumission@entrepreneuriat.com,

– au plus tard le 15 septembre 2018,

en respectant les normes de la Revue de l’entrepreneuriat :

 

https://entrepreneuriat.com/pole-recherche/revue_entrepreneuriat/normes-de-publication/

en mentionnant dans l’objet « soumission au numéro échec entrepreneurial ».

Les textes retenus seront publiés dans un numéro thématique de la Revue de l’Entrepreneuriat (n°1, 2020).

Echéancier

L’échéancier suivant est proposé : Envoi des propositions d’article (version complète) :15 septembre 2018
Retour des évaluations et notification des décisions aux auteurs :15 janvier 2019
Dépôt des articles révisés (2ème tour d’évaluation):15 avril 2019
Dépôt des versions finales :15 octobre 2019

 

3e Colloque Interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise

Ce numéro thématique sera précédé par le 3e Colloque Interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise. Ce colloque, qui se déroulera le 15 juin à l’Université de Caen, est co-organisé par le Centre de Recherche en Economie et en Management de l’université de Caen (CREM – UMR CNRS 6211), l’unité mixte de recherche du CNRS EconomiX (Université de Nanterre) et l’institut de recherche humanOrg de l’Université de Mons. Centrée sur les approches multidimensionnelles de la défaillance des entreprises, cette troisième édition du CIDE est parrainée par l’Académie de l’Entrepreneuriat et de l’Innovation (AEI) ainsi que par l’Association Internationale de Recherche en Entrepreneuriat et PME (AIREPME). Les auteurs des meilleures communications recommandées par les évaluateurs seront invités à soumettre une version enrichie de leur texte à ce numéro thématique.
Site internet : https://businfailure.sciencesconf.org/
Télécharger l’appel à communication : 3ème Colloque Interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise

Références
Aaltonen, S., Blackburn, R., & Heinonen, J. (2010). Exploring entrepreneurial exits: a study of individual exit experiences in Finland and the UK. The theory and practice of entrepreneurship: Frontiers in European entrepreneurship research, 145-167.
Beaver, W. H. (1966). Financial ratios as predictors of failure. Journal of accounting research, 71-111.
Bruno, A. V., & Leidecker, J. K. (1988). Causes of new venture failure: 1960s vs. 1980s. Business Horizons, 31(6), 51-56.
Byrne, O., & Shepherd, D. A. (2015). Different strokes for different folks: Entrepreneurial narratives of emotion, cognition, and making sense of business failure. Entrepreneurship Theory and Practice, 39(2), 375-405.
Cacciotti, G., Hayton, J. C., Mitchell, J. R., & Giazitzoglu, A. (2016). A reconceptualization of fear of failure in entrepreneurship. Journal of Business Venturing, 31(3), 302-325.
Cope, J. (2011). Entrepreneurial learning from failure: An interpretative phenomenological analysis. Journal of business venturing, 26(6), 604-623.
Corner, P. D., Singh, S., & Pavlovich, K. (2017). Entrepreneurial resilience and venture failure. International Small Business Journal, 0266242616685604.
Crutzen, N. et Van Caillie, D. (2009). Vers une taxonomie des profils d’entrée dans un processus de défaillance : Un focus sur les micro-et petites entreprises en difficulté. Revue Internationale PME, 22(1), 101-128.
Cusin, J., & Maymo, V. (2016). Stigmatisation de l’entrepreneur post-faillite et décision de financement du banquier. M@n@gement, 19(4), 305-329.
De Hoe, R. et Janssen, F. (2016). Le capital psychologique permet-il d’apprendre et de rebondir face à un échec entrepreneurial? Management International,20(2),18-28.
DeTienne, D., & Wennberg, K. (2016). Studying exit from entrepreneurship: New directions and insights. International Small Business Journal, 34(2), 151-156.
Dias, A., et Teixeira, A. A. (2017). The anatomy of business failure: A qualitative account of its implications for future business success. European Journal of Management and Business Economics, 26(1), 2-20.
Dunne, T., Roberts, M. J., & Samuelson, L. (1989). The growth and failure of US manufacturing plants. The Quarterly Journal of Economics, 104(4), 671-698.
Eberhart, R. N., Eesley, C. E., & Eisenhardt, K. M. (2017). Failure is an option: Institutional change, entrepreneurial risk, and new firm growth. Organization Science, 28(1), 93-112.
Freeman, J., Carroll, G. R., & Hannan, M. T. (1983). The liability of newness: Age dependence in organizational death rates. American sociological review, 692-710.
Jenkins, A., & McKelvie, A. (2016). What is entrepreneurial failure? Implications for future research. International Small Business Journal, 34(2), 176-188. Jenkins, A., & McKelvie, A. (2017). Is this the end? Investigating firm and individual level outcomes post-failure. Journal of Business Venturing Insights, 8, 138-143. Khelil, N., Smida, A., & Zouaoui, M. (2012). Contribution à la compréhension de l’échec des nouvelles entreprises: exploration qualitative des multiples dimensions du phénomène. Revue de l’Entrepreneuriat, 11(1), 39-72.
Khelil, N. (2016). The many faces of entrepreneurial failure: Insights from an empirical taxonomy. Journal of Business Venturing, 31(1), 72-94.
4
Krauss, G. (2009). Les jeunes entreprises pionnières face à l’incertitude: la construction sociale de l’échec. Revue Française de socio-économie, (1), 169-186. Levratto, N., & Brédart, X. (2018). La défaillance et l’échec des PME. Revue internationale PME, Numéro thématique.
McGrath, R. G. (1999). Falling forward: Real options reasoning and entrepreneurial failure. Academy of Management review, 24(1), 13-30.
Mellahi, K., & Wilkinson, A. (2004). Organizational failure: a critique of recent research and a proposed integrative framework. International Journal of Management Reviews, 5(1), 21-41.
Minniti, M., & Bygrave, W. (2001). A dynamic model of entrepreneurial learning. Entrepreneurship: Theory and practice, 25(3), 5-5.
Moulton, W. N., Thomas, H., et Pruett, M. (1996). Business failure pathways: environmental stress and organizational response. Journal of Management, 22(4), 571-595.
Peng, M. W., Yamakawa, Y., et Lee, S. H. (2010). Bankruptcy Laws and Entrepreneur-Friendliness. Entrepreneurship Theory and Practice, 34(3), 517-530. Philippart P. (2017). “L’accompagnement de l’entrepreneur en difficulté: questions autour d’un phénomène complexe”, Projectics/Proyética/Projectiques, vol.1, n°16, p.11-29.
Politis, D., & Gabrielsson, J. (2009). Entrepreneurs’ attitudes towards failure: An experiential learning approach. International Journal of Entrepreneurial Behavior & Research, 15(4), 364-383.
Shepherd, D. A. (2003). Learning from business failure: Propositions of grief recovery for the self-employed. Academy of management Review, 28(2), 318-328.
Shepherd, D. A. (2013), Entrepreneurial Failure. The International Library of Entrepreneurship Series. Edward Elgar Pub.
Shepherd, D.A., Williams, T., Wolfe, M. et Patzelt, H. (2016). Learning from Entrepreneurial Failure. Cambridge University Press.
Shepherd, D. A., et Patzelt, H. (2017). Trailblazing in Entrepreneurship: Creating New Paths for Understanding the Field. Springer.
Sheppard, J. P., & Chowdhury, S. D. (2005). Riding the wrong wave: Organizational failure as a failed turnaround. Long Range Planning, 38(3), 239-260.
Singh, S., Corner, P., & Pavlovich, K. (2007). Coping with entrepreneurial failure. Journal of Management & Organization, 13(4), 331-344. Singh, S., Corner, P. D., & Pavlovich, K. (2015). Failed, not finished: A narrative approach to understanding venture failure stigmatization. Journal of Business Venturing, 30(1), 150-166.
Ucbasaran, D., Shepherd, D. A., Lockett, A., & Lyon, S. J. (2013). Life after business failure: The process and consequences of business failure for entrepreneurs. Journal of Management, 39(1), 163-202.
Walsh, G. S. et Cunningham, J. A. (2017). Regenerative failure and attribution: Examining the underlying processes affecting entrepreneurial learning. International Journal of Entrepreneurial Behavior et Research, 23(4), 688-707.
Walsh, G. S., & Cunningham, J. A. (2016). Business failure and entrepreneurship: emergence, evolution and future research. Foundations and Trends in Entrepreneurship, 12(3), 163-285.

Appel à communications – 3ème colloque interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise – 15 juin 2018 – Caen

APPEL A COMMUNICATIONS
3e Colloque Interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise
15 JUIN 2018

3ème Colloque Interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise « La défaillance d’entreprise vers une approche multidimensionnelle »
Maison de la Recherche en Sciences Humaines
Université de Caen Normandie
Esplanade de la Paix – Campus 1 – 14000 Caen
LA DÉFAILLANCE D’ENTREPRISE :
VERS UNE APPROCHE MULTIDIMENSIONNELLE
Les coûts psychologiques, sociaux et économiques de l’échec font de ce phénomène un sujet sensible à aborder
et un événement indésirable et inattendu à éviter. C’est dans ce cadre que s’inscrivent les premiers travaux sur la défaillance des entreprises, reconnue dans la littérature anglo-saxonne sous le terme « business failure ». Bien que ce phénomène ait été étudié par plusieurs disciplines, telles que le droit, la finance, la sociologie, l’économie, le management, la stratégie, l’entrepreneuriat et les sciences des organisations, ces premiers travaux partagent le même objectif : mettre en évidence les causes qui sont à l’origine de l’échec de nombreuses entreprises et, éventuellement, réfléchir à des stratégies d’actions préventives, curatives ou encore palliatives.
Les recherches récentes se focalisent de plus en plus sur les leçons à tirer des échecs afin de les capitaliser plutôt que sur les causes d’échec à éviter. Ce phénomène n’est plus perçu comme étant un sujet sensible qui demeure peu étudié, mais comme une étape indispensable à la réussite, qui mérite d’être étudiée en profondeur.
L’augmentation du nombre de publications scientifiques, d’ouvrages collectifs et de numéros spéciaux sur le sujet
nous amène à la conclusion suivante : l’échec commence à occuper une place grandissante et fondamentale dans la littérature académique. Ce phénomène est aujourd’hui considéré comme un vrai objet d’étude qui suscite l’intérêt de nombreux chercheurs et praticiens. Quelle que soit l’approche théorique (déterministe versus
volontariste) ou méthodologique (qualitative versus quantitative) mobilisée ou, encore, le niveau d’analyse étudié
(entrepreneur, entreprise, environnement), les chercheurs sont toujours confrontés à la réalité complexe et protéiforme de l’échec de l’entrepreneur et de l’entreprise. La diversité et l’interdépendance des éléments objectifs et subjectifs, qualitatifs et quantitatifs, économiques et psychologiques inhérents à la fois à l’entrepreneur et l’entreprise qu’il créée, rendent les approches disjonctives désuètes.
Bien que les approches traditionnelles de la défaillance d’entreprises adoptant le plus souvent une perspective
unidimensionnelle, linéaire et binaire dominent à ce jour,il existe une tendance de plus en plus marquée pour les
approches intégratives. Selon ces approches, l’échec est vu comme un phénomène multi dimensionnel et  complexe composé de différents éléments interdépendants qui interagissent sur plusieurs niveaux. C’est dans ce cadre que s’inscrit le 3ème Colloque Interdisciplinaire sur la Défaillance d’Entreprise.
En plus du contexte spécifique de la création d’entreprises, le phénomène de l’échec a été exploré dans
d’autres contextes organisationnels à l’image des entreprises familiales, des jeunes entreprises technologiques
innovantes, des entreprises en réseaux de franchise et des groupes. Il faut noter également que les
recherches antérieures se sont centrées sur les niveaux organisationnels et/ou individuels. Une autre piste de
recherche réside dans l’étude de l’échec collectif au sein des équipes.
Au-delà des causes (pour quelles raisons certaines entreprises échouent-elles et d’autres non ?) ou encore
des conséquences (quelles sont les conséquences que peut avoir l’échec de l’entreprise sur les entrepreneurs
?), toutes les contributions à dimension empirique ou théorique, quantitatives ou qualitatives, sur le thème
de la défaillance des entreprises (petites, moyennes ou grandes) et des entrepreneurs peuvent être proposées
telles que celles liées aux thèmes suivants (liste non-exhaustive) :
• Identification des déterminants de la faillite/des difficultés des entreprises,
• Défaillance et structure financière,
• Relation entre gestion (gouvernance, gestion des ressources humaines, …) et défaillance,
• Survie et accompagnement,
• Mécanismes et instruments de prévention des difficultés des entreprises,
• Transmission d’entreprise et défaillance,
• Coûts et conséquences de la défaillance,
• Politiques de ressources humaines et risque d’entreprise,
• Relation entre les caractéristiques du dirigeant et la défaillance des PME,
• Études de cas de faillite (points de vue économique et/ou juridique),
• Souffrance de l’entrepreneur en situation de liquidation.
CALENDRIER
15 avril 2018 : envoi des propositions de communication sous la forme d’un résumé (rédigés en français ou en anglais) d’environ 500 mots accompagné de trois à cinq mots clés et de(s) code(s) JEL à l’adresse électronique suivante : nabil.kheli l@ unicaen.fr
en copie à xavier.bredart@umons.ac.be
15 mai 2018 : décision d’acceptati on ou de refus.
01 juin 2018 : date limite des inscripti ons
INSCRIPTION
Pour vous inscrire, cliquez ICI
Les frais d’inscripti on à ce colloque s’élèvent à 80 euros
et comprennent les pauses-café ainsi que le déjeuner.
Ces frais s’appliquent à l’ensemble des parti cipants
qu’ils présentent ou non un papier.
COMITÉ DE COORDINATION :
Xavier Brédart (Université de Mons, HumanOrg)
Nabil Khelil (Université de Caen, CREM CNRS)
Nadine Levratt o (Université Nanterre, CNRS, EconomiX)
COMITÉ D’ORGANISATION :
Adel Jemaa
Aurélien Lamy
Bruno Drouot
Christophe Trowski
Haïfa Naff akhi Charfeddine
Isabelle Lebon
Meriem Ben Salah
COMITÉ SCIENTIFIQUE :
Alain Fayolle (EM Lyon Business School)
Alain Finet (Université de Mons)
Albéric Tellier (Université de Caen Normandie)
Alina Gomez Mejia (Ponti fi cia Universidad Javeriana, Cali)
Anne-Laure Le Nadant (Université de Rennes 2)
Fanny Simon-Lee (Université de Rouen)
Franck Moraux (Université de Rennes 1)
Frank Janssen (Université catholique de Louvain)
Fréderic Perdreau (université Jean Monnet – Saint Eti enne)
Gerhard Krauss (Université de Rennes 2)
Giuseppe Pagano (Université de Mons)
Jean Bonnet (Université de Caen Normandie)
Jean-Pascal Guironnet (Université de Caen Normandie)
Jean-Sébasti en Pentecôte (Université de Caen Normandie)
Juan Javier Saavedra (Universidad del Rosario)
Julien Cusin (Université de Bordeaux)
Karin Comblé (Université de Mons)
Marcus Dejardin (Université de Namur)
Mauricio Sanabria (Universidad del Rosario)
Nazik Fadil (EM Normandie)
Nicolas Le Pape (Université de Caen Normandie)
Olivier Germain (ESG UQÀM)
Pascal Aurégan (Université de Caen Normandie)
Patricia Renou Maissant (Université de Caen Normandie)
Rachida Justo (IE Business School Madrid )
Roland Condor (EM Normandie)
Ruth Esperanza Román Casti l lo (Universidad de Bogotá)
Sonia Boussaguet (NEOMA Business School, Rouen)
Matt hijs H ammer (Saxion University)
Thomas Loilier (Université de Caen Normandie)
Virginie Blum (Université Lyon 2)
Julien de Freyman (ESC Troyes)
https://businfailure.sciencesconf.org